Nous sommes en l'an 2975, Karina Valente est une jeune femme rebelle est téméraire natif d'une petite planète colonisé par les Diatras qui ne cessent de prendre l'autorité réduisant les humains en esclavages en guise de subordinations envers "eux"...
Ce chapitre est pour toi, Yaye07. J'espère qu'il te plaira, Bisous.
***ATTENTION ce chapitre contient une scène pour adulte, elle sera mise en valeur avec les symboles suivant *** Bonne lecture.
Cette fois ça s'était vraiment jouer de peu, j'ai frôlé la mort de bien des manières mais je n'avais jamais été aussi loin, je sentais peu à peu le fil de la vie raviver mon corps, je me réveille doucement sentant parfaitement les nombreuses machines autour de moi. J'avais une perfusion au bras droit et un détecteur de pouls sur mon doigt ainsi qu'un bandage sur l'éraflure à mon épaule gauche. Je tente alors de me redressé dans le lit mais une alarme se déclenchait, celle-ci provenait des fils sortant de part et d'autre de la chemise d'hôpital reliant à une machine qui effectué un long bip au moindre de mes mouvements m'incitant à ne plus bouger. Tout à coup je remarque que ma vision est incomplète et très vite je vis Lydia accourir dans la chambre.
- Coucou toi, ne bouge pas je vais t'enlever tous ces fils. Dit-elle en déboutonnant ma chemise et en enlevant des petites pastilles. Elle m'enlève également le masque à oxygène avant de me faire un rapide contrôle de mes blessures. Bon, ton bras à bien guérie et ta jambe aussi mais je tu as du voir que tu as la vision de ton œil gauche en moins, ne t'inquiète pas il n'est pas touché cependant tu as une très grosse plaie... J'ai fait ce que j'ai pu en te recousant mais elle est très marquée. Dit-elle légèrement inquiète.
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- C'est dû au coup de feu ? Demandais-je après plusieurs minutes à essayer de parler.
- Oui, elle provient d'un rayon des armes des Dropas je suppose ? Demande-t-elle.
- Hmmm, aïe ! Dis-je en me tenant les côtes.
- Attention ! Dit-t-elle en m'aidant à me réinstaller dans le lit. Tu te souviens de ce qu'il s'est passé ? Me demande la doctoresse.
- Vaguement. Avouais-je.
- Un générale à voulu tiré sur Albator et tu t'es interposée, le laser ta transpercé mais c'était il y a plus d'un mois... Ta blessure à eut le temps de se refermer, la douleur va toute de même persisté pendant encore quelque jours. Dit-elle calmement.
- Un mois !? Lui dis-je interloquée.
- Oui... Tu es tombée dans un coma et ton état été plus qu'inquiétant, on a dû te réanimer plusieurs fois pendant quelque jours... Nous avons tous veillé sur toi à tour de rôle mais Albator était toujours présent à tes côtés, il ne ta jamais laisser à telle point que nous étions obligées de le forcer à s'alimenter et se reposer... Il doit être entrain de se reposer. Dit-elle très inquiète et je remarquée également les cernes noirs sous ces yeux qui indique le manque de sommeil.
