2. Recherche

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Rien du tout… ça fait presque dix jours que je cherche et je n'ai rien du tout. Même pas  le moindre indice.

On a pirater ses comptes bancaires pour voir à quoi lui servait son argent, pirater la localisation de son téléphone, suivre son trajet entre le bureau du shield jusqu'à chez lui, mais rien. Même à partir des documents non censurés du shield je n'ai rien trouver.

Les seules choses que j'ai appris c'est que Fury est le genre d'homme qui paie en liquide, quelqu'un d'assez prudent pour ne pas activer sa localisation sur son téléphone, une personne assez organisée pour avoir plusieurs itinéraires non-couverts par des caméras même dans New York. En fait, Fury à le même comportement qu'un paranoïaque conformiste qui croit dur comme fer que le gouvernement est entre les mains d'aliens.

-sa ne vas pas marcher. On doit trouver un autre moyen pour trouver où il habite.

Je suis d'accord avec Casanova. Mais quoi ?

-Reprenons du début, Fury doit obligatoirement habiter à Washington pour se rendre au bureau du shield. 

-le Triskelion. mais oui.

-En plus, on sait que Fury est quelqu'un qui n'a confiance en personne. Alors il ne doit pas avoir un appartement et sur les papiers il ne doit pas s'appeler Nick Fury.

Je réfléchis… et si ?

-Jarvis, trouve où habitait Jack Fury ?

-un instant patronne.

-Qui est-ce ?

-le père de Fury. J'ai appris qu'il avait combattu dans l'armée lors de la deuxième guerre mondiale. Fury est née un peu après la fin de la guerre. Si Fury tient son tempérament de son père, il doit avoir fait en sorte que sa maison soit sûre.

-et tu crois que Fury vit toujours là ?

-je l'espère. Je ne sais pas où le trouver si ce n'est pas le cas.

Tony me sourit. Je ne sais pas si c'est lorsqu'il est fière de moi ou si c'est parce que lui aussi veut savoir ou Fury habite. 

-patronne j'ai les résultats. Jack Fury a deux propriétés. Une maison dans la banlieue de Washington et un condo à New York.

Je suis souriante, fière de moi.

-entre les coordonnées de sa maison dans le GPS de ma voiture.

-toute de suite patronne.

Tony me regarde avec insistance. Un peu troublé je commence à jouer avec une vis qui traînait sur la table.

Un sourire mesquin se forme sur ses lèvres. 

Je comprends plus rien.

-quoi ? Demande-je après, un bon, 45 secondes.

-tu es vraiment incroyable.

-Ta rajouter quoi dans ton café ?

Il rigole et s'approche de moi.

-rien je me disais juste que…

Sans m'avertir il me prend et me pose sur ses genoux.

-... on est plutôt proches tous les deux. Et… 

Sa voix est devenue suave et désireuse plus il prononce de mots.

-...on pourrait peut-être, tu sais…

Il pose sa main dans le bas de mon dos et m'approche de lui.

Je finis par le couper dans son élan.

-Tony, je sais que Peppers te manque mais c'est pas une raison pour me faire une proposition de sex même pas voilé.

Je m'enlève de ses genoux et continue.

-en plus, on sait tous les deux que j'en aime un autre.

Il me sourit comme si je ne venais pas de lui mettre un râteau et change complètement de sujet.

-pour l'opération "plan de secours" ou veux-tu déplacer les agents de shield?

Je réfléchi. C'est vrai que ce serait une bonne idée de trouver un endroit qui pourrait loger les agents et leur famille. Le seul endroit que je connais qui pourrait faire l'affaire, ça serait…

-jarvis, monte moi les différente ville verte qui appartienne non-officiellement au shield

Un globe apparaît entre moi et Tony. 6 points verts s'allument sur la carte.

Un près de New-York, de Detroit, de Chicago,d'Ottawa et une partie du Groenland. 

-Cette endroit sont des villes de support. Elle serait utilisée si un problème arrivait. Le shield ne les a jamais utilisés malgré qu'elles appartiennent au shield depuis sa création. Très peu de personnes connaissent leur existence et elles ne sont dans aucun rapport. Je vais les acheter.

Tony réfléchit.

-Bonne idée. Je pourrais ouvrir une succursale de Stark industry dans ses villes. Lorsque nous leur aurions créé une nouvelle identité, je les ferais transférer dans d'autres branches. 

-et voilà, problème réglé.

-il faut toujours que tu réussisses à les acheter.

Je lui fais des gros yeux.

-évidemment que je vais réussir. Tu me prends pour qui ?

Il me sourit et fait s'effacer le globe.

-As-tu de nouvelle mission ?

-comme Peppers revient demain matin je pensais aller chez Fury puis retourner chez moi à New-York. Les travaux dans ma tour se sont finis la semaine passée et j'ai hâte de pouvoir m'installer dans mon chez moi. Ça devrait me prendre un peu de temps.

Il me regarde embêter.

-alors il ne me reste que…

Il regarde sa montre qui doit probablement valoir autres que sa maison.

-...13h pour profiter de toi.

Je lève les yeux au ciel.

-c'est une drôle de façon de le dire mais oui.

Sans rien dire d'autre, il prend les escaliers qui mènent au salon et monte au premier.

-hey ?! Casanova attend moi !

Je le suis jusqu'à la cuisine et je dois dire que la vue n'est pas déplaisante.

Tony, habiller d'un jeans noir et dune chemise blanche entre ouverte qui fait la cuisine.

-tu m'aide ?

Je lâche son corps dès yeux et me concentre sur son visage. Il a un sourire mesquin et des yeux pétillants de malice.

-je voudrais bien mais mes talents en cuisine se réduisent à de la soupe aux nouilles et des oeufs brouillés. 

Il me sourit et nous commençons à parler de tout et de rien.

C'est 13h ont été les treizejours les plus drôles de toute ma vie. Aucune pression, pas de règle ou de responsabilité, juste et Tony ensemble. 

Il a tenté de m'apprendre à cuisiner; mauvaise idée. J'ai fait cramer une poêle et briser trois ustensiles de cuisine. Il m'a fait faire du shopping en ligne. Le truc c'est qu' avec Jarvis qui me fait apparaître les vêtements en 3D, je peux littéralement mettre les vêtements. On a aussi regarder des films et chanter à la maison. Une chance que Tony n'a pas de voisin car ils auraient porté plainte.

Malheureusement cette journée a dû se terminer. Il est dix heures, je suis en ce moment même en avant de chez Fury. Tony m'a dit au revoir.

J'avance et sonne à porte. J'espère que cest la bonne maison sinon je suis dans la merde…

William Laufeyson Où les histoires vivent. Découvrez maintenant