Le Servant d'Harry Potter

Chapitre 9: La Contre-Attaque

Suite au cauchemar d'Harry, la famille de Ron allait rentrer chez elle pour s'assurer qu'Arthur Weasley aille bien. Du côté d'Harry et Haldor, ils durent endurer ce que Rogue allait leurs faire pour lutter contre Voldemort. Haldor le supportait mais ce n'était pas le cas d'Harry qui ne pouvait pas suivre.

Peu de temps après la reprise des cours, les séances de défense avec Harry et Haldor se poursuivirent mais elles allaient prendre fin quand les Serpentard, accompagnés de monsieur Rusard et Ombrage les eurent découvert. Tout les élèves concernés étaient en mauvaise posture. Ombrage et les agents du ministères n'allaient pas faire de cadeaux à Dumbeldore qui avait prit la fuite.

Suite à cet incident, Ombrage prit la tête de Poudlard, Rusard enleva les tableaux des couloirs et les cours étaient comme robotisés. En plus, tout les élèves qui avaient prit part aux séances d'Harry et Haldor eurent la même punition de la plume châtiment en écrivant des lignes. Beaucoup d'élèves avaient du mal à le supporter et ne cachaient pas leurs peines dans les dortoirs:

- Cela ne peut plus durer, elle va trop loin. Dit Hermione aux autres.

- Je suis d'accord avec elle. Il faut agir. Ajouta Ron.

- Mais on ne peut plus rien faire. Se désola un élève de première année. La salle sur demande a été condamnée.

- Il faut trouver autre chose. Dit un élève de deuxième année.

- Je pense que pour l'instant, on ne peut que subir. Je n'ai rien d'autre à proposer. Se résigna Harry.

Pendant que les Griffondor étaient pessimistes, les Serdaigles étaient plus soudés par rapport au début de l'année.

- Tout va bien, Cho ? Demanda Luna.

- Cela fait mal. Dit Cho. Je ne vous ai pas trahis je vous jure. on m'a obligé.

- Moi, je te crois. Dit Haldor qui arriva dans la salle commune.

- Tu crois une traîtresse ? s'étonna un deuxième année.

- Elle ne nous a pas trahis. Je connais Cho, elle n'aurait pas pu faire une telle chose. Leur dit Luna.

- Je vais tous vous guérir du moins pour le moment. Dit Haldor en sortant sa baguette. Voulnera solvento maxima.

Instantanément, les blessures des Serdaigles furent soulagées y comprit celle d'Haldor qui fut le dernier. Ce qui était un minimum pour un servant. Lorsque les examens de fin d'année furent annoncés, Ombrage supervisa la surveillance, mais personne ne se doutait que les jumeaux Weasley allaient débarquer avec leur atirailles pour mettre à sac les mesures prises par Ombrage. Au grand soulagement des élèves de cinquième année qui saluèrent un tel geste. Même si Haldor était content de cela, il restait sur place, sans montrer sa joie car il devait se montrer neutre. Comme il le disait souvent, son rôle n'était que de servir Harry dans son objectif. Son rôle ne consistait pas à apprécier ou non ce qu'il s'y passait.

Lorsque Harry apprit pour Sirius, il rassembla les élèves qu'il avait formés pour préparer une contre-attaque contre les mangemorts qui avaient prit d'assaut le département des mystères. Alors que Harry avait trouvé la sphère qu'il avait vu dans ses rêves, Lucius Malefoy apparu face à eux.

- Où est Sirius ? Demanda Harry.

- Tu sais, tu devrais apprendre à faire la différence entre les rêves et la réalité. Se dévoila Lucius.

- La réalité est celle que l'on choisit de croire. Lui dit Haldor.

- Tu n'as vu que ce que le seigneur des ténèbres a bien voulu que tu vois. Maintenant donne moi la prophétie. Ordonna Lucius.

- Si vous faites quoi que ce soit je la briserai. Prévenait Harry.

- Oh, mais c'est bien joué. Intervint une voix de femme qui ricanait. Le tout petit bébé Potter. Mais toi aussi Haldor tu nous as donné du mal. Leur dit Bellatrix.

- Bellatrix Lestrange. Dit Neville surpris.

- Neville Londubas, je crois. Lui dit la mangemort. Comment vont tes parents ?

- Mieux, maintenant qu'approche leur vengeance. Fit Neville en pointant sa baguette sur Bellatrix.

- Ne fais pas cela. intervint Haldor. Si tu fais cela, tu ne vaudras pas mieux qu'elle. La vengeance n'est pas la voie du sorcier.

- Tu devrais écouter ce que te dis le sang-pur. Ajouta Bellatrix.

- Calme. Tout le monde garde son calme maintenant, d'accord ? Raisonna Lucius. Tout ce que nous voulons, c'est la prophétie.

- Pourquoi Voldemort avait besoin de moi pour venir la chercher ? Demanda Harry.

- Tu ose prononcer son nom ? S'étonna Bellatrix. Espèce de sang-mêlé !

- Vous pouvez pensez de nous ce que vous voulez cela nous indiffère complètement. Défendit Haldor.

- Ce ne sont que des garçons curieux. Affirma Lucius. Les Prophéties ne peut être récupérées par ceux à qui elles sont faites. C'est une chance que vous soyez là finalement.

Le groupe d'amis observait la situation et ils étaient encerclés pas les mangermort mais ils purent résister à Lucius et ils purent se cacher derrière la porte qui menait à un portail mystique qui appelait les morts. Mais leur répit n'était que de courte durée car les mangemort les avaient rattrapés et ils étaient de nouveau encerclés. Harry n'eut pas le choix que de donner la prophétie à Lucius mais Sirius n'était pas de cet avis. Puis, de nombreux Aurore arrivèrent et maîtrisaient les mangemort mais ils ne purent empêchés Bellatrix de jeter le sort funeste à son cousin Sirius. Harry fou de rage poursuivi la folle et Haldor eut bien du mal à le raisonner. Alors que Harry pouvait faire ce qu'il voulait de la mangemort, Voldemort apparu devant lui, Haldor, observant la scène, ne put se résoudre à intervenir, comme figé sur place.

Mais Dumbuldore arriva et combattit Voldemort non sans causer quelques dégâts au ministère. C'est là que Voldemort posséda temporairement Harry mais aussi en faisant souffrir Haldor car ce dernier était toujours lié à lui. Dumbuldore put le calmer et finalement, le ministre lui-même reconnu le retour de Voldemort devant le monde des sorciers tout entier.

Haldor accompagna tout le reste de l'année Harry partout où il allait. Mais Harry savait qu'il pouvait compter sur ses amis même s'il n'avait plus aucune famille proche. Haldor se dit que même s'il était proche d'Harry, il ne pourrait remplacer sa famille dans quoi que ce soit. Finalement, l'année se termina sans encombre et tout le monde put rentrer dans leur famille respective mais rien n'était terminé pour autant et cela allait se décider l'année suivante.

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