William Laufeyson

1. Quelques semaines plus tard

Je fais en ce moment là unes des journaux. "Un super héros pas si super" ou "qui est Blank ?" Et aussi "une gamine ou un Avengers ?"... et j'en passe. Tout ceci a été causé par l'annonce qu'a faite mon père dans les médias.

-Blank n'est qu'une gamine immature et irresponsable qui c'est permis de voler le titre d'Avengers. Elle était dangereuse et est activement recherchée pour de nombreux crimes. Si vous la voyez, merci d'informer les autorités.

Cette annonce à eux l'effet d'une bombe. 

Pas seulement pour les médias mais pour moi aussi. Jamais je n'aurais pensé qu'il irait jusque là. Je ne comprend pas qu'il me déteste mais je ne savais pas que c'était à ce point.

Une chance que j'ai Tony et Loki.

Casanova a fait en sorte que cette annonce ne sorte pas du pays. Il m'a soutenu et aidé à garder mon identité secrète.

Loki ? 

Loki est un amour. Depuis le jour où il est parti de la terre, il n'arrête pas de me parler. Il m'a soutenu et m'a changé les idées dès qu'il le pouvait. 

Cela a été dans les deux sens. Lorsqu'il a été enfermé, que sa mère est morte ou qu'il est tombé en dépression, j'étais là pour l'aider.

Je sais aussi qu'il n'est pas mort malgré ce que son frère croit. Il m'a d'ailleurs parlé de ses actions en tant que roi. Il a, par exemple, apposé des barrières sur les bord du pont mènent au bifrost après qu'un enfant soit tombé dans sa rivière et qu'il se soit presque noyé. Bien sûr, il n'a fait que des bonnes actions.

C'est Loki, vous vous attendiez à quoi? 

Il est en train d'écrire une pièce de théâtre en son nom (techniquement c'est Odin qui a fait une pièce pour honorer la mort de Loki). Il a aussi fait ériger une grande statue de lui-même. Il m'a d'ailleurs envoyé une réplique plus petite que j'ai mise dans mon salon.

J'ai aussi aidé Odin à partir de la maison de retraite dans laquelle Loki l'avait placé. Malgré le fait que je n'aime pas cet homme, un dieu n'a rien à faire dans une maison de retraite. Je n'en ai pas informé Loki bien évidemment.

Cela fait presque 3 mois que Loki est parti. Depuis tout ce temps je me suis encore plus éloigné de Nat et me suis encore plus rapproché de Tony. Il est presque comme mon grand frère et Pepper ma belle sœur.

Je les aime très fort tous les deux.

En parlant de Casanova, je suis actuellement chez lui dans son Labo en sa compagnie en train de construire une armure, mark 24. Il doit bien être presque une heure du matin mais on arrête pas.

-Mais non ! Si tu places se file la il va être en contact direct avec l'alimentation et à la seconde ou tu vas atterrir. Sa vas te faire exploser !!!   Il faut le placer à la place du rouge!

-mais non ça ne va rien faire. Encore une fois, tout va bien aller.

Je souffle. A les mecs.

-Jarvis surveille le. Je ne veux pas qu'il fasse exploser la maison alors que je suis toujours à l'intérieur.

-bien patronne.

Je souffle encore. Tony a reprogrammé un peu Jarvis pour qu'il commence à m'appeler patronne. C'est assez gênant. Bien sûr je ne le dit pas mais quand même.

Je monte à l'étage des chambres et me réfugie sous mes draps. 

Mon sommeille n'est que de courte durée puisque j'entend Tony dans la chambre voisine se réveiller.

Foutu sence de super soldat.

Je vais voir Tony qui est en sueur dans son lit.

-chut… tout va bien Tony…. Je suis là.

Je le prends dans mes bras et le fait se coucher. Je me couche à ses côtés et il vient se réfugier dans mes bras. Je continue à lui caresser le dos jusqu'à ce qu'il se soit calmé.

Une chance que Pepper soit en France pour Stark industry.

-j'ai peur de dormir… à chaque fois que je ferme les yeux je vois les chitauris te tuer toi, Pepper, Happy et les autres.

-tout vas bien Casanova… ce n'était qu'un cauchemar. Nous allons tous bien. Grâce à toi. 

Je continue à le rassurer jusqu'à ce qu’il finisse par se rendormir.

-quel heure est t'il Jarvis ?

-4h12 patronne. Le patron a dormi 2h.

-merci Jarvis.

Je laisse Tony dormir et vais me changer pour une tenue de sport. Je sors ensuite courir.

Le vent frais d'octobre me fouette le visage mais je n'ai pas froid pour autant. 

Je cours pendant 2 heures avant de revenir à la villa. 

Casanova est de retour dans son atelier. J'espère qu'il a un peu plus dormi. Je vais me laver rapidement et mettre des sur-vêtements.

 Je prends un café que j'avais demander à Jarvis de faire avant et en descend un à Tony.

-je suis de retour, dis-je en démarrant la porte du sous-sol avec mon code.

-ok, tu as un message de Fury.

Bizarre… pas coucou ou commentaire déplacé sur ma tenue ? Il y a anguille sous roche.

-Jarvis qu'est-ce qui se passe?

-patron a tenté de faire voler son prototype. Lors de l'atterrissage l'armure à faillit exploser. Vous aviez raison patronne.

En gros il a mal à l'ego. Je comprends mieux. A les mec.

Je m'approche de Tony et lui donne un gros câlin en lui plaçant son café sous le nez.

-Coucou Casanova...

Je pense que le café a eu raison de lui.

-bon matin Trésor.

-tu arrêtes de me bouder ?

Il lève les yeux au ciel.

-oui, oui. Tu sais, Fury t'a vraiment envoyé un message.

Merde… si Fury est rendu à m'envoyer un message ça veut dire que la situation dont il veut me parler vaut la peine de m'envoyer un message.

-je sais pas ce qu'il veut mais ça doit être sérieux.

J'ouvre le fameux message.

"10h chez moi, se soir, ne sois pas en retard"

Tony qui a lut par dessus mon épaule me demande en rigolant.

-attend, Fury a une maison, genre il n’est pas que le directeur du shield?!

je rigole et entre dans son jeu.

-je sais, moi aussi ça me surprend

on se regarde dans les yeux et au même moment nous éclatons de rire.

-non, mais plus sérieusement, il me dit de venir le voir chez lui mais je n'ai aucune idée d'où il vit. même dans les dossiers secrets du shield l'endroit où il vit et ses dernières locations sont classés confidentiel et sont censurés. 

-pourquoi j’ai l'impression que tu as déjà essayer de trouver ?

-parceque c'est les cas...dis-je sur le même ton qu'un enfant utiliserait lorsqu’ils se feraient gronder

comme un père aimant, Tony me regarde et me dit.

-après tout, une chance qu'aujourd'hui tu n'es pas seul

Un sourire complice prend, alors, place sur nos lèvres.