M. H. Styles: Un été de célibataire [H.S.] Tome 2

Vacances en amoureux - part 2

POV HARRY

Izzy dors dans mes bras, et je ne pourrais rêver de mieux, comme femme dans ma vie. Je veux passer ma vie avec cette jeune femme aux cheveux et yeux bruns tellement banale, mais qui la rend tellement extraordinaire à mes yeux. J'espère tellement que ce que Camille m'a dit n'est pas vrai. Je ne peux pas perdre, Izzy, une fois de plus. Je refuse. Ce serait trop difficile de la laisser partir. Je sais qu'elle s'inquiète et qu'elle doute de moi... je sais aussi qu'elle fait énormément d'efforts pour passer par-dessus mon absence de vendredi matin, mais je sais aussi qu'elle va tout faire pour avoir une réponse, mais j'ai tellement peur de la réponse que je vais devoir lui donner.

H: S'il vous plait, faites que ce ne soit pas vrai ! Me dis-je, alors qu'elle se réveille tranquillement toujours dans mes bras.

Je referme mes yeux et fait semblant de dormir. Je l'entends soupirer et je sens une de ses mains se promener sur mon corps. Je fais tout pour faire comme si je dormais encore, mais j'ai tellement le goût de lui faire pour une autre journée consécutive l'amour jusqu'à épuisement. Nous repartons après demain pour Bradford, et pour être tout à fait honnête. Je n'ai pas le goût d'y retourner. Nous sommes bien là, à être que tous les deux à vivre notre amour au grand-jour. Bien qu'on passe le plus clair de notre temps dans la chambre à coucher.

Je la sens qui continue ses caresses sur mon torse, du bout des doigts elle retrace mes tatouages, surtout les hirondelles, le papillon et les feuilles. Je sais, ça a toujours été ses préférés. Je crois que si j'étais en permanence avec elle, elle me demanderait de me promener sans t-shirt, pour qu'elle puisse les admirer. Puis je sens qu'elle laisse des traces humides sur la peau de mon torse. Des baisés ! Je commence à perdre le contrôle. Je ne veux pas qu'elle sache que je suis réveillé depuis un moment. J'adore, ce qu'elle me fait subir présentement et je ne veux pas que ça s'arrête.

Sa bouche remonte vers mon visage, Izzy en est maintenant à mon cou, plus précisément à mon point sensible, juste sous l'oreille. Izzy, s'y acharne et je sais qu'elle va me laisser une marque. J'adore ça. J'adore le fait que l'on s'appartienne l'un l'autre, et j'espère vraiment que je n'ai pas tout fais foirer...

Un gémissement sort de ma bouche sans que je ne m'en rende compte, et j'espère que je n'ai pas briser ma couverture de l'homme en plein sommeil, sauf que...

I: Je sais que tu es réveillé. Dit-elle avant de rire dans mon oreille, ce qui m'envoie pleins de décharge électrique dans le corps.

Je ne sais pas qu'elle sort m'a lancé cette fille, mais dès la première fois que je l'ai vue, je me suis dit qu'elle serait dans ma vie, dire que ça ferait un an qu'on serait ensemble si la folle qui me serre d'ex-femme ne se serait pas pointer pour tout faire planter. J'aime tellement Isabella. Je ferais tout pour elle et pour la protéger, la preuve ? J'ai épousé une autre femme pour la protéger de notre situation merdique de relation prof, élève...

H: Comment t'as su ? Dis-je de ma voix du matin et je sais que ça lui fait son effet.

I: On aurait dit une statue. Dit-elle avant de me faire le plus beau sourire que j'ai jamais vue.

H: Je t'aime. Dis-je avant de lui prendre la tête et de lui donner un baisé chaste et rapide, je crois qu'elle n'a même pas le temps de fermer les yeux que j'ai à nouveau la tête qui repose sur mon oreiller.

I: Je t'aime encore plus ! Dit-elle avant de monter à cheval sur mes hanches.

Nos corps une fois de plus nu l'un contre l'autre, me fais perdre mes moyens et mon membre se durcis instantanément. Je n'y peux rien elle est tellement belle comme ça, les cheveux en pagailles, les marques bleutées que j'ai laissé de part et d'autre sur son cou et sa poitrine, puis ses petits seins qui conviennent parfaitement à mes mains, qui pointe, qui n'attendent plus que moi et mes soins. Sa taille parfaite, avec son petit bourles qui me fais bander comme un fou. Elle déteste se bourrelets , mais j'ai envie de dire « Mais bordel de quel bourrelets tu parles ? », mais ah les filles et leurs complexes.