Fragments de vies surréalistes écrit par mes soins avec comme acteur principal, Harry Edward Styles.
"Il n'est de plaisir qu'en imagination." - Paul Leautaud.
Bonne lecture. ♡
cet imagine aborde le thème de relation majeur/mineur.
cet imagine vous met en scène.
bonne lecture !
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y/n
Chez certain, le dimanche est consacré à la détente, au repos ou encore à sortir avec ses amis. Mais chez moi, le dimanche est un jour où je préférerais ne jamais me réveiller. Depuis que je suis née, le dimanche est le jour où, moi et mon père parlons durant la matinée afin de faire le point sur la semaine. Si je fais une fausse note lors de cette entretien, la discution se transforme en dispute. Et maman ne serait plus là pour arrêter le massacre.
Il est 9:00 quand je me réveille. Étrangement ce ne sont pas les rayons du soleil flamboyant qui m'extirpent de mes songes mais une douce mélodie qui vient du piano du salon. Mon père ne joue jamais, il dit que cela est inutile car selon lui, il a dût oublier comment jouer, mais je le soupçonne surtout d'avoir peur de se ridiculiser.
Les planches de bois grincent sous mon poids faisant stopper net la si jolie musique qui se baladait dans toute la maison. Lorsque j'arrive dans le salon, mon père est assis sur une des chaises de la table à manger, parlant avec un homme dos à moi, assis sur le siège du piano.
Ma présence dans le salon ne sembla pas déranger les hommes qui se parlaient jusqu'à se que mon père croisa enfin son regard dans le mien.
_Bonjour y/n, as-tu bien dormi ?
_Bien, merci papa...Et toi ?
_Moi aussi. Y/n je te présente monsieur Styles qui sera ton professeur de piano à présent.
C'est à ce moment que choisit monsieur Styles pour ce retourner et me montrer son visage. Je déglutis bruyamment sous la surprise.
Monsieur Styles était un jeune homme, avec des traits délicats et un visage d'ange. Ses cheveux bruns étaient parfaitement en place, et je pouvais de loin distinguer de beaux yeux verts. Quant à ses habits, il était vêtu d'une chemise blanche simple rentrée dans un slim noir. L'élégance coulait dans ses veines.
