PDV de Karma : Ce matin là, je m'étais levé plus tôt que d'habitude pour aller rejoindre Asano. Je me changea et pris ma brique de lait à la fraise avant de partir. Le bus me permit d'arriver 10 minutes avant l'heure du rendez-vous et j'y attendais l'orange avec impatience. Il pointa son nez 3 minutes plus tard et pour être honnête, il semblait vraiment très mal. Il avait des cernes très profonds et remis son habituel uniforme. Il se rapprocha de moi et je remarquais ses tremblements et sa gêne, il était terrorisé. Je me sentais mal, j'aurais dû rester avec lui et lui dire que c'était pas grave. Asano s'arrêta à 2 mètres de moi et baissa la tête. Je parcourus la distance qui nous séparait et mis mes mains sur son visage afin qu'il se redresse. Karma : Asano... Ce n'est pas grave... Et si c'est ce qui t'inquiète... Ça restera entre nous. Asano s'illumina et me prit dans ses bras. J'étais un peu mal à l'aise d'avoir fouillé dans ses photos de vacances la veille et je devins écarlate. Karma : D'ailleurs Asano... Il se peut que... J'ai maté... tes photos de vacances...
PDV de Gakushu : Quoi !?!? J'ai bien entendu !?!? Karma Akabane a maté mes photos !!! Je lui fis un petit sourire moqueur. Gakushu : C'est qui le pervers maintenant Akabane ? Sinon je suis comment ?~ Karma prit la couleur de ses cheveux et cacha son visage entre ses mains. Il se tut quelques instants avant de me répondre en me montrant son fond d'écran... Karma : Super chaud ~~
Oops! This image does not follow our content guidelines. To continue publishing, please remove it or upload a different image.
J'étais tout rouge et je me maintenais à lui pour rester debout. Mon crush vient de me dire que je suis chaud !!! Et en plus il a un fond d'écran à mon effigie !! Je peux mourir en paix ☺️. Karma : Eum... Asano ? Je revins sur terre et le regardais, il semblait se moquer légèrement mais était plus sérieux qu'il ne l'avait jamais été. Karma : Asano... J'ai une question... Je déglutis... Il semblait mal à l'aise... Karma : Est-ce que tu as des sentiments amoureux envers moi ? Je piquais un fard en essayant de me détourner ce qui, vu qu'il me tenait dans ses bras, était impossible. Gakushu : Désolé... Mais... OUI ! J'avais envie de me cacher dans un trou de souris !! Karma soupira, prit une grande inspiration et me répondit. Karma : Bien merci de ton honnêteté Asano. Actuellement je ne suis PAS amoureux de toi. Je me mis à pleurer. Karma : Mais... Je ne peux pas nier que je suis attirée par toi. Je me redressais et lui fis face à nouveau. Je ne comprenais pas où il voulait en venir. Karma : Je ne suis pas contre l'idée de commencer une relation amicale ou plus avec toi. Tu pourras flirter avec moi si tu le veux. Je pense sincèrement que je peux tomber amoureux de toi Gakushu. J'étais sous le choc et réfléchis quelques instants. J'aurais préféré une relation amoureuse mais si il ne m'aime pas ça n'aurait aucune valeur... Gakushu : Soyons amis pour l'instant. D'accord ? Il prit mon poignet et me fit un baisemain. Karma : Compris gente dame ~ J'éclatais de rire alors que mon visage prenait la couleur de ses cheveux. Gakushu : Bon il nous reste une quarantaine de minutes avant les cours... On fait quoi ?
PDV de Gakuho : Je me réveillais à 4 heures du matin ce jour là et me préparais en vitesse. Il faut que je trouve une raison pour laquelle renvoyer Mr Dimak quitte à devoir faire cours à sa place. Pour cela après avoir quitté la maison je me baladais dans la rue sans avoir de but précis et me perdis... Je finis dans un quartier très mal famé et, au coin d'une ruelle, un groupe d'hommes, probablement saouls, me tombèrent dessus. Je tentais de me défendre mais j'avais été encerclé et à 1 contre 15... J'étais très mal. Les hommes étaient dirigés par les anciens harceleurs de Ikeda à qui j'avais causé une addiction aux jeux d'argent. Et ils semblaient vouloir se venger. L'un d'eux me plaqua au mur et me dit: Harceleurs 1: Tu veux voir pourquoi ton petit Ikeda est mort enculé ? Il m'embrassait pendant que ses acolytes me maintenaient contre le mur. Je sentais mes larmes montées alors que je me débattais. En vain. Il mit ses mains dans mon pantalon et commença à triturer mon pénis. Je faisais tout ce que je pouvais pour m'empêcher de gémir même si je savais que c'était sans espoir. Ils étaient trop nombreux. Je n'avais aucune chance. Je pleurais maintenant, je voulais qu'il arrête ! Harceleur 2 : Tu n'as pas l'air de lui suffir Elio. Je vais t'aider. Il s'approcha et commença à me faire des suçons dans le cou et sur les épaules. Le premier, Elio, baissa mon pantalon et enfonça ses doigts dans ma bouche puis dans mon anus. Je hurlais de douleur alors que mes assaillants éclataient de rire. Il fit des mouvements de ciseaux tandis que l'autre venait de mettre son pénis dans ma bouche pour me faire taire. Je gémissais de douleur en suppliant pour que ça s'arrête. Elio retira ses doigts et enfonça sa bite dans mon anus. J'essayais de hurler tant c'était douloureux mais le pénis du deuxième dans ma bouche m'en empêchait. Je commençais à manquer d'air et à avoir la tête qui tournait. Je m'évanouis quelques instants plus tard. Je me réveillais dans une chambre inconnue. Je me redressais malgré la douleur intense au niveau de mon anus. On m'avait changé et je remarquais une protection hygiénique dans mon boxer. Elle était couverte de sang. Je m'assis sur le lit et attendis qu'on vienne me chercher. Au fond de moi j'étais terrifiée à l'idée d'avoir été enlevé par mes agresseurs. Bien que je ne pense pas que j'aurais même eu le droit à un lit avec eux. Je repensais à ce qu'il s'était passé et me mis à pleurer. Au début j'essayais de me retenir mais je finis par pleurer de toutes les larmes de mon corps chétif et faible. C'est de ma faute si ils m'ont fait ça. C'est parce que j'étais trop faible et dans un endroit dangereux si j'avais été plus prudent tout ce serait bien passé. Je formais une boule sous la couverture. J'entendis la porte s'ouvrir et quelqu'un rentrer. J'essayais de me préparer à me défendre mais je n'arrivais plus à bouger. Merde ! C'est pas le moment de faire une crise de tétanie !! Je sentis la personne soulever la couverture sans que je ne puisse réagir. Lorsque je vis son visage je paniquais encore plus. Il s'agissait de Kyo Dimak.
