histoires courtes.

coffee

cet imagine vous met en scène

cet imagine ne contient aucun caractère sexuels.

Chaque matin, alors que j'entreprend le même chemin vers mon lieu de travail, je passe devant un café. Et à chaque fois, je me donne la fantaisie d'y pénétrer et de succomber aux saveurs de la cafeine sur mes papilles.

La boutique est rustique. Formée de bois et de pierres plongeant le visiteur dans une ambiance si intimiste et chaleureuse, que nous sommes obligés de déguster ce délice d'être dans un si jolie café.

Et chaque matin, je rentre dans celui-ci et me fais un chemin vers la queue déjà si longue. Peut-être ai-je menti en disant que le café et la boutique était les seules raisons pour lesquelles je venais ici.

En effet dans ce café, travaille un garçon le plus attentionné que j'ai pu rencontrer. Le jeune bouclé est toujours là pour sourire, même aux clients les plus caractériels. Je ne me lasse jamais de voir ce si beau visage, harmonieux et reposé remplit de tendresse.

Ses bouclettes encadrant ses yeux émeraudes, ses lèvres roses et son petit sourire rayonnant, qui lui donne un visage d'ange.

Malheureusement, je suis bien trop timide pour faire un pas alors je me contente d'un sourire, d'un compliment sur la boutique ou du café. Et celui ci, me répond toujours d'une phrase illuminant ma journée.

__Bonjour mademoiselle! Comment allez-vous aujourd'hui ?

Je sortais de mes pensées et croisait le regard vert du jeune brun. Mes joues se pourpraient sous ses yeux écarlates.

__Bonjour! Très bien et vous ? C'est une jolie journée qui s'annonçe...

__Je vais super bien mademoiselle et oui c'est vrai. -Il prit un temps d'arrêt et reprit : Je vous sers un café latte comme d'habitude ?

Je hochais de la tête et souriais au jeune garçon. Celui-ci prit son temps pour me faire ce café, comme si l'or était l'ingrédient principale de la recette.

Ses mains bougeaient en mouvements et je pouvais voir de là ses veines sortir sous ses gestes rapides. Je fantasmais totalement. Et secretement, j'esperais qu'un jour, ces mains soient autour de mon corps.

Au bout de plusieurs minutes, mon bouclé avait finit sa préparation. Il me tendit alors le café brûlant, avec, un cookie de l'autre main. Je fronçais les sourcils tout en sortant mon portefeuille de mon sac.

__Mais je n'ai commandé qu'un latte ?

__Oui mais je vous ai rajouté un cookie et ne sortez pas votre portefeuille s'il vous plaît, je vous offre le petit-dejeuner.

J'étais sur qu'à ce même moment, mes yeux brillaient de bonheur. Le garçon fit perdre un battement à mon cœur en rajoutant ;

__Parcontre pourriez vous me rendre en service en échange ?

__Oui, bien sûr, dîtes moi.

__Donnez moi votre numéro de téléphone mademoiselle.

♤♤

un bruit de porte qui s'ouvre pertuba mon sommeil mais je décidais de ne pas y prêter attention, ne voulant pas gâcher ma grasse matinée du dimanche matin. Mais cette promesse fût compromis quand quelque chose de mouillée se déposa délicatement sur mon front.

__Bonne journée ma douce, il est 11 heure.

Alors, j'ouvris peu à peu mes yeux et découvris ceux de mon bouclé et comme à chaque fois, je ne me lassais pas de le voir près de moi chaque matin.

J'approchais mes lèvres des siennes afin qu'elles ne firent qu'uns, la passion se mélangeant au goût fruité de celles-ci.

Quand je me détachais, j'apperçue un plateau avec, dedans, un festin qui y trônait. Une brioche avec de la pâte à tartiner, du jus d'orange pressé, une salade de fruit, et surtout un café fait maison se présentaient à moi et je pouvais déjà entendre mon estomac grommêler sous l'appétit.

__Oh Harry, pourquoi tout ça ? C'est adorable.

__Car je t'aime, y/n.

Sous ces mots, ma poitrine se serra et mon cœur sembla me lâcher.
Je posais ma tête contre son torse et écoutait le bruit des passants dehors contrastant avec le silence de notre chez nous.

__Je t'aime y/n j'espère que tu le sais, je tiens à toi et je ne veux pas te perdre. Tu m'entends ? Je t'aime y/n.

__Moi aussi Harry, je t'aime si fort...-

Cette mélodie me ramena tout droit dans le monde des rêves, mais je restais logée dans ses bras d'Orphée.

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