Chapitre 4: L'héritage d'un père aimant

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-Ramis ! Reste avec moi ! Supplie l'homme à la cicatrice

L'homme qui tenait mon père dans ces bras prends son pouls, et le porte dans ces bras avant de se relever.

- Suis-moi. Me dit-il avant de partir en courant avec mon père.

Nous traversons plein de long couloirs pour rentrer dans une salle situé sur notre gauche, une pancarte était affichée au mur « Infirmerie », une doctoresse très belle vu notre détresse et s'activa sans un mot, l'homme dépose alors mon père sur un lit et la jeune femme lui fit plein d'examen rapide avant de lui mettre un masque à oxygène et de coupé son t-shirt imprégné de sang. Elle devait avoir l'habitude de soigné se type de blessure car en mois de 10 min elle avait nettoyé le sang, désinfecté la plaie et mit un pansement ainsi qu'un bandage au torse de mon père, on pouvait voir les innombrables cicatrises qu'il y avait, c'était la première fois que je les voyais et sans même demander le groupe sanguin de mon père, elle lui fit une transfusion de sang.

Bien sûr, c'est avec eux que mon père à voyager pendant des années, c'est donc normal qu'ils se souviennent de son groupe sanguin.

- Alors ? Demande l'homme à la cicatrice

-Et bien, je ne peux pas encore me prononcer, il est dans le coma et je ne sais pas si sa blessure à toucher un de ces poumons mais si c'est le cas son état se détériorera et je ne peux rien y faire... Dit la jeune femme aux cheveux courts blonds

-Et si ce n'est pas le cas, que va-t-il lui arrivé ? Demandais-je en m'avançant vers eut

-Si ce n'est pas le cas, il va se stabiliser et guérir mais ça prendra du temps mais en vue de son état j'ai bien peur que... Dit-elle en baissant les yeux

-Merci Lydia. Dit l'homme à la cicatrice.

-Tu es couverte de sang montre-moi tes blessures. Me demande la jeune femme

-Non merci ça guérira tout seul. Lui dis-je

-Sa risque de s'infecte si tu restes dans cette état et tu peux en mourir... Dit la jeune femme

- Et alors ? Lui répondis-je.

A vrai dire je suis plus inquiète pour l'état de mon père que pour mes blessures avec le fais d'avoir était maltraité en prison par ces soldats je pense que niveau cicatrisation et douleur je connais déjà alors une de plus ou une de moins sa ne changera rien.

Les deux personnes présente dans la pièce se regarder sans dire un mot, simplement en baissant les yeux.

-Comment t'appelles-tu ? Me demande l'homme aux cheveux châtain

-Karina. Lui répondis-je

-Je suis le capitaine Albator et je suis au commande de l'Arcadia, ton père est un très bon ami à moi.


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