L' Assassin Et La Policière

CHAPITRE 18

PDV Nirvana ( charone )

L'air fouette mon visage, ma frange me chatouille le front, et mes cheveux se balance dans le vide suivant le dance du vent. Mes yeux regardent le grand vide qui est devant moi, et je ne pense plus. Je fixe sa profondeur, me demandant jusqu'où peut il aller. Je ne vois pas le sol, je ne vois pas ou je pourrais bien atterrir si je tombe. Ais je seulement envie de sauter? Je ne sais pas. Je veux mourir? Laisser derrière moi mo' existence qui n'est que méchanceté... Faire plaisir a ceux qui me haïssent. A ceux a qui j'ai fait mal. J'ai enlevé des maris? Je ne sais pas. D'une part j'ai envie de mourir. D'autre part envie de vivre. Pourquoi ? Une de mes raisons et de savoir pourquoi je suis devenue ce que je suis. Pourquoi ma famille m'a abandonné. Je me mens en me disant que je m'en fiche. Mais au fond, j'ai toujours souffert de la version que yichima m'a donné. De l'abandon de mes paternels. Je ne les connais pas... Mais je crois que je voudrais les avoir en face de moi, les entendre dire que je n'étais pas désiré, qu'ils m'ont jeté. Je me sentirais peut être encore plus mal, mais au moins je n'aurai plus de doute.

Mes pensées s'égarent. Je devrais me concentrer sur ce que je veux faire. Mais quoi? Je regarde le toit qui me sépare du vide. Il est a quelques mètres. Si j'arrive pas a atteindre l'autre bout d'un mouvement précis, je tombe et je meurs. Ces immeubles sont hautes bâtiment haute. Le building de super city. Situé côté a côte avec un gratte-ciel sur lequel je suis debout. Je dois sauter et aller finir ce que j'ai a faire, mais j'attends. J'attends un signal. Un signal qui déterminera si je vais obéir ou pas.

Mon armure digne d'un super justicier me colle. On dirait une deuxième pot. Un uniforme rouge sang constitué d'un pantalon colant, léger et agile. D'un haut sans manche de la même couleur et d'une cape sous forme de veste avec une capuche qui couvre ma tête et la moitié de mon visage. Un petit masque rectangulaire s'arrêtant du haut de mon nez complète le tout. Un uniforme typique d'un assassin, le rouge sang annonçant le malheur pour celui qui se retrouvera devant moi. Une tenue sexy, mais ténébreux, diabolique. J'aime beaucoup et fallais voir comment Cham me reluquait. Il n'était pas du tout discret. Enfin il ne l'est jamais. Il fait ce qu'il veut, personne ne l'en empêche.

Cela fait deux jours et demie que je suis ici a super city, et je n'ai même pas eu le droit de quitter la propriété de Cham. Nous sommes ses petits chiots mais aussi ses prisonniers. On obéit ou on est tué. Hier, un pauvre jardinier a été décapité sous nos yeux a cause d'un malheureux herbe pas bien déraciner du sol. Bordel mais c'est vraiment n'importe Quoi. Il profite de la moindre petite faille pour montrer sa supériorité. Depuis mon ultime combat qui a mis six pieds sous terre 10 de ses hommes, il est un peu sur les nerfs même si il est heureux sadiquement pour ma prestation meurtrière. Iam en a décapité trois et Arielle deux. Elle se débrouille très bien 'a jeune femme. Vraiment pas mal. Elle est doué.

Un froid enveloppa mon corps sous la chaleur que me procurait mon accoutrement. Au bout des manches de ma veste, une barre de fer y est collé d'où sont positionner quatre fléchettes près a être tiré. Mes katanas sont croisés derrière mon dos soutenu par un aimant qui les stabilise. Un autre est soutenu par ma ceinture d'acier rouge autour de ma hanche suivis d'un arme de flèche tranquillisant. C'est pas tout le monde qu'on tue, même si...

Mes cuisses sont entouré de deux petits ceintures noire a pochettes d'où mes deux dague sont su l'une et une arme a feu sur l'autre. J'en ai pas besoin. Je déteste ce truc. Mais faut toujours faire plaisir au boss. Vous vous demandez sûrement ce que je fais ici? Patiente... Vous allez le découvrir dans a peine quelques minutes. Je prends un petit objet pointu sous forme de clou mais qui ne pique pas, rassemble mes cheveux sur mon crâne et les soutena par l'instrument. J'attrape mon masque que j'avais enlevé, le reporte et enfin ajusta ma capuche. Décidément j'aime bien les franges. Elle aide mon masque en cachant mon front. Même si des caméras étaient fonctionnels a cet instant même, on ne saurait qui je suis.