Chapitre 5 : L'espoir d'un échappatoire

3.3K 152 20
                                    

Leur chef m'avait laisser là, toute seule. Je ne pouvais pas parler, ni bouger de cette pièce car je sais que si je tenter de m'enfuir je risque de me faire rattraper et tuer. L'entrevue que j'avais eu plutôt avec Kuroro avait renforcer mon idée du fait qu'il était un combattant rusé et fort, il se doute bien que je ne peux pas le vaincre. Je m'ennuyais profondément et j'ai eu une idée.  Pourquoi je ni avais pas penser avant que je suis bête. Il suffit que j'utilise mon aura pour matérialisé Futsu ( voir fiche présentation de Wendy ), lui il pourra m'aider j'en suis sûr.

Je me tortillais sur place pour me décaler un peu du mur sur lequel j'étais adossé, pour pouvoir dégager mes mains. Je me concentrer avec intensité sur mon aura pour pouvoir visualiser vaguement comment elle évoluer dans mon corps. Après avoir bien tout visualiser, je concentra dans ma main droite toute mon aura pour faciliter la matérialisation de Futsu cela me demander tellement d'énergie que je le fait apparaître qu'en cas d'urgence. Mais là C'EST UN CAS D'URGENCE, alors même si je vais être dans les vapes je tente le coup. Un forme se matérialisa au centre de l'aura que je réduisais à ma simple main, Futsu apparût, néanmoins cela m'avait consumer tellement d'énergie que j'étais à la limite de l'évanouissement. Futsu me regardait d'un air inquiet il sait comment je me sens car nous sommes liés, il sait aussi ce que je veux qu'il fasse par l'intermédiaire de la pensée.

Il commença à mordillait mes liens qui retenait mes poignets , puis vu que mes liens ne cédaient pas il utilisa ses dents pour les couper. Une fois libérer de mes entraves j'entrepris la tâche d'enlever moi-même le bâillon que Kuroro avait eu l'amabilité de me remettre. D'ailleurs il était bien serrer sa me prit du temps à l'enlever, mais je réussis quand même à le retirer en moins de deux minutes.  

La sortie était juste devant moi je ne peux pas reculer maintenant, je dois partir de cette endroit lugubre. Je ne devais pas rester avec les membres de la brigade. Je pris Futsu qui était entrain de se caresser sur mes chevilles dans mes bras, et sortit en trombe de la pièce. Je zigzaguer dans les couloirs en courant car je ne me souvenais plus trop du chemin qu'avait emprunté Nobunaga et Machi pour me séquestrer dans cette pièce sombre. J'étais vraiment fatigué et Futsu le ressentait par notre lien mais aussi par le faite que je trébuchais souvent. Je me suis alors arrêter de courir pour reprendre mon souffle adossé à un mur décrépi. Futsu en profitant pour canalisait sa propre aura pour utiliser Chiy no Tenshi et me soignais un peu. Je le remercia d'un geste de tête et nous continuâmes jusqu'à arriver à droite du seuil de la pièce principale, Tout les membres de la brigade y était rassemblé dans la salle, leur chef, cet homme arrogant était comme à son habitude au centre de tout le monde. Ils étaient en pleine discussion... sur... MON CAS !!! ( comment ça mon cas. P**** , ils veulent pas me foutre la paix ?! ) 

PDV externe ( sans les pensées de Wendy ) :

- Boss, en fait quoi de cette sale mioche insolente ?

- A vrai dire je ne sais pas trop Phinks, tu en penses quoi Machi ?

- Hein, pourquoi moi ?!

- C'est toi qui nous a forcer à la ramener j'te signale, pauvre cruche ?

- Pardon ?!?! j'ai demander l'avis de tout le monde je n'ai forcer personne ! Et puis insulte moi encore une fois le nain et tu es un homme mort !!! ( elle était vraiment énervée et lui jeter un regard glacial )

- JE DOIS PAS T'INSULTER MAIS TU TE PERMETS DE LE FAIRE TOI, ALORS TU T'ÉCRASES LA BARBAPAPA  !!! 

- VAS-Y REPETES !!! Les deux arboraient une aura meurtrière qui en fit frissonnait plus d'un, mais le chef interrompit se duel avant même qu'il commence en leur intimant de se calmer et de se détendre chacun d'un côté différent. Feitan était tellement énerver qu'il se retourna et prit la direction de la sortie. Il dit au chef qu'il voulait juste se calmer dans une autre pièce, puis sorti enfin c'est ce qu'il aurait du faire mais lorsqu'il était à trois mètres de la sortie il s'arrêta net.  

L'idéale c'est 13Où les histoires vivent. Découvrez maintenant