N°7

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-Vendredi,26 avril, grande cour-

L'atmosphère était tendue entre eux, ayant tous reçu le message, ils n'osaient même pas se regarder dans les yeux et plus spécialement Kuroo et Bokuto qui tenait sa petite amie de manière protectrice loin du brun, Akaashi les observa anxieux avant de demander:

- Où sont Yamamoto-san et Ogawa-san?

- J'était passé chez Tora. Dit Fukunaga. Mais sa mère m'a renvoyé prétextant qu'elle ne connaissait personne de ce nom.

- Quoi?!

- C...C'était pareil pour Miki-chan...Murmura Risako au bord des larmes. 

- Qu'est-ce qu'ils se passent? Demanda Meï anxieuse. Ils ne peuvent pas être morts par pendaison pas vrai? C'est faux...

- Alors comment explique tu ces infos? Demanda Momoko exaspérée. 

- C'est peut être une coïncidence. Proposa Iwaizumi pour détendre l'atmosphère. On ne peux pas tuer quelqu'un par pendaison d'un simple claquement de doigts et puis, si c'était le cas la police aurait déjà été informée non?

- C'est pas faux. Murmura Risako peu rassurée.

- Si c'est une coïncidence donc ça va! S'éleva la voix enjouée de Bokuto, un énorme sourire sur les lèvres.

Ses amis l'observèrent anxieux, et ils le savaient, cette réaction n'avait rien de normal ou de rassurant, non, il semblait être dans le dénis, il ne semblait pas mesurer la gravité de la situation et ça...

C'était dangereux.

Continuant sur sa lancée de fausse bonne humeur, il serra sa petite amie contre son épaule et poursuivit:

- Un tel gage est tout simplement impossible, je suis sur qu'ils nous font une blague, personne ne va mourir hein? Personne ne mourra.

Il avait dit cette dernière phrase en lançant un regard meurtrier à Kuroo, ce dernier s'était figé de peur, il avala sa salive nerveusement incapable de parler et observa le gris chouette s'engouffrer dans le bâtiment le visage sombre ; cette journée allait être très longue.

Les deuxièmes années s'observèrent anxieusement avant de prendre congé des terminales pour se diriger vers leurs salle de classe, les filles ouvrirent la marche tandis que les garçons restèrent derrières observant les environs des couloirs comme si leurs amis allaient apparaître de là, mais rien n'y fit.

Arrivés devant leurs porte, ils l'ouvrirent et s'engouffrèrent avant de se mettre en place, constatant un étrange détails.

- Leurs pupitres manquent. Remarqua Rinko.

- Leurs affaires aussi. Ajouta Watari. Qui a pu faire ça?

- Vous pensez que...Commença MeÏ.

- ça n'a pas de sens. Dit Saki en s'approchant du bureau. En admettant que le gage soit faux, il aurait fallu déplacer leurs pupitres et affaires, sans compter que leurs casier n'est plus là ce qui relève d'un travail colossal et ingénieux, en gros quelque chose que l'ont ne peux pas faire en peu de temps.

- Hoshigakure-san, tu n'insinue pas que... Commença Kenma tremblant.

- Je ne sais pas, mais c'est une possibilité.

- Essayons de les appeler. S'obstina Risako. Je ne peux pas croire que ma meilleure amie soit morte pendue!

Elle saisie son téléphone et chercha frénétiquement le numéro de Miki dans les contact, son expression de visage se composa petit à petit et elle pâlit, Umiko saisit son téléphone à son tour et commença à chercher quand elle déclara, la gorge serrée:

Haikyuu!! AU: King's gameHikayelerin yaşadığı yer. Şimdi keşfedin