Maëlyss Deschamps Et Hugo Lloris [FINI] En Correction

Chapitre 65

Jeudi 21 juin 2018, France Pérou, Ekaterinbourg

PDV HUGO

Paul : Moi je ne veux pas rentrer en France sans cette coupe. Alors on défonce tout!
Moi : Paul a raison. On ne rentrera pas en France avant le 15 juillet. Il nous la faut cette coupe pour prouver aux français qu'on peut gagner, qu'on a appris de nos erreurs de l'Euro. Si on se blesse, on se lève, si on tombe, on se relève. Jamais on montrera que nous sommes faibles. Nous ne sommes pas Neymar !!! ( il est toujours à terre. PS : Désolé à ceux et celles qui l'aiment )
Kylian : C'est mon pote !
Moi : Désolé Donatello. On ne fait pas semblant de se blesser comme Ronaldo. On va gagner, je compte sur vous les gars !

On ne serre chacun dans les bras et nous entrons sur le stade. Je jette un coup d'œil aux tribunes et je vois ma femme porter mon maillot fièrement comme mes enfants. Elle sourit quand elle remarque mon regard sur elle. Je lui rends et cours vers mes cages.

Ellipse match

Et 1-0 pour nous. On a gagné et on est premier du groupe. C'est génial!!! Je vais dans les vestiaires et écoute Paul.

Paul : Bravo Donatello !!! T'a géré frère. Je suis fière de toi mais maintenant, on va changer la couche et au dodo. Un bébé doit se coucher tôt pour être en forme.

Et voilà pourquoi Kylian court après Paul dans les couloirs du stade. Maë entre dans les vestiaires.

Maëlyss : Wesh, pourquoi Tortue Ninja court après Pogbette ?
Adil : Parce que Paul a dit bravo Donatello maintenant il va lui changer la couche et le mettre au dodo pusique c'est un bébé.
Maëlyss : Un jour il va me tuer celui la. Thank Ramiette !
Adil : Arrête avec ce surnom La naine Lloris!

Elle éclate de rire et se dirige vers moi afin de me prendre dans ses bras. Je la sers contre moi et l'embrasse tendrement.

Anna-Rose : Bonjour papa !

Je me retourne et prends dans mes bras mes enfants.

Moi: Comment sa va ?
Anna-Rose: Bien. Tu nous manques tout le temps.
Moi : Vous aussi vous me manquez.

Maëlyss me chuchote a l'oreille.

Maëlyss : Tu devrais discuter avec Eliot. Il va pas bien en ce moment et j'arrive pas à savoir pourquoi.

Je cherche Eliot du regard et le vois au fond des vestiaires, affichant un air triste. Je m'approche de lui.

Moi : Salut bonhomme.

C'est à peine si il m'adressait un regard. J'interroge Maë du regard mais elle me répond d'un haussement d'épaules. Je tends ma main à Eliot.

Moi : Viens.

Il attrape ma main et me suis. Je l'entraîne sur le stade.

Moi : Qu'es qu'il se passe ?
Eliot : Rien...
Moi : Tu sais que tu peux me parler. Je te considère comme mon fils.
Eliot : Y'a rien je te dis. Lâche moi.
Moi : Je ne te lâcherai pas tant que tu ne m'aura pas parler.
Eliot : Tu m'aimes ?
Moi : Bah bien sûr.
Eliot : Je veux dire, autant que tu aimes Anna-Rose, Rosela ou Aiden ?
Moi : Bien sûr que oui. Je t'aime p'tit prince. Pourquoi tu me poses cette question ?
Eliot : J'ai l'impression que tu m'aimes moins que les autres et que je suis un boulet pour toi.

Il baisse la tête mais je peux distinguer ses larmes. Je le sers contre moi.

Moi : Tu n'es pas un boulet Eliot. Tu es un amour, un magnifique garçon qui a besoin d'être aimé. Je sais que je suis juste ton beau père mais je te considère comme mon fils donc a aucun moment tu dois te sentir inférieur à tes soeurs et ton frère. Je t'aime autant qu'eux. Mais les jumeaux sont plus petits, donc je passe plus de temps avec eux qu'avec toi. Je suis désolé mais je te promets qu'à chaque fois que je pourrais, je passerai du temps avec toi et si tu veux, tu peux emprunter le téléphone de maman pour m'appeler ou m'envoyer des messages. Tu es mon p'tit prince a moi et je t'aime encore plus que le foot.

Il finit par sécher ses larmes et me sert contre lui. Je lui embrasse le front en le gardant dans mes bras.

Eliot : T'es pas mon beau père, t'es mon père. Tu es génial et je t'aime. Merci beaucoup papa.
Moi : Avec plaisir. On va rejoindre les autres?

Il hoche la tête en souriant, sèche ses dernières larmes et me suis en direction des vestiaires. Nous entrons dedans et il se dirige vers Ben Mendy. Maëlyss s'approche de moi et entoure mon cou de ses bras.

Maëlyss : Alors ?
Moi: Alors il a l'impression que je l'aime moins que Rosela, Aiden et Anna-Rose. Qu'il est un boulet dans ma vie.
Maëlyss : Mon dieu....
Moi : T'inquiète pas poupée. On a parlé, je l'ai rassuré et tout va bien maintenant.
Moi : Merci mon amour tu es le meilleur.

Je l'embrasse chastement. Elle finit par partir avec les enfants. Je les embrasse, me change et vais dans le bus.

Ellipse nuit

Je me lève et descends déjeuner. Le temps que je déjeune, mon téléphone sonne.

De Mon amour ❤ : Coucou papa, c'est Eliot. J'ai beaucoup réfléchi cette nuit et je me suis dit que je vais être le meilleur des grand frères pour Aiden, Rosela et Anna-Rose et que je vais être le meilleur des fils pour toi. Je veux que tu sois fier de moi je vais donc aider maman au quotidien. I love you my father.

A Mon amour ❤ : Hey p'tit prince, tu es déjà le meilleur des grand frères. Tu es le meilleur des fils a égalité avec Aiden quand même, puisque je te rapelle que je vous aimes autant. Je suis déjà très fier de toi mais tu peux aider maman au quotidien, sa la soulagerait d'un poids et elle serait plus détendu et aussi prendre soin d'elle quand je suis pas la s'il te plait. I love you my son.

De Mon amour ❤ : D'accord je vais faire sa. T'es trop gentil papa, je t'aime et j'ai de la chance de t'avoir comme beau père.

A Mon amour ❤ : C'est moi qui est de la chance de t'avoir comme fils. Je t'aime.

Je range mon téléphone en souriant. Qu'es que j'aime cet enfant.