La Fratrie Nakins.

35.

« Et si c'était lui ? »
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Laïs.

J'ouvre difficilement les yeux à cause de la luminosité qui venait agresser mon visage, encore fatiguée.

Je tâte la place à côté de moi pour la découvrir vide, ce qui signifie qu'il était déjà réveillé. On avait passé une bonne partie de la nuit à parler de tout et de rien parce qu'il avait pas du tout sommeil alors je l'ai bercé pour moi même dormir au final.

M'enfin. Je souffle longuement avant de me lever en traînant des pieds. Je me rends à la salle de bain où je me suis d'abord brossér les dents avant de me déshabiller pour rentrer dans la cabine de douche.

Je ferme les yeux, en repensant au rêve que j'avais fait dans la nuit. Un très méchant rêve d'ailleurs qui me mettait assez mal à l'aise. C'était bizarre.

- Liam : T'aurais pu m'attendre.

J'esquisse un petit sourire, en me tournant vers lui. Il s'est déshabillé en deux petites secondes avant de rentrer dans la cabine de douche en me plaquant sur le mur doucement et avec un sourire.

Je comble le peu d'espace entre nous en l'embrassant à pleine bouche, sa main droite sur mon sein et l'autre sur ma fesse qu'il claque ferment. Il répond tout aussi fiévreusement à mon baiser en se collant à moi.

Le monstre se réveillait..

🔞

Il lâche mes mains ainsi que ma poitrine pour placer placer la gauche sur mon cou qu'il serre légèrement et la deuxième tout en bas. Avec deux doigts.

- Aw..

Il fait plusieurs vas et viens avec ses longs doigts en passant de temps à autre son pouce sur mon clitoris.

- Liam : T'aimes beaucoup quand je fais ça hein..

Je laisse tomber ma tête contre son torse en attrayant ses épaules quand je le sens rajouter un autre doigt.

Le garçon là.. ses doigts quoi.

Sans que je m'y attende, il m'a soulevé d'un coup avant de me pénétrer sauvagement sans jamais quitter mon regard une seconde.

Je mords ma lèvre alors qu'il bouge plus une seconde en mumurant dans sa belle barbe, lui aussi submergé par le plaisir.

Doucement, il plaque mes jambes contre le carrelage puis il a commencé à aller et venir et progressivement c'est devenu dur. Il y allait fort.

Ses sourcils froncés, son regard sur moi, sa bouche qui passait sur mon cou et ma bouche, mes ongles qui s'enfoncent dans sa chair, mes gémissements bien au rythme de ses coups de reins, son souffle irrégulier.

Il tapait clairement le fond.

J'avais mal mais pas mal dans le mauvais sens. C'était un bon mal. Quand il a posé sa bouche dans mon cou, alors il m'avait perdu.

Il laisse traîner sa langue longuement en ralentissant son bordel qu'il faisait à mon sexe en feu.

- L-Lia..m..