chapitre 7

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Chapitre 7
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Fadel : et maintenant qu'est-ce que tu comptes faire pour le reste ?

Nafi : je pense que je vais ajuster le planning de lundi avec nabou et celle de vendredi avec Anta ?

Fadel fronça les sourcils : Anta la jolie bombe avec des formes oh My good... non tu la mets pour le lundi. Car elle est trop sexy et le vendredi les hommes sont à la maison en fin de journée la plus part du temps ;

Nafi : bien raisonné. Mais tu n'avais pas besoin de souligner qu'elle est une bombe. Elle est juste artificielle. Tu le reconnais au moins.

Fadel : ah mais artificielle ou pas elle est magnifique. Surtout quand elle met ses leggins moulant... oh...

Il ferma les yeux et Nafi en profita pour lui jeter le stylo qu'elle avait. Ils éclatèrent de rire.

Depuis la dernière fois avec Serigne, Fadel ne voulait plus quitter nafissatou ; même si son subconscient lui disait le contraire, il trouvait en elle quelque chose d'apaisant.

Depuis donc plusieurs jours, il se chargeait de l'aider dans son planning. Il avait fait des études de gestion mais ne l'avait jamais exploité car disait-il, il n'en avait pas besoin.

Il l'aidait donc de manière libre et sincère. Il savait que bijou mettait rarement les pieds dans ce bureau et donc il s'était proposé pour donner un coup de main à la jeune femme afin qu'elle puisse terminer tôt. Mais n'empêche, il se proposait toujours de la ramener chez elle.

Malgré leur petite proximité, Fadel avait quand même des limites. Oui, il trouvait en elle une femme un peu réservée malgré les apparences. Mais plus il la côtoyait et plus il se rendait compte à quel point elle était ouverte d'esprit. Elle était assise sur son siège de bureau et lui en face d'elle.

Fadel : cela fait maintenant une semaine que je t'aide. J'espère que j'aurai ma paie à la fin de la semaine.

Nafi leva la tête vers lui de manière ironique : rire on en avait pas parlé jusque-là. Je te donne un pourcentage sur mon salaire.

Fadel : ah oui ? Je risque de connaitre le montant de ton salaire alors...

Nafi : ce n'est pas grave. Mon héro peut bien le connaitre.

Il sourit timidement : arrête je ne suis ton héro...

A cet instant, Nafi vit un homme différent. Mais la question qui la taraudait était pourquoi il n'était pas en bon terme avec sa famille. Mais elle se dit que ce n'était pas le bon moment de le lui demander vu qu'ils n'étaient pas encore assez proches.

Fadel : bon propose moi un pourcentage je vais voir...

Nafi : euh 10% c'est bon ???

Fadel : hahahahahh non je ne veux pas. Bon je te propose autre chose...

Nafi : rire quoi ?

Fadel : en guise de rémunération je voudrais que tu acceptes de diner avec moi.

Nafi resta figée sur place : diner avec toi ?

Fadel devint soudain sérieux : oui ! Si c'est dans tes cordes bien sûr.

Il ne jouait plus et Nafi avait l'impression qu'il attendait sa réponse avec anxiété.

Nafi : pourquoi pas ? J'accepte.

Fadel : parfait. Demain c'est samedi, je viendrai te chercher à 20h chez toi ça te vas ?

Nafi : rire oui d'accord. Ça me va. Et nous irons ou ?

Fadel : à toi de choisir...

Elle se mit à mâcher le bout de son stylo, provoquant une sensation bizarre chez Fadel. Il la fixa un peu puis détourna légèrement le regard.

briséeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant