Chap. 20

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!! Depuis le début de l'histoire, je dis que Douglas a un cabriolet noir, sauf qu'en fait ce n'est pas du tout ce que j'imaginais, je voulais dire un pick up noir, j'ai confondu, je suis désolée, je vais essayer de retrouver toutes les fois où j'ai pu écrire cela dans les chapitres précédent.

Alors que je commençais à m'assoupir sur mon lit, la sonnerie résonna.

Je pensais que mon frère allait ouvrir alors je ne bougeai pas, cependant après une bonne minute la sonnerie sonna à nouveau.

Je soufflai et je me levai avec lenteur.

J'étais frustrée parce que j'étais fatiguée et que j'avais du mal à m'endormir le soir, alors une petite sieste n'aurait pas été de refus.

Je descendis les escaliers recouverts de moquette, j'adorais marcher pieds nues sur la moquette.

J'aperçu mon reflet sur le miroir rectangulaire à la gauche de la porte et je grimaçai. Déjà que j'avais du mal à me trouver jolie de base mais après une presque-sieste c'était encore pire.

J'étais en train de me dire que cela devait être bien d'être belle à n'importe quel moment, quand j'ouvris la porte.

Je fus d'abord surprise puis je soufflai.

- C'est du harcèlement là, dis-je.

- Dans tes rêves peut-être, mais on a un exposé à faire je te rappelle, me dit-il.

J'ouvris la porte un peu plus pour le laisser entrer. Je la refermai et me tournai vers lui.

- Depuis quand tu t'intéresses à tes devoirs ? demandé-je.

- Depuis que ça me donne une excuse pour t'embêter, me dit-il.

Je soufflai et mon frère débarqua dans l'entrée.

Comme par hasard, il arrive après que je me sois levée pour ouvrir la porte.

- Euh.. salut, dit mon frère en regardant Douglas.

- Salut, Douglas, se présenta t-il en avançant sa main pour tcheker mon frère.

Ils se tchekèrent et pour éviter un moment gênant je précisai que l'on allait travailler.

- Vous allez travailler tous les deux tout seuls dans ta chambre ? demanda Ben.

Est-ce que j'avais déjà précisé que je détestais mon frère ?

- Oui, dis-je très gênée, bon viens Douglas,
dis-je en me dirigeant vers les escaliers.

- Laissez la porte ouverte, nous dit mon frère.

- Zéro crédibilité Ben, dis-je en montant les escaliers suivie de Douglas.

Non mais sérieux, il n'était pas du tout crédible.

Je réalisai que Douglas allait voir ma chambre de gamine et qui plus était en bordel.

Je me tournai vers lui, mieux vaut prévenir que guérir.

- Je te préviens si tu te moques de ma chambre tu dégages, dis-je.

Il rigola et j'ouvris ma porte.

Je m'avançai vers mon lit pour attraper mon téléphone.

Douglas commença à pouffer.

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