🏢 Le tyrant 2022 (Suite, Dazai, non-con, 4'000 mots)

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Mori était train de travailler à son bureau, et j'étais en train de choisir un livre à lire pour l'après-midi lorsque j'entendis la porte s'ouvrir. Je me retournerai, et un bruit court, soudain et infernal ressona dans la pièce. Je criai et vis Mori tombé de sa chaise avec un filet de sang qui giclait de sa tête. Mon regard croisa celui de Dazai, qui tenait un revolver pointé sur Mori.

Il me regardait sans expression sur son visage. J'avais peur qu'il me tire dessus, je n'osais plus bouger, ni même respirer. Il baissa son arme et marcha tranquillement vers moi. Je regarda Mori et le trou dans son front par lequel un petit ruisseau rouge coulait me perturbait et me dégoûtait. J'étais triste que Mori soit mort.

Dazai était tout près de moi maintenant, mais mes yeux ne voulait pas le regarder. La peur se ressentais tout au fond de mes entrails. Je n'avais pas remarqué, mais il ne tenait plus son revolver, je ne savais même pas où il l'avait mis.

Il me pris par les épaules, et malgré le peu de force qu'il appliquait sur moi, c'était comme s'il me frappait de toute ses forces sur mes épaules et qu'il me brulait la peau.

<<Clarice, tu n'es plus la prostituée de Mori! Je t'ai libéré, me dit Dazai avec un sourire mort sur le visage.

-Prostituée...

-Oui! Et maintenant, c'est à mon tour de m'amuser!

-Je t'en pris, Dazai!>>

Je regrettais le Dazai qui était mon ami et n'avait tuer personne devant mes yeux. Il me pris le bras et me fis m'agenouiller à côté de lui vers le cadavre. Il s'amusa à essayer d'insérer son doigts le plus profondément dans le trou dans la tête du défunt. J'avais la nausée et je ferma les yeux. Le bruit visqueux continuait à me tourmenter.

Je sentis la main de Dazai sur la mienne. J'ouvri les yeux et il me regardait sans expression.

<<Tu veux rentrer chez toi, n'est-ce pas? Dit-il.

-Non, non, non!

-Non?! Comment ça?

-Je ne veux pas... Non je ne veux pas. Dazai, pourquoi l'as tu... euh... pourquoi as-tu tirer? Vas-tu... enfin... moi aussi...

-Non je ne veux pas te tuer, Hehehe. Le savais-tu que c'était Mori qui m'avais recueillie lorsque j'ai fugué de chez moi il y a deux ans? Il m'a fais travaillé pour la mafia et je pensais que cela m'aiderais, mais ce ne fut pas le cas. Il y a bien une chose de bien que j'ai fais dans la mafia, c'est de rencontrer un bon ami. Mori a tuer mon ami il y a quelque jour, et je ne supportais plus la pensée que Mori pouvait vivre et pas mon ami. Mais pourquoi le regardes-tu ainsi? Je sais qu'il t'a forcé à te marier avec lui, n'ai pas pitié de lui voyons! Eh bien! Arrêtes!>>

Nous nous levâmes en même temps, et Dazai me guida hors de la pièce, avec sa main ensanglantée sur mon dos. Je frissonnais et me sentais affreusement infidèle à Mori. Dazai avait raison, Mori m'avais forcé à me marier avec lui, et de plus, il avait apparemment tué l'ami de Dazai. Mais je m'étais réellement attachée.

Je ne savais pas où il voulait m'amener, mais nous étions maintenant dehors. Nous sommes entrés dans la forêt. Il s'arrêta dans un endroit qui me paraissait mystérieux. Il y avait une stèle avec une inscription d'une langue que je ne reconnaissait pas. Cette stèle me donnais l'impression qu'elle venait d'une autre époque plus ancienne et plus magique.

<<Veux-tu retourner chez toi, comme si rien ne s'était passé? Me dit Dazai.

-Oui, si seulement rien ne s'était passé. je ne pense pas supporter leurs regards et leurs questions.

-je vais réaliser ton souhais. Tu vois, je vais venir avec toi, mais nous allons faire comme si nous avions aucun rappport avec Yokohama ou la mafia. J'ai besoin de rester loin d'ici moi aussi, si je veux que mon ami soi en sécurité. Si je ne l'avais pas rencontré, il serait en vie après tout...>>

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