SEIZE.

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-Ju ?

-Ouais ? l'Allemand répondit, concentré sur ses pancakes. Comme Presnel ne répondit rien, il releva la tête, les sourcils foncés. Ouais ? T'aimes pas ? Tu veux que je te fais autre chose ?

-Fasse. Que je te fasse.

-Vraiment ? Julian fronça un sourcil. Mais c'est quel temps, ça ?

-Du subjonctif. Mais si si, c'est super bon. Je voulais juste te demander...pourquoi ? Pourquoi tu m'as invité comme ça ? J'veux dire, le prend pas mal, hein, mais...on s'invite pas pour des pancakes, d'habitude.

Julian hocha la tête, cherchant ses mots sans les trouver. Parce que tout à coup, il n'était pas sûr que c'était une bonne idée. Passer du temps avec Presnel était toujours une bonne idée, mais devoir lui expliquer je pourquoi du comment, beaucoup moins.

-Hey, Jule, je te demande pas une dissertation là, Presnel posa sa main sur la sienne. Pourquoi t'es en train de paniquer dans ta tête ?

-Pardon, l'Allemand lâcha. Je suis désolé. Je...je voulais pas que tu crois ça.

-Que je crois quoi ? Presnel fronça les sourcils.

-Que c'était un test, parce que c'était pas un test.

-Un test ?

-Quand je t'ai embrassé, je sais que tu crois que je t'ai embrassé pour vérifier que je préfère les garçons mais je veux pas que crois ça parce que c'est pas vrai, moi je...

Il s'arrêta pour reprendre sa respiration, mais cet arrêt se prolongea quand il se rendit compte qu'il venait de se ridiculiser plus que jamais. Et que maintenant, il n'avait plus envie de finir sa phrase mais plutôt de trouver un moyen d'effacer la mémoire de Presnel pour qui oublie cet entier échec.

-Julian, l'appela doucement Presnel--c'était bien la première fois qu'il l'entendait parler doucement--, et Julian secoua la tête, les yeux dans le vide. Jule, regarde-moi s'il te plaît.

Après quelques secondes d'hésitation, il releva la tête vers le Français, qui lui sourit.

-C'est juste moi.

Julian haussa les épaules. Il savait que Presnel avait raison, et que s'il y avait quelqu'un avec qui il devait bien se sentir, c'était lui. Mais c'était plus compliqué que prévu dans cette situation.

-Oui mais tu me plais et je sais pas comment te le dire, Julian lâcha avant de réaliser qu'il avait vraiment dit ça au lieu de le penser.

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Oui j'ai trouvé que c'était le bon moment pour arrêter le chapitre 😄
Je suis la seule qui ai décidé de regarder l'entièreté de ce (super) (fabuleux) Bayern-PSG?

porte-bonheur » DRAXEMBE #WattPride ✓Where stories live. Discover now