La sœur d'Olivier Giroud

74.

PDV Manon :

Aujourd'hui c'est le grand retour en Espagne.
Antoine est triste de quitter sa famille mais il reprend l'entraînement dans deux jours donc on doit repartir.

Antoine - Vous viendrez bientôt ? Il demande doucement à ses parents.

Isabelle - Mais bien sur mon chéri. Elle lui embrasse une joue.

Alain - Aller ! Vous allez rater votre avion.

Antoine prend sa mère dans ses bras et moi je dis au revoir à son père.

Moi - A bientôt à Madrid alors. Je souris.

Alain - Évidemment. Il me sourit aussi et on se fait la bise.

On échange et Antoine prend son père dans ses bras alors que je me dirige vers sa mère.

Isabelle - Je te demandes pardon Manon. Elle dit doucement. Je pensais vraiment que tu étais avec Antoine que pour son argent.

Moi - C'est bon. Je vous comprend. Erika et Antoine etaient soudés tout de même donc, je vous comprend. Et puis vous vouliez protéger votre fils.

Isabelle hoche la tête et me prend dans ses bras.

Antoine - Bon aller. Il regarde ses parents.

On entre dans la voiture et on s'attache.
Il démarre la voiture et ouvre sa fenêtre.

Il sort de l'allée et fait un signe de la main à ses parents.

Moi - Bon. Je le regarde. Comment tu te sens ?

Antoine - Ça va.

Il ne me lance aucun regards. Mais je le comprend.
Il n'avait pas envie de repartir maintenant.

On se rend à l'aéroport et go Madrid !

Quand on arrive enfin à la maison, il fait nuit et je suis crevée comme jamais.

Moi - Je suis crevée ! Je m'affale sur notre lit.

Antoine - Et moi donc. Il m'imite.

Je tourne la tête vers lui.
Il me regardait déjà.

Moi - Comment tu te sens ?

Antoine - Mieux. Il sourit doucement.

Je souris aussi et m'approche de lui.

Il me prend dans ses bras et embrasse la joue.

Antoine - Tu es la femme parfaite bébé.

Je ris légèrement et me recule afin de le regarder dans les yeux.

Moi - Quoi ?

Antoine - Malgré tout ce qu'il s'est passé avec Erika tu es resté à mes côtés. Ma mère t'as mal jugé et tu es quand même resté à mes côtés. Tu m'as soutenu jusqu'au bout dans ma douleur, alors que toi même tu es habitée par la douleur de la perte de ton père.

Si je m'y attendais à celle là...

Moi - Je ne sais pas quoi te répondre Antoine. Je suis déstabilisée.

Antoine - Ne dis rien bébé. Il m'embrasse et me sert contre lui.

Antoine - Crois moi que pour rien au monde je ne te laisserais partir.

Je le sert un peu plus fort contre moi et lui embrasse le cou.

Moi - Je pense tout simplement, que c'est mon rôle d'être à tes côtés. Je suis ta copine donc, je me dois d'être la pour toi dans les bons comment dans les mauvais moments.

Antoine - Et je t'en remercie.

Moi - C'est que notre couple deviendrait sensible. Je ris doucement.

Il rit aussi puis se recule pour me regarder dans les yeux.

Antoine - Tu viens de gâcher un moment romantique.

Moi - Ah. Merde alors.

Il sourit bêtement.

Moi - Et, est ce que tu es prêt à reprendre l'entrainement ?

Antoine - Ouais. Ça ne peut que me faire du bien.

Moi - Je suis d'accord.

Antoine - Par contre, il va falloir que j'affronte les journalistes.

Moi - Ouais... C'est une autre histoire ça hein ?

Antoine - Ouais... À ce propos... Est ce que tu serais d'accord pour que je leur dise que j'ai une copine ?

Je fronce les sourcils et l'invite à préciser sa pensé.

Antoine - Je ne dévoilerait pas ton identité mais, je leur dirait juste que j'ai une copine qui m'a accompagné et aidé dans cette mauvaise passe.

Moi - Bah... Si ça t'es nécessaire, oui tu peux, mais je tient à garder ma vie calme encore un moment.

Antoine - Tu es consciente qu'ils vont chercher à savoir qui tu es et sûrement émettre des informations fausses.

Moi - Je sais que je peux avoir confiance en toi.

Antoine - T'es la meilleure. Il sourit et m'embrasse tendrement.

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Je tiens à m'excuser de ce retard d'une semaine mais encore une fois j'ai eu un problème d'inspiration.
Je ne suis pas fière du tout de ce chapitre, faute d'inspiration, j'espère qu'il vous plaira quand même. Dites moi en commentaires.
Gros bisous 😘💛