La sœur d'Olivier Giroud

49.

PDV Manon :

Je descend par la suite et trouve Antoine assis sur le canapé du salon.

Moi - Hey ! Je souris. Qu'est ce que tu fais ?

Antoine - Je regarde la télé, ça ne se voit pas ? Il me souris.

Je lui souris en retour et me dirige vers la cuisine afin de me servir un verre d'eau.
Antoine me rejoint et m'observe.

Moi - Je doute que je sois très passionnante à observer quand je bois. Je pose mon verre dans l'évier une fois fini.

Antoine - Tu es intéressante à observer dans toutes circonstances. Il souris.

Je m'avance un peu dans la cuisine et m'arrête à ses côtés.

Moi - Arrêtes les disquettes et viens en au fait Griezmann.

Il souris et baisse la tête puis la relève pour faire balader son regard entre mes lèvres et mes yeux.

Antoine - J'ai très envie de t'embrasser. Il se mord la lèvre inférieur et bloque son regard sur mes lèvres.

Je pose ma main sur son visage et le bouscule doucement en repartant dans le salon.
J'attrape la télécommande et zape alors que le numéro 7 saute sur le canapé et s'installe à mes côtés.

Antoine - Ne me dit pas que tu n'en a pas envie toi.

Je le regarde et souris narquoisement.

Moi - Non désolé chéri, je n'est pas envie de m'embrasser.

Il rit légèrement suite à ma phrase puis retrouve son sérieux.

Antoine - Je suis sérieux. Il me regarde intensément.

Je le regarde dans les yeux sans rien dire et fais moi aussi voyager mon regard entre ses yeux et ses lèvres.

Antoine - Je savais. Il souris.

Il approche doucement son visage du mien alors que je ne bouge pas mais reste bloqué sur ses magnifiques lèvres.

Il scelle finalement nos lèvres.
Une de ses main vient se poser sur ma joue alors que l'autre se balade sur ma cuisse.
Sa langue ne tarde pas à rejoindre la mienne et mes mains vont se poser sur son cou.

Il me pousse petit à petit en arrière et je fini par être allongée avec Antoine sur moi.
Il sépare ses lèvres des miennes et me regarde dans les yeux intensément.

Je réouvre doucement les yeux et me mord la lèvre inférieur afin de déguster quelques secondes de plus le goût de ses lèvres.

Antoine - Je crois bien que se baiser m'a fait tomber encore plus bas. Il souris.

Je souris aussi et caresse ses joues de mes mains tout en observant ses beaux yeux bleus.

PDV Antoine :

Maintenant j'en suis sur. Je suis amoureux d'elle.
Je ne crois pas avoir ressentit, tout ce que j'ai ressentit ce soir, avec Erika.

Je suis allongé sur ma belle brune et joue un peu avec le tissu de son haut alors qu'elle à les mains dans mes cheveux et joue avec ceux ci.

On regarde la télé à deux, mais une question vient me troubler.
On est quoi maintenant l'un pour l'autre ?

Moi - Manon ? Je relève la tête vers celle ci. On est quoi l'un pour l'autre ?

Elle grimace face à ma question et se redresse doucement.

Manon - Je sais pas... Qu'est ce que tu veux qu'on soit ?

Moi - Bah... On s'aime non !? Alors, moi perso, j'aimerais beaucoup te présenter au monde comme ma petite amie...

Manon - Je n'ai pas envie que les gens s'acharnent sur moi parce que je sors avec leur chouchou et puis bah les paparazzis la... Très peu pour moi...

Moi - Bah on se cachera.

Elle souris et attrape mon visage entre ses mains.
Elle rapproche petit à petit nos deux visage et m'embrasse du bout des lèvres.

Manon - Je suis très jalouse.

Moi - Et je suis pire que jaloux.

Manon - La distance me fait peur.

Moi - On la vaincra.

Elle sourit et caresse mes joues à l'aide de ses pousses.
Elle se recule petit à petit et se lève.

Manon - Jade est amoureuse de toi donc je ne suis pas sur qu'elle soit très heureuse de savoir que sa marreine lui à volé son amoureux.

Je rit légèrement et me lève.

Moi - Elle comprendra t'inquiète.

Elle souffle et j'attrape ses mains dans les miennes.

Moi - Manon... Je colle mon front contre le sien. Je t'aime...

Manon - Je t'aime aussi. Elle frotte délicatement le bout de son nez contre le mien.

Moi - Alors accepte de devenir ma petite amie.

Elle hoche doucement la tête alors qu'une larme roule sur sa joue.
Un énorme sourire prend place sur mon visage.
Je la rapproche encore plus de moi jusqu'à ce que nos corps soient collé l'un contre l'autre et je l'embrasse.