𝐅𝐈𝐑𝐒𝐓 𝐋𝐎𝐕𝐄 || M.Yg ||

C H A P I T R E 10

Il faisait nuit et toujours aucun signe des parents d'Irarah.

Elle c'était endormie dans les bras de Yoongi, où devrais-je dire « susucre ».

Ils étaient tellement mignons tout les deux.

On avais passé toute notre journée au bar et Mira avais dû le fermer exceptionnellement.

Il était assez tard, il devait être 23 heures mais rien, aucun signe des parents d'Irarah.

Alors que je somnolais, une dame paniquée pénètre dans le bar. Tout le monde se tourne vers elle.

— Je cherche ma fille où est mon bébé ? Dit-la femme en panique.

Irarah relève la tête et croise le regard de l'inconnue, elle se relève directement et s'enfuit des bras de Yoongi pour aller se réfugier dans ceux de la femme.

— Mon bébé, maman est tellement désolée de t'avoir laissée seule. Dit-elle en lui caressant le dos.

— Chayong ? Dit Mira.

La femme se releva et d'un coup, elle pris Mira dans ses bras.

— Merci d'avoir retrouvé ma fille Mira, merci. Dit-elle la voix tremblotante.

— Ça fait tellement longtemps, je ne savais même pas que tu avais eu un enfant.

Yoongi et moi nous regardons, les sourcils froncés, Mira connais la mère d'Irarah ?

— Maintenant qu'elle a retrouvé sa mère, on peut rentrer. Dit-il en partant vers Kiro.

Aussi rapidement ? Bon...j'imagine que j'ai pas le choix si je ne veux pas rentrer à pied.

Il part récupérer Kiro qui était dans un coin du bar à roupiller.

Nous allions sortir quand soudain des petits reniflements attirent notre attention.

On se retourne alors pour tomber sur Irarah, les yeux remplis de larmes.

— On va jamais pouvoir rentrer si elle pleure toute les 5 minutes. Dit Yoongi en soufflant.

Mais quel menteur, il a passé la journée à lui sécher les larmes et maintenant ça l'embête.

— Je veux pas que vous partiez !

— Il est tard, Susucre et moi on est fatigués. Il faut qu'on rentre chez nous.

— Je...veux...*renifle* pas ! Dit-elle en pleurant à chaudes larmes.

La maman d'Irarah se dirige vers nous et prend sa fille dans ses bras avant de venir vers moi.
Elle m'attrape les mains et me les serre, elle me fixe avec un regard doux.

— Merci d'être partie chercher mon bébé alors qu'il pleuvait des cordes. Merci infiniment, sans vous ma fille serait sûrement restée sous la pluie à m'attendre et elle serait tombée malade, merci.