SANG PUR [TERMINÉ]

Chapitre 15.

Quand nous eûmes dépasser la porte d'entrée, un grand hall apparût dans mon champ de visions.

Il était richement décorer avec une commode en ébène, rangeant sans doute des chaussures, un porte manteau et d'une table en bois de chêne noir, ou il reposait un chandelier et un vase comportant des lys blanches.
Des dizaines de miroirs était disposés sur les murs pour donné l'impression d'avoir de l'espace.

L'ambiance était chaleureuse, et la plupart des meubles que nous croisions sur notre
chemin étaient boisés différemment.

​- Est-ce que c'est chez toi ? demandai-je curieuse.

​- Oui, j'habite ici depuis peu !

​- Tu as bon goût, décidai-je de lui intimé.

​- Merci, c'est très aimable de ta part.

Il me fit un sourire éclatant.

​- Je peux regarder si tu as cicatriser ? me dit-il subitement.

​- Quoi ?

​-  Ton dos ? Je peux regarder si il a cicatriser ?
​- Ah oui, oui bien sûr.

Il souleva légèrement mon t-shirt, pour regarder si l'énorme trou dans le dos était toujours la.

Il me caressa doucement la peau. Cela me fit des frissons.

​- Il a disparu aussi vite qu'il avait apparu, ce qui confirme ton rang de sang pur. Maintenant je vais t'entraîner.

Je ricanai.

​- A quoi ?

​- A utiliser tes pouvoir vampirique et a en découvrir des nouveaux.

​- Pas besoin, dis-je.

​- Oh si. De toutes façons tu n'as pas le choix.
​- Si, j'aurais le choix.

Il fronça les sourcils et couru vers moi a toutes allures.

Je l'évitai en me décalant vers la gauche et couru vers les marches d'un grand escaliers. En une seconde je me retrouvai au dessus de celui-ci, et je continuai mon chemin dans les innombrables couloirs de ce manoir.

Je marchai depuis 5 bonne minutes, et je tombai sur une porte en bois qui m'intriguai, et j'attrapai la poignée de celle-ci mais elle ne voulait pas s'ouvrir. Je jurai que je voulais que cette poignée explose et comme par magie elle explosa.

​- WOW ! m'exclamai-je.

Je rentrai dans la chambre en tirant la porte vers moi et je vis une arbalète se braquer droit sur mon coeur. Je grognais en regardant l'arbalète en montrant les canines, puis je relevais mon regard sur la personne en question.

Je me pétrifiai.

​- Téa?! s'exclama l'homme.

​- P..p..papa? bégayai-je.

Je me retournai vivement, ramenai la porte vers moi pour la fermer, et je bloquai celle-ci avec mon corps.

Je haletai, je ne voulais en aucuns cas le voir, et je venais de lui prouver que j'étais encore vivante. Il tambourinait à la porte et la poussait pour essayer de sortir, mais j'avais nettement plus de force que lui, et je la maintenai en place.

Puis il arrêta, mais j'entendis qu'il reculait, et d'un coup, il courut, un énorme choc parcoura la porte, et je fus éjecter sur le mur d'en face.

Mais il avait défoncer la porte ! Je me relevai a l'aide de ma super vitesse, et je couru vers le fond du couloir.

Quand j'y fus, mon père me scrutai, en dehors de la chambre. Nous fûmes interrompu par Aiden qui apparu à côté de moi.

​- Pourquoi t'as libéré le roi des chasseurs de créature surnaturelles! Je l'avais enfin capturé !

​- La porte était fermée et j'ai voulut voir ce qu'il y avait à l'intérieur, de plus il ne me feras pas de mal, expliquai-je calmement.

​- Si c'est ce que tu crois tu te met le doigt dans l'oeil!

​- Aiden, je le sais c'est tout, et je ne me met pas du tout le doigt dans l'oeil.

​-  Et pourquoi donc Madame Je sais tout ?

​- Parce que c'est mon père.

Je l'entendis s'étouffer avec sa propre salive, ce qui prouve que je lui en avait bouché un coin.

​- PARDON ?

​- Oui tu as bien entendu.

Mon père restait toujours silencieux, et ne bougeait pas.

​- J'aurais du me douter que si elle se faisait mordre elle allait devenir un sang pur... chuchota mon père.

​- Papa je t'ai entendu, signalai-je. Et pourquoi t'en doutais-tu ? demandai-je, maintenant curieuse qu'il tienne de tels propos.

​- Parce que mon père était un sang pur. Et c'était le meilleure ami du roi des vampire.

Je me pinçai l'arrête du nez.

​- MAIS C'EST GENIAL TOUT CA ! mais en attendant qu'est-ce qu'on fait là ?

​- Et bien, le problème c'est que, le roi des vampires te veux, pour marier son petit fils, m'expliqua mon père, penaud.

​- Pardon ?! Pourquoi moi ?

​- J'ai fais une connerie quand j'étais plus jeune, et pour dédommager le roi, mon père a fait promettre que si j'avais une fille, elle devait se marier à son fils ou futur petit fils. Et si il apprend que tu es maintenant un vampire, il va vouloir te marier avec son petit fils, qui s'appelle Sebastian.

Je faisais les cents pas dans le couloir.

Je ne veux en aucuns cas être forcé a me marier avec un vampire bordel !  Ma vie est une catastrophe. En plus, il va peut-être être moche ! Ho non non ! Ca me rendait malade.

​-  Il sait que j'ai une fille, mais il croit que tu es une humaine, il est venu te voir a ta naissance, et quand il a vu ta nature, il ne voulait pas te prendre pour te marier a son petit-fils qui venait de naître il y a quelques jours.
​
​- Charmant, sifflai-je.

​- Et bien, tu aurais préféré être dans son lit a l'heure qu'il est? me dit mon père.

​- Non ! m'indignai-je.

​- Voilà.

​- Ou vit-il ? voulu-je m'informer.

​- Ils vivent près d'ici autour de New-York, à environs 130 kilomètres d'ici.

​- Alors il faut qu'on s'en aille, loin, très loin, dis-je a moitié affolée, m'imaginant au bras du prince comme un objet, ou une pute, au choix.

​- Et ou grosse maligne ? intervient Aiden.

​- En Europe ! GROS CONS !

​- MAIS EN EUROPE ILS SONT PLUS NOMBREUX QU'ICI ! ON SE FERA REPERER EN DEUX TEMPS TROIS MOUVEMENTS!

​- MAIS OU VEUT-TU QU'ON AILLE ALORS? !

​- Faudrait aller... en Russie, le plus près possible de la Sibérie.

​- Mais ! Il va faire...

​- CHUT ! C'est soit ca soit tu devra te marier avec ce Sebastian, c'est simple ! Me cria Aiden.

​- Bon ,alors on part ? conclus-je.

​- Il vaudrait mieux, tous les ans il va dans toutes les maisons des gens vampires, ou des gens de leur famille, pour voir si ils ont des filles vampire a mariées, et quand il se rendra compte que la nôtre est vide, parce qu'on a quitter la ville, il va faire tout pour nous retrouver, expliqua mon père.

​- Chiotte !

​- Je vais réserver des billets de bateau pour le trajet de demain qui part pour la Russie.

​- Très bien, mais pourquoi bateau ?

​- Parce qu'il ne pensera pas qu'on ai prit le bateau.

Je partis de mon côté sans posé plus de questions, pour sortir dans la rue quelques instant. Quand j'ouvris la porte, la première chose que je vis, c'est un Andrea marchant sur le trottoir d'en face.
Il se tourna vers moi, ayant entendu le bruit de la porte d'entrée et se raidis.

​- Tessa ? dit-il en croisant mon regard.