Ce n'était qu'un jeu de cartes....(Sasori X Reader)

(21)

J'ai sortie cette petite idée par un coup de tête après un bon moment d'abandon. Je ne considère pas cela comme étant la suite. Juste une minuscule inspiration qui a germer et qui m'a semblé bon de vous partager, vu l'adoration que vous apportez à mon livre.

Bonne lecture, même si c'est nul.
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Je ressens une force inédite brûler mon sang. Un self-controle des plus incroyable. Un pouvoir infatigable.

Un kunaï failli se planter dans ma joue. Je me mouvements agilement. Je cherche l'origine d'où les armes peuvent provenir et voir une tête blanche. Tient, Kakashi...

-Sasori! Continu de courir, je vais régler des affaires.

-Tu es folle Shayna!

-Je sais trésor !

Je lui fais un clin d'oeil rapide avant de m'éclipser rapidement. Je vais contourner pour lui arriver dans le dos. Les jets de kunaï de s'arrêtent pas et même des techniques furent utilisées. J'arrive enfin dans le dos de mon ancien Supérieur et lui attrape les deux bras. Je glace ses chevilles pour qu'il ne puisse pas utiliser ses jambes.

-Kakashi sensei, quelle désagréable surprise de vous voir.

Il ne me répond pas et se débat.

-Vous n'arriverez pas à vous échapper. Depuis que j'ai déserté, je suis bien plus puissante que vous.

-Ce que je ne comprendrai sûrement jamais, c'est pourquoi tu as quitté le village!

-Je n'en tirais plus rien, si ce n'est que de la douleur et de l'isolement.

-Tu aurais pu en parler à l'Hokage !

-Ça n'allais pas arranger les choses !

Je le libére et nous nous mettons en position de combat. S'en suit ensuite un combat au corps à corps acharné où il n'arrive pas à me toucher, mais moi oui. Il se fait vieux le pauvre. Je lui fais une balayette, ce qui le fait tomber, et l'emprisonne dans une bulle de glace que je surélève dans les air.

-Nul ne peut sortir de cette prison de glace.

Un sifflement et une lame entre mes doigts. Je regarde dans mon dos et vois Sahirama dans un arbre. Elle n'est pas forte au combat elle. Je lui renvoie sa lame à une vitesse hallucinante. Elle vient se loger dans son épaule.

-Shayna! Pourquoi!?

-Ta gueule.

Sans effectuer de mondras, je lui transperce l'autre épaule d'une pic de glace, ce qui la fait tomber. La terre se met à trembler et j'esquive de justesse le bulldozer à réaction. Sakura.

-Je ne te laisserai pas faire de mal à mes amis, Shayna!

-C'est que la plaque tectoniques est pas contente !

Elle essaye de me toucher avec ses poings mais je suis plus souple, plus agile qu'elle. Il est donc facile de la mettre K.O. . Ils sont tous hors de combat. J'avais entre temps resserré les paroies de la cage de glace pour le réduire en bouillie. J'ai tué bien trop facilement Kakashi. Évidemment vu je savais que c'était un clone. Je ne sais juste pas où se trouve l'original. Est-il rentré au village? Sûrement. Sahirama se relève et tente d'invoquer un suiton sauf que je transforme son attaque en glace.

-Arrête Sahirama, tu ne fais que te fatiguer.

Sans le savoir, Sakura se faufile derrière moi en éteignant son chakra et me donne un énorme coup de poing dans la pommette. Je tombe à terre et je pense que j'ai perdu connaissance un moment. Quand je vois ce qu'il se passe à nouveau, je vois le paysage basculer. Je prend le temps de comprendre ce qu'il se passe. Je suis sur l'épaule de quelque et cette personne m'emmène je ne sais où. J'essaye de l'identifier par l'odeur, les habits ou la démarche et me rend compte que ce n'est personne de l'Akatsuki. Merde.

Je fais la morte encore un petit temps, jusqu'à ce qu'un pont arrive. Je ne perd pas l'occasion de m'enfuir. Je jette de la glace sur mon kidnappeur, saute de son épaule et n'hésite pas une seconde à tomber dans l'eau qui se trouve tout en bas. Je crée une rampe de glace qui me réceptionne en douceur. Je glisse dessus en continuant le chemin jusqu'à ce que je voie la rive. Je m'y arrête et m'écroule au sol. Je prend bien le temps de faire vivre mon corps. Un filet chaud coule en continu sur mon menton. Je l'essuie sans y prêter attention mais je sens encore que ça continu. Je laisse alors ça comme ça et me relève. Je regarde où je suis et je me rend compte que c'est assez prêt du repère. J'y vais à mon aise en ressentant ma mâchoire douloureuse. Arrivée à l'entrée, je prononce un code et rentre. Il n'y a personne. Je me dirige dans ma chambre sans croiser personne et m'écroule sur mon lit.

Dure journée...