Ever since New York

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*cet imagine contient des caractères sexuels.

Point de vue d'Harry :

Je sors de l'hôtel où Loryne héberge secrètement depuis maintenant deux jours. Les flocons de neige qui se déposent sur mon manteau me rappelle sa peau laiteuse qui me manque déjà. Je réajuste mon bonnet afin de m'occuper l'esprit. Mes pieds suivent les rues enneigées de New York, mes pensées divaguant comme mon corps entre les passant.

Hier, nous nous étions retrouvé après cinq mois séparé l'un de l'autre. Ma joie n'avait été qu'amplifiée quand je l'avais aperçu apprêté dans sa robe rouge qui moulait avec perfection ses formes. J'avais souri comme un idiot car ma déesse se tenait enfin devant moi. Même si Loryne était sublime dans cette robe je m'étais empressé de l'emmener dans sa chambre pour le lui enlever.

Je lui avait retiré délicatement ses bretelles comblé de revoir cette peau douce dont on m'avait séparé trop longtemps. Mes mains avaient glissé le long de ses bras parsemer de frissons et j'avais souri d'avoir à mes côté, celle que j'aimai. Mes doigts s'étaient promené sur les courbes de son corps. Sa poitrine, ses hanches, son cou tout me semblait être une oeuvre d'art. J'avais laissé des suçons sur sa nuque qui sentait encore l'odeur fleurale de son parfum.

Quand mes mains eurent fini avec ses vêtements, les siennes décidèrent de s'attaquer aux miens. Mon haut disparut en un instant sous ses doigts de fée et mon pantalon rejoigna mon tee-shirt sur la moquette de l'hôtel.

Ce soir-là rien ne comptait à par elle et son plaisir. Je lui avait demandé de me dévoiler ses désirs et tel un ange honteux, elle me les avait chuchoté à l'oreille, ses joues rougies par la passion. J'avais embrassé ses lèvres comme si elles allaient me délivrer de tout soucis, et je m'étais extasié devant la douceur et le gout fruité de celles-ci.

Nos corps étaient impatient, chaque gestes étaient une course contre la montre. Nous fûmes donc rapidement obligé de passer aux choses sérieuses.

Elle avait tiré sur mes cheveux me demandant d'aller plus vite, ce que je fis, mon coeur à sa merci. Les supplices qui était sortit d'entre sa bouche m'envoutait. Elle était ma sirene et j'étais son marin perdu dans les vagues de plaisir quelle me procurait.

Quelque minutes plus tard mon corps se crispa quand le bouquet finale arriva. Mon bas ventre crépitait tel un feu d'artifice et ses gémissements était les dernières notes d'une symphonie.

Dans un dernier coup de rein je m'étais étendu près d'elle, à admirer cette rose délicate qui au fil de notre relation perdait son innocence comme une fleur perd ses pétales.

Ma fleur était assoupie, elle était belle.

Je m'étais allongé sur le dos mais le sommeil ne vînt pas. Mon rituel du soir m'était apparu à l'esprit et donc j'avais fermer les yeux et j'avais prier.

J'avais prié pour Loryne.

Pour moi, pour nous.

Elle était cette fille qui me faisait sourire quand je pleurai.

Elle était cette fille dont les étreintes me transmettait toute la chaleur du monde.

Moi, Harry Styles le "coureur de jupons" était tombé fou amoureux de Loryne.

Elle est mon ange.

Elle est mon idole.

Elle est ma meilleure amie.

Elle est la femme que j'aime.

Ma prière s'était terminée par un souhait, celui que ma relation avec l'ange qui dormait à mes côtes soit eternelle.

Le clacson d'un taxi brisa le cocon de pensées que je m'étais fait. Mais n'étant pas repu je décidai de remonter plus loin dans mes souvenirs.

Ce jour là, l'ennui et la fatigue s'étaient infiltrés dans mon esprit me rendant acerbe. Alors que ma Loryne qui n'était pas encore devenue ma petite amie consultait son téléphone. J'attirai son attention :

"-Loryne dit moi quelque chose de nouveaux...Quelque chose dont je ne suis pas encore au courant."

"Oh tell me something new...Something I don't already know."

L'ange qui était devant moi réfléchit plusieurs minutes comme si elle cherchait ses mots et mon coeur se compressa :

"-Je crois que je t'aime." Puis, avec un naturelle troublant elle avait replongé ses yeux sur son écran de téléphone. Abasourdi, je n'avais osé prendre la parole. Nous étions resté silencieux pendant les nombreuses heures qui suivirent. Mais au moment de se quitter je l'avais attiré contre moi et sans hésiter j'avais pressé avec tendresse mes lèvres contre les siennes.

Sa bouche est l'incarnation de l'amour et de la grâce. Elle a un goût addictif, à tel point que je n'en suis jamais rassasié. Cette fille a tellement de pouvoir sur moi. Rien que ses lèvres me donne envie de la prendre n'importe où nous sommes.

Je fermis soudainement les yeux. Je pouvais encore sentir la pulpe de sa bouche sur la mienne me rappelant une fraise bien mûre. Je passais délicatement mon doigt sur celles-ci comme si j'avais peur que la sensation s'envole.

Point de vue externe :

Depuis New York, depuis cette fameuse nuit, Harry pria tout les soirs.

Pour Loryne.

Pour lui, pour eux.

Cette rose qui lui accorda son innocence.

La seule sirène qui l'envoutait.

Car elle était cette ange qui éclairait sa vie.

Car l'idole était tombé pour la fan.

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Hello ! Ça va ?

Imagine plutôt court mais j'ai preféré jouer la carte de "qualité au lieu de quantité". Car mes deux dernières histoires ne me plaisent pas du tout.

Je me suis inspirée de ESNY pour cette imagine même si je sais très bien que ce n'est pas la vraie signification de la chanson. :)

Tu me l'a demandé, j'ai cédé voici ton imagine loryne-kungsfam

J'espère de tout mon coeur qu'il te plaît.

J'attends vos retours avec impatience.

Merci de me lire. xx

histoires courtes. Where stories live. Discover now