𝐅𝐈𝐑𝐒𝐓 𝐋𝐎𝐕𝐄 || M.Yg ||

C H A P I T R E 41

Y O O N G I
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Nous sortons de ma chambre main dans la main .

Mon regard se dirigea de lui même vers son cou, mon regard se pose sur les marques violacé , je sentis ma mâchoire se crisper .

Elle pose sa main sur ma joue , son geste calme immédiatement ma colère .

— Bébé..

J'ouvre grand les yeux à se surnom .

Elle devient soudainement rouge et s'avance rapidement vers le salon cachant son visage dans ses mains alors que je reste planté au milieu de couloir un sourire au coin coller au lèvre .

— Mon ange attend ! Dis-je en me dépêchant de la rattraper.

Je lui attrape la taille et la serre contre moi .

— Redis le moi. Dis-je le regard suppliant. Juste une fois .

Bon sang, c'est fou comment cette femme à le don de me rendre niais .

— ..bébé . Dit-elle en souriant.

— Own , ils sont trop mignons.
— Mais ferme la , ils vont nous entendre .
— Ils sont vraiment chou n'empêche.
— Retenez moi, je sens que je vais le tuer .

On se retourne vers notre bande .

— On vous dérange pas ? Dis-je en les fixant.

Il échange des regards gêner avant de sortir de leur cachette.

— Maintenant que tout le monde est calme, on ne pourrait pas réfléchir à ce taré de Kai ?Intervient Hoseok .

— Pourquoi on irait pas simplement au commissariat ? Proposa Lisa .

— Pour qu'il s'en sorte avec une simple amande ? Je préfère encore m'en occuper moi même . Intervient Jungkook.

— Je pense que pour le moment on devrait faire attention et faire en sorte que Sorim ne sorte plus seule . Dit Jin les bras croisées.

Nous hochons tous de la tête .

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Plus tard dans la journée, tout le monde était encore présent, un peu éparpillé dans la maison.

J'étais assis sur le fauteuil près de Sorim et nous regardions un film en compagnie de Jin, Jungkook et Jimin.

Le reste était soit effrayé car c'était un film d'horreur soit juste occupé comme Namjoon à travailler depuis "son" domicile.

Nous étions tous les cinq hypnotisés par le film, on avait spécialement étain toute les lumières du salon et fermer les portes des pièces où se trouvaient les autres, nous nous retrouvions ainsi dans le noir complet .