Le Servant d'Harry Potter

Chapitre 6: Vérité Inébranlable

Alors que Cédric, Harry et Haldor essayèrent de comprendre où ils pouvaient se trouver, Harry s'étonna de voir Haldor à ses côtés:

- Haldor, que fais-tu ici ?

- Tu as oublié Harry ? Je suis lié à toi par le sortilège de Servitude. Cela signifie que ce que tu vois, ce que tu ressens, ce que tu fais ou je ne sais quoi, je le vis aussi, c'est comme toi quand tu peux voir le maître des ténèbres dans tes rêves.

- Alors c'est vrai, tu peux voir ce que Harry voit ? S'étonna Cédric incrédule.

- Le moment est mal choisi pour parler de cela, il y a plus urgent, regardez. Montra Haldor pointant Peter Pettigrew quelque chose à la main.

- Tue-le ! cria la chose immonde dans les bras de Peter Pettigrew.

C'est alors que ce dernier sorti sa baguette et la pointa vers Cédric. Pétrifié par la peur, Cédric ne pu bouger et malheureusement, le sortilège funeste prononcé frappa le pauvre Cédric qui s'effondra le regard vide sans plus aucune once de vie. Ce fut la fin, Cédric était mort. Haldor ne put s'empêcher de s'écrier devant ce qu'il avait vu:

- Non ! Cédric !

Mais il ne put faire grand chose. Harry non plus d'ailleurs. Car tout deux furent entravés par la statue de la faucheuse sur la tombe de la famille Gédusor. C'est alors que Peter Pettigrew jeta la chose infâme dans le chaudron encore chaud et la suite se poursuivi: un os du père, la main du serviteur et le sang de l'ennemi. Le tout permettait de finir le rituel capable de faire revenir à la vie la créature jeté quelque minutes plus tôt et qui prit peu à peu une forme humaine jusqu'à ce que le visage de Voldemort se forma complétement. Il s'adressa alors à son serviteur pour récupérer sa baguette et faire venir certains mangemort à ses côtés. Il fit tout un discours jusqu'à ce qu'il s'approcha du corps de Cédric pour le profaner jusqu'à ce que Harry intervienne:

- Laissez-le tranquille !

- Harry, quel plaisir de te revoir. Oh, et je vois que Haldor Grancelius est là aussi. Je vois que vous êtes au dessus des restes de mon père. Il est vrai que je ne pouvais pas te toucher Harry, ta mère au sang de bourbe y avait veillé, c'était de la vieille magie. Je ne pouvais pas l'atteindre. Mais maintenant je peux. Conclu Voldemort en touchant le front d'Harry.

Ce dernier hurla de douleur. Mais Haldor aussi avait l'air de souffrir mais c'était sur sa main droite, dans laquelle son gant était déchiré et laissait apparaître sa propre cicatrice qu'il avait lui-même agrandi. C'est là que Voldemort compris la chose suivante:

- Intéressant. Un sortilège de Servitude. C'est pathétique. Un sang pur qui sert un sang mêlé. Tu es tombé bien bas Haldor pour faire une telle magie qui t'engage sur le long terme. Mais après tout, c'est ce que tes parents ont fait en s'en remettant à la mauvaise personne qui les as trahit.

- Que voulez-vous dire ? Peinait à dire Haldor.

- Bien entendu, je ne pouvais pas te tuer car je devais m'occuper d'Harry. Alors j'ai envoyé un de mes hommes qui espionnait tes parents pour le faire. Évidement, tes parents se sont défendu mais ils ne purent lui résister. J'ai cru comprendre que tu avais lancé un sortilège sans parole pour le terrasser et seulement à l'âge d'un an. J'ai tout de suite compris que tu deviendrais une menace. Expliqua Voldemort avec confiance.

- Et pourquoi vous intéresser à moi ? Je ne suis pas l'élu.

- Et bien vois-tu Haldor, j'ai appris que tu étais déjà un sorcier puissant dès ta naissance. Tu descends d'une très grande lignée de sorciers célèbres et puissants à travers les siècles, tout comme ton grand-père célèbre pour avoir vaincu un obscurus à lui tout seul. C'était avant que j'arrive à Poudlard. Je me disais que si tu entrais à Poudlard pour me combattre ce serait une menace pour moi, c'est pour cela que j'ai demandé que ta famille soit exterminée. Ils ne méritaient pas de vivre, j'ai réparé cette grossière erreur. S'exclama Voldemort de rire.

Cette plaisanterie ne semblait pas faire rire Harry qui voyait un visage maléfique et cruel, mais Haldor semblait être envahit par une colère et une tristesse qu'il portait en lui depuis des années qu'il avait besoin de faire évacuer car il ne puis la canaliser d'avantage. Mais Voldemort en décida autrement. Il libéra les deux garçons pour les provoquer en duel.

- Levez-vous ! Récupérez vos baguettes ! Dumbuldore vous a appris à vous battre. Allons, Harry, Haldor, mettez-vous en garde. Et puis on salut. Saluez ! Fit-il en faisant abaisser de force avec sa baguette.

C'est ainsi qu'après avoir relevé la tête, Haldor comme Harry se mirent à attaquer Voldemort mais ils avaient du mal. ce n'est qu'au moment de se couvrir derrière une pierre tombale pour pouvoir mieux se préparer pour attaquer ensemble. Ils pensèrent qu'à deux, ils pouvaient venir à bout du seigneur des ténèbres. En lançant un experliamus, la magie rouge d'Harry et la magie bleue d'Haldor firent face la magie verte de Voldemort. Leurs puissances étaient identiques et ne semblèrent pas prendre le dessus sur une autre. Voldemort vit que ses hommes voulaient intervenir et il les rappela à l'ordre.

- N'intervenez pas ! Harry et Haldor sont à moi ! Je dois m'en occuper seul !

Mais alors que Haldor et Harry semblaient faiblir, des esprits des personnes mortes par les mains des mangemort apparurent, tel que Cédric, les parents d'Harry et à sa grande surprise, les parents d'Haldor. Ces derniers, aux côtés de leurs enfants, leurs dirent qu'ils allaient leurs venir en aide pour qu'ils puissent s'enfuir. Cédric ajoutait comme demande de ramener son corps à son père. Au moment de lâcher, les esprits retenaient Voldemort pendant que Haldor et Harry retournèrent près du corps de Cédric et repartir pour Poudlard avec le trophée portauloin grâce au sortilège Accio.

C'est en rentrant que Haldor et Harry durent annoncer la nouvelle et Poudlard fut en deuil quelques jours plus tard. Au moment de rentrer à la maison, Haldor ne pouvait s'empêcher que le pire était encore à venir et que quelque chose de terrible était sur le point de se produire.