Nous sommes en l'an 2975, Karina Valente est une jeune femme rebelle est téméraire natif d'une petite planète colonisé par les Diatras qui ne cessent de prendre l'autorité réduisant les humains en esclavages en guise de subordinations envers "eux"...
Après m'avoir ligoté sur une immense croix au milieu de la grande place de la ville, amenant beaucoup de curieux humain voir ce qu'il se passait, un haut gradé nous rejoint aux milieux de la place centrale.
Je ne comprends pas, d'habitude c'est seulement un lieutenant qui me sermonne, pourquoi un haut placé viendrait-il pour un simple délit de fuite ? Certes d'habitude je n'en fais pas tant mais là il s'agissait de la vie d'un homme qui n'avait rien fait et je ne voulais pas qu'il paye par ma faute.
-Et bien que nous vaut le plaisir de voir Emeraldas en personne sur cette modeste planète ? Dit le diatras
-Je ne sais pas de qui vous parlez mais je ne suis pas cette personne ! Dis-je avant de me faire frapper par un soldat.
-Menteuse !! Où est caché ton vaisseau ? Répond !! Dit-il en prenant son fouet et à m'harceler de coup.
-Je vous dis que je ne comprends pas ce que vous me demandez !! Lui hurlais-je à mon tour.
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Soudain il arrêta de me donner le moindre coup se retournant pour parler à des soldats. J'avais mon uniforme rouge qui était parsemé de coupure le déchirant et laissant s'imprégner de mon sang. Le haut placer se dirige de nouveau vers moi avec un sourire de psychopathe gravé sur son visage.
-Commencer la diffusion. Ce message est diffusé dans le monde entier, nous venons de capturé la célèbre pirates Emeraldas et elle sera exécuter à l'aube demain et son exécution sera bien évidement diffuser. Je lance un appel au terriens pour recevoir la sommes de la capture et de l'exécution de la capture du rechercher X-00001. D'un hochement de tête un soldat coupe la diffusion. Profite de ta dernière nuit de ta vie ! Dit-il avant de partir en riant diaboliquement. Des gardes étaient disposé un peu partout au tour de la croix à laquelle j'ai étais attaché quelque minutes plutôt.
Maman, cette fois-ci je crois que c'est la fin. J'espère que papa ne m'en voudra pas trop, je n'ai pas tenu la promesse que je lui avais faite. Maman, j'aurais aimé passé une vie heureuse avec toi et papa dans un endroit où nous aurions eu une vrai liberté. Parfois il m'arrive de rêver d'une vie parfaite à vos côtés. J'aurais aimé te connaître, tu es partis beaucoup trop tôt, mais je ne peux pas t'en vouloir, tu t'es battu pour la liberté et c'est ce que je fais moi aussi, jusqu'à ma mort prochaine je me battrais même si cela me coûte la vie.
Les heures défilèrent lentement, je vis les rayons du soleil diminué peu à peu et la douleur ressentie dans mes muscles commencer à me gêner, j'avais les mains attachés chacune sur un côté de la croix, je ressentais plus mes bras à telle point que j'en sentis des picotements désagréable tout le long. J'avais qu'une seule pensé en tête : Mon père était-il au courant de mon arrestation ?
Soudain, une grande explosion se fit entendre non loin de la place où je me situé et des flammes jaillissaient d'un des bâtiments des diatras. Prit de panique tous les soldats se dirigèrent vers le lieu en me laissant seulement 2 gardes au tour de moi. Mon attention se porte sur deux ombres qui s'étaient arrêté non loin de ma position puis 2 tires on était lancé sur les 2 soldats qui s'écroulèrent au sol.
-Karina ! Hurlait l'un des hommes qui courrait vers moi
-Papa c'est toi ? Demandais-je car il faisait presque nuit noir
-Oui, c'est moi tu ne pensé tout de même pas que j'allais laisser ma fille se faire exécuté sans résister ! Dit-il en détachant mes liens
-Papa je suis désolée
-Ne t'inquiète pas Karina j'ai expliqué à ton père ce qui s'était passé, merci de m'avoir protégé. Dit Alfred, mon patron.
-Aller, les gardes vont bientôt revenir, il faut vite qu'on retourne à la maison, de la bas je pourrais le contacter ! Dit mon père à Alfred. Nous courons donc en direction de la maison tout en faisant le mois de bruit possible car des troupes de Diatras était sur le qui-vive. Arrivé à l'intérieur de la maison mon père et Alfred fermer porte et fenêtre en fermant également les rideaux de ces derniers sans allumer aucune lumière.
-Bien suivait moi. Annonce mon père en allant dans son bureau situé au fond du couloir, notre maison ne comportait pas d'étage, lorsque l'on rentre on est directement dans le salon, le canapé bleu était disposé en face de la télé. La cuisine était en quelque sorte relier au salon, celle-ci était sur la gauche en entrant par la porte d'entrée et une table se trouve au milieu de la pièce. Un long couloir était à droite en entrant et plusieurs porte y composé, la première était la chambre de mes parents et celle d'en face était la mienne, la salle de bain de trouvé à droite de ma chambre et la dernière porte au fond était le bureau de mon père. Arrivé dans son bureau, mon père alla derrière son bureau et tire alors sur une planche du planché qui se détache alors de ce dernier laissant apparaître un grand coffre, il le saisie et le sort du trou.
-Karina, je ne t'ai jamais raconté la vrai raison de la mort de ta mère, aujourd'hui je vais répondre à tes questions. Dit mon père avec le regard triste.
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Voilà le chapitre 2 disponible, les premiers chapitres sont court pour ne pas surcharger en information, ça sera plus long par la suite ! X)
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