La Fratrie Nakins.

32.

« L'enregistrement. »
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comme il neige bah je suis heureuse
donc je vous partage ma joie

Liam.

En me réveillant, je savais pas tellement quelle heure il était et la place à côté de moi était vide. Je me suis juste endormi sous toute la fatigue que j'avais accumulé.

J'attrape mon téléphone pour regarder l'heure et j'ai été surpris de voir qu'il était déjà vingt deux heures. La maison semblait calme et vu comment les filles étaient cet après midi, je crois qu'elles sont sorties.

Je repose le téléphone et je me suis étalé sur tout le lit pour pouvoir me rendormir tranquillement.

***

- Noam : Pendant que ta copine frotte en boîte, toi t'es là tu dors paisiblement.

Je ricane, en descendant tranquillement les escaliers.

- C'est qui qui lui met au fond à la toute fin ? Il répond pas. Donc qu'elle frotte qui elle veut, on se retrouve dans le lit après.

- Téodor : Eh bien. C'est du français tout ça.

Je m'asseois sur le canapé avec eux.

- Bah alors Isak, ça va pas ?

Il me répond même pas, la tête sur son téléphone.

- Noam : Je tiens quand même à préciser que ça part d'un jet-ski leur histoire là.

Je regarde Téodor qui sourit pour toute réponse. Il se colle à Isak et lui tire les joues après lui avoir fait un bisous dessus.

- Téodor : Bébé..

- Isak : Putain niques ta race bâtard va.

Il essaie la bave que l'autre trou du cul lui avait laissé.

- Vous êtes sûres elles sont en boîte même ? Parce qu'Aby elle a dit qu'elle aimait pas ça et en plus avec Jahya, j'ai un petit doute.

- Téodor : À la base, elles devaient même pas aller en boîte seulement sortir mais comme Aby et Isak se sont pris la tête quand elles ont dit où elles se rendaient, eh elles sont vraiment parties en boîte.

- Bah venez on y va aussi.

Ils se sont tous tournés vers moi, même Isak.

- J'ai pas dit les rejoindre, j'ai juste dit qu'on allait au même endroit qu'elles et voilà. Chacun sa soirée. Je regarde mon petit frère. Tu vas pas te laisser aller parce que ta madame te boude, si ? T'es un Nakins ou pas ?

Il a un sourire malgré qu'il tentait de fermer sa face.

- Téodor : Comment tu lui montes la tête, incroyable.

- La manipulation, c'est un art. Ceci étant dit, je vous propose d'aller vous mettre sur votre 243.