Chapitre 8

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Le lundi suivant devant l’école Lunic dépose Michel et comme dans leur habitude les bisous ne ferons que pleuvoir avant les au-revoir. Michel demande à son père

Michel : Papa je pourrais inviter quelques amies à l’anniversaire d’Ayên?

Lunic : Non. Si tu invitent quelques personnes les autres seront déçu de ne pas avoir été inviter. Alors tu dois inviter toute la classe c’est mieux.

Michel : C’est vrai? Tu crois qu’Ayên dira oui?

Lunic : Demande lui c’est son anniversaire. Tu sais que ton frère ne veux que ton bien n’est ce pas. Tu est toujours fâché pour ta punition?

Michel : Non maman m’a dit pourquoi il c’est cacher sans moi.

Lunic : Tu sais ton frère t’aime beaucoup. Écoute le parfois il peut être injuste et sévère crois moi qu’il ferait tout pour toi si tu crois en lui peut importe ce qui se passe ok.

Après cette discussion père et fils mon garçon se rendra à l’école avec un sourire immense. Sourire qui n’a pas échapper à ces deux nouvelles Valentine. Lindsay et Ludivine. Celles-ci l’attendais de pieds fermes pour lui dire le genre de chocolat qu’elles aimaient.

Ludivine : J’aime le chocolat tout blanc ne l’oublie pas.

Lindsay : Moi je préfère le chocolat blanc au raisin.

Au même moment Hillary les rejoints et demande

Hillary : Pourquoi tu lui parles de chocolat c’est mon Valentin

Lindsay : On est nous aussi ces Valentine.

Ludivine : Si tu ne veux pas je te pince

Hillary : C’est méchant de ta part

Ludivine tire la langue et s’en va suivi de sa sœur. Michel se rend compte qu’il aurait peut être du refuser d’être le Valentin des deux jumelles quand il verra l’air tout triste de sa nouvelle camarade de classe. Il lui dit

Michel : Ne soit pas triste c’est bientôt l’anniversaire de mon grand frère et toute la classe est inviter. Je te donnerai un autre cadeau

Hillary : C’est vrai?

Les deux irons discuter calmement. Pendant ce temps Lunic tenait a être présent pour choisir le gâteau de son fils il m’accompagne malgré moi a la pâtisserie. Ne sachant pas que de l’autre côté de la pièce se tenait notre ennemie jurer Yoël qui venait chercher un gâteau pour sa belle mère nous rentrons dans la boutique. Au sons de ma voix le cœur de mon ex mari se coupe. Il ne parle plus pour ne pas attirer notre attention. Il communique à voix basse au pâtissier de ne pas le déranger qu’il allait lui faire signe quand il aura finit. De loin il essaie de jeter un coup d’œil sur moi. D’un coup il entend une chose qui le remonte.

Si tout le monde savaient que Dora y compris mes autres sœurs c’étaient attraper les hommes et les fils d’homme politiques les plus puissants du pays Yoël malgré tout ces enquêtes n’a jamais su où j’étais. Apprendre que j’étais devenue la femme de Lunic allait déclencher une rage silencieuse chez lui sans qu’il ne puisse rien faire en public. Le pâtissier était un amis de sa nouvelle belle-mère.

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