Sentiments Interstellaire

Chapitre 1: La traque

Toute mon enfance j'ai grandis dans l'espoir de le rencontrer un jour. Mon père me conte depuis toute petite ces aventures à bord de l'Arcadia, son seul but était de se venger du meurtre de son père, absorbé par la haine il ne voyait que cette objectif. Il ne pensait pas qu'en devenant un pirate à son tour aller changer sa vie du tout au tout. Encore aujourd'hui il ne pensait pas que cette homme aller le changer, non pas lui, mais il a réussi à changer la vision du monde qu'avait mon père à cette époque. Mon père m'a appris à quel point la liberté était précieuse mais surtout, à quel point nous n'en avions plus. J'ai envie de me débarrasser de ces chaînes qui nous hante jour et nuit, je veux arrêter d'avoir peur le soir lorsque je rentre du travail, j'aimerais goûter moi aussi à cette vrai liberté.

Nous sommes en l'an 2975.

Nous habitons une petite planète qui a pour nom A823, plus connu sous le nom de « Planète Azur », cette dernière porte ce nom car la roche de la planète à la couleur d'un saphir, en comparaisons c'était comme-ci les cailloux sur terre était tous des saphirs. Mais cette planète n'est pas du tout belle, les diatras l'avaient colonisé depuis maintenant 20 ans. Nous sommes constamment dictées sur ce que nous devons faire et ce que nous ne devons pas faire, nous vivions dans une ségrégation, en terme plus exacte, on est les « petits toutous » des diatras. On risquait la prison si nous essayons de nous rebeller, voir même l'exécution dans les cas les plus graves.

-Karina qu'as-tu encore fait ?!

-Papa, leurs comportement envers nous n'est pas normal !

Je suis Karina Valente, la fille de Ramis Valente qui n'était autre que le bras droit du grand corsaire de l'espace, le plus recherché des gouvernements interplanétaires, le Capitaine Albator.

-Tu t'es encore battu avec un client diatras ! Tu exagère ! Tu veux rejoindre ta mère plus tôt que de vivre ta vie !!

-Non, mais jamais je n'abandonnerais mon combat.

-Enfin Karina ça fait un bon nombre de fois que je te récupère après une semaine de prison ferme ! Il faut que tu te face plus discrète ! Savoir que ma fille est enfermée et se fait torturer n'est pas de tout repos... Tu me créé beaucoup de soucis.

Nous sortons des prisons tandis que mon père me met un manteau gris avant de mettre la capuche sur ma tête, selon lui je ne devais jamais détacher mes cheveux, que cela pourrait porter à confusion, je l'ai eu donc toujours en chignon mais je ne sais pas ce qu'il voulait dire par « porter confusion » mais j'avais l'habitude, il m'avait éduqué seul et c'était la règle la plus stricte qu'il m'ait donné. Je suis une jeune femme âgée de seulement 22 ans, ma mère est morte lorsque j'étais petite par le général des diatras. J'ai de long cheveux roux avec des yeux bleu, le problème selon mon père c'est que je suis très impulsive et je ne me laisse pas faire, je n'aime pas que l'on me donne des ordres et cela me pousse à me défendre pour protéger le code d'honneur qui me parait juste entre des personnes vivantes, comme devrait le faire toute personnes doté d'une intelligence mais visiblement les gens de nos jours n'ont que la stupidité en tête. Je suis également très bonne en travaux manuel, mon père m'avait appris tous ce dont son ami Toshiro lui avait transmis, il dit que c'est quelqu'un de très brave et qu'il n'y en a pas 2 comme lui.

-Pourquoi tu as quitté l'Arcadia si tu t'y plaisais tant ?

-Rina pas ici ! Viens rentrons.

Rina était le surnom que me donner ma mère alors que j'étais toujours dans son ventre. Nous rentrons dans notre maison et il ferme la porte à clé derrière nous.

-Avec ta mère nous avons préféré choisir une planète sur laquelle nous pouvions t'élever et mené une vie heureuse sans danger, ce n'était pas à bord du vaisseau le plus rechercher de l'univers qui était des plus adéquate pour une enfant. C'était notre choix à ta mère et moi. Ensuite, notre planète à était attaquer et envahie par les diatras et aujourd'hui voilà où nous en sommes : obliger de se cacher pour discuter ou bien parler ouvertement et risqué d'être exécuter.