𝐛𝐫𝐢𝐬𝐤 | the flash

𝐗𝐈. 𝐞𝐧𝐥𝐞𝐯𝐞𝐞

hayley bennet

Deux longues journées sont passées, et j'étais toujours dans cette maudite cellule, que je n'arrivais pas à quitter. En réalité, je continuais à menacer toutes les personnes qui se trouvaient dans ce laboratoire, alors ce n'était pas en agissant ainsi qu'ils allaient me libérer mais je ne pouvais pas m'en empêcher. Je les haïssais et exprimer ma haine envers eux était devenue ma seule et unique occupation depuis mon arrivée ici.

- Tu sais Hayley, je n'aime pas te voir enfermée mais c'était la meilleure chose à faire, me confia Barry en me regardant tristement derrière la vitre avant de partir.

- Barry ! L'interpelai-je afin qu'il se retourne pour m'écouter.

Le jeune homme se stoppa, hésitant à se retourner mais partit finalement, il aurait pu rester afin d'écouter ce que j'avais à lui dire, mais je n'allais pas lui en vouloir, puisque j'allais encore une fois lui rappeler que je le détestais à ce moment-là. Je m'assis au fond de ce petit endroit où j'étais emprisonnée. Tout le monde me tournait le dos parce que je devenais folle, à cause de mon envie de tuer Green Arrow, qui m'énervait et qui ne méritait que la mort.

Une heure plus tard, la porte de ma cellule s'ouvrit. Sans vraiment comprendre pourquoi cette porte venait de s'ouvrir, je quittai tout de même cet endroit le plus rapidement possible, afin que personne ne vienne m'en empêcher si cette ouverture était une erreur. Mais personne n'était présent à S.T.A.R labs, ce que je ne comprenais pas. Comment était-ce arrivé ? Quelqu'un avait dû l'ouvrir, donc ce fut un mystère. Mais je n'allais pas me plaindre, car je pus enfin sortir et revoir l'extérieur. L'air frais de dehors me fit du bien et j'étais bien contente de voir un ciel bleu.

Cisco allait devoir vérifier le système de ces cellules, puisqu'apparemment, elles s'ouvraient toutes seules. Ma première envie fut de rentrer chez moi, car je voulais me laver et surtout changer de vêtements, car je portais mon costume de Brisk depuis quelques jours. Mais je ne pouvais pas rester dans ma maison très longtemps car Barry et ses coéquipiers allaient me retrouver facilement si je ne changeais pas d'endroit. Alors je fis seulement ce que je souhaitais et repartis aussitôt après avoir terminé.

Ma vengeance allait se faire un peu plus tard que prévu, éliminer Oliver n'était, pour le moment, pas ma première envie : je devais d'abord partir et éviter de me faire renfermer dans cette cellule qui ne me plaisait pas du tout.

Je me rendis à la frontière de Central City, j'étais seule. Mon téléphone portable se mit à sonner. Je le sortis de ma poche, le nom de Barry s'affichait sur l'écran, sans que je ne sois réellement étonnée. J'ignorai son appel et remis mon téléphone là où il se trouvait. Par la suite, j'entendis du bruit qui venait de derrière moi. Je me retournai pour voir ce que c'était mais je me pris un coup sur la tête. Était-ce une mauvaise blague ? Je me refaisais déjà kidnapper ? Comme si c'était normal. Je perdis connaissance peu de temps après.

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Je me réveillai dans un endroit assez sombre. C'était déprimant. J'entendis une personne arriver vers moi, c'était certainement la personne qui venait de m'enlever. Je levai la tête vers cet individu : Oliver Queen. Je ne savais pas pourquoi mais je ne trouvais pas cette situation très étonnante.

- Si tu veux savoir, Barry et tous les autres ne sont pas au courant du fait que j'ai pu te libérer. Mais je préfère te voir ici, c'est plus amusant pour moi, me sourit Oliver alors que je regardais les cordes qui m'empêchaient de bouger.

- Je te hais ! Criai-je en essayant de me libérer.

- N'essaie pas de partir, car tu n'y arriveras pas. J'ai réussi à trouver ce poison qu'une personne avait déjà utilisé contre toi. Donc temporairement, tu n'as plus ta vitesse et je dois bien avouer que c'est une bonne chose, m'expliqua-t-il.

Le justicier quitta cet endroit en montant des escaliers. Je devais donc être dans une cave, ou une pièce qui devait y ressembler, le repère de Green Arrow peut-être. Mais à présent, je devais trouver un moyen de m'en aller, même si cela semblait être difficile à cet instant.