( mon retour officiel ) Chapitre 8 : La mélancolie de Kuroro

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À cause d'un problème de santé survenu pendant ma pause et qui persiste je ne pourrais pas être aussi régulière que je l'aurai voulu. Alors je m'excuse d'avance mais je n'ai pas pu poursuivre la réécriture de mon oeuvre ni fait de suite au chapitre que je vous offre maintenant. Bien sur j'y travaille et j'essayerai de publier la suite dans les deux/trois semaines à suivre. Je vous remercie de votre compréhension et vous souhaites une bonne lecture !!! ( il y a un mot à la fin de mon chapitre alors s'il vous plaît lisaient le ) 


PDV Kuroro :

Cela faisait désormais trois jours qu'elle ne s'était pas réveillée. Mais malgré l'inquiétude de Sharnalk et Pakunoda moi je ne l'étais pas le moins du monde. Je n'étais pas inquiet par son état car je savais qu'elle s'en remettrait. Même si sa tristesse est grande, même si le poids de ses reproches l'écrase, elle ne sera jamais seule. Je la soutiendrai. La voir pleurer, l'entendre parler de morts était quelque chose que je n'avais pas pu anticipé. Jamais je ne me saurai douter de sa tristesse et de sesmorts fantômes que tout le monde oubliaient, tout le monde oui, sauf elle.

Lorsqu'elle s'était mise à pleurer je me suis sentie triste, nostalgique, et compatissant envers ce qu'elle avait pu vivre. Moi même j'ai pu faire l'expérience de ces morts, quasi inévitable. Je suis presque sur que chaque membre de la brigade avait lui aussi au moins vécu ça une fois. Quelqu'un que l'on apprécie, meurt subitement devant tes yeux. La vie est bien trop courte. Tout comme elle, je me suis sentie dévasté ( terrassé ), et pourtant tous ses souvenirs je les avais oublié. Cette événement m'avais permis de faire resurgir tous ces souvenirs oubliés volontairement de ma mémoire.

Avant que la brigade fut créait, j'étais entouré de trois amis : un homme plus âgé que moi et pourtant son caractère, ses paroles et son esprit de justice et d'égalité me donnait l'impression d'être son égal. Lui et moi avions tous les deux des objectifs, des visions et des caractères bien différents et pourtant nous nous entendions à merveille. Il se battait pour la paix et moi pour la guerre mais nous nous battions ensemble en harmonie.

Mon deuxième amie était une jeune femme du même âge que moi. Elle était d'une santé fragile mais néanmoins elle possédait un caractère bien trempé, c'était une forte tête. J'avais l'habitude de souvent malgré mon sang-froid exemplaire, de ma battre avec elle. D'ailleurs elle était la seule à pouvoir me faire sortir de mes gonds, la seule qui savait comment faire pour m'énerver. Elle était incroyable.

Mon dernier ami et pas des moindres était un jeune homme de bas âge qui était un peu stupide mais il nous faisait tous bien rire avec ses blagues, ces singeries et ses bêtises en tout genres.

Nous nous amusions tous les quatre et nous étions encore entrain de baigner dans l'enfance. C'est trois amis s'appelaient respectivement, Erick ( le plus âgé ), Elisabeth et Keruo ( le plus jeune ). Je devais avoir à ce moment là 15/16 ans pas plus, je n'avais aucune idée de ce qui se passerai plus tard. J'étais encore trop naïf. Je suis partie de la ville de l'étoile filante pour voyager. Elisabeth elle aussi était parti voyager mais nous avions pas emprunté le même chemin. Jamais je n'aurais pu imaginer ce qui était arrivé c'était tellement sordide. J'appris à mon retour sur Meteor City qu'elisabeth n'était jamais revenu et même qu'elle s'était faites tuer. Ma tristesse à ce moment là était tellement grande que je n'avais pas écouter la fin des explications des doyens. Je suis rentrais chez moi et mit suis enfermé pendant une semaine, je ne sortais pas, je ne voulais voir personne. Je voulais juste être seul, même Erick et Keruo ne venaient pas me voir, ils savaient que ce qui me ferai le plus grand bien c'était de me retrouvait tout seul et réfléchir à tout ce que je venais d'apprendre.

Pendant cette semaine de solitude Keruo mourut d'un accident, pour sauver de jeunes enfants sur le haut d'une montagne de déchets Keruo avait poussait les enfants et s'était sacrifié pour eux. J'avais déjà trop pleurer je ne versait donc que quelques larmes sans grande influence.

Erick lui mourut 1 ans plus tard d'un cancer au poumons :

« FlashBack »
Dans une chambre d'hôpital en délabrement.

- Kuroro tu es là ?

- Oui je suis là Erick tu ne sent pas ma main sur la tienne? ( Kuroro lui tient la main gauche )

- Je ne sens plus rien, je ne vois plus rien et je n'entends presque plus mais s'il te plaît écoute moi jusqu'au bout.

- Je resterai jusqu'à la fin je te le promets.

- Tu feras un leader fantastique pour notre petite araignée.

- Leader ? Araignée ? Je ne comprends pas.

- Tu comprendras le moment venus je suis sûr. Cherche toi des pattes solides et l'avenir même sombre te seras ouvert. Adieu mon ami je crois en toi, fais de notre bébé arachnide, la plus terrifiante de la planète...

Bip bip ... ( il est mort )

« fin du FlashBack »
De retour dans le repaire de l'araignée.

- Sharnalk, appelai je d'une voix monocorde.

- Oui chef ?

- Je vais dans ma chambre réfléchir, j'aimerai que tu fasses des recherches sur la petite.

- Euh d'accord je m'y met tout de suite. Euh vous allez bien chef ?

- Oui pourquoi ?

- Vous semblait perturbé depuis que la petite s'est endormie.

- De vieux souvenirs ressurgissent.

- Ah okay, puis je parti de la grande salle et me dirigeait vers ma chambre. Soudain je sentis une aura menaçante juste derrière moi. Je me retourna brutalement mais je ne vis rien d'anormal. Je me remis droit et aperçut trop tard une femme debout juste devant moi. Avant même que je ne puisse faire le moindre geste elle me plaqua contre le mur. D'une main elle me bloqua les deux miennes ( elle est plus forte physiquement que Kuroro )et d'une autre elle me souleva le menton, nos visages était trop près à mon goût. Je pouvais sentir son souffle chaud sur mon visage je trouvais ça fort désagréable :

- Qu'est ce que tu me veux ? Et qui est tu ?

- Tu le sauras en temps voulut. Pour le moment tu dois juste me suivre, me répondit-elle avec un sourire malicieux collé au visage. Il me semblait quel parlait un peu bizarrement. Elle a peut-être quelque chose dans la bouche. Peu importe je dois lui fausser compagnie.

- Et si je refuse ?

- Tu me vois dans l'obligation de t'envoyer dans les bras de Morphée. Mais avant je vais me faire un peu plaisir.

- Te faire plais..., avant même que je comprennes ce qu'elle insinuait je sentis nos deux visages se rapprochait et ses lèvres s'écrasèrent brutalement sur les miennes. Ces doigts avaient une emprise sur « l'engrenage » de ma mâchoire de sorte que je ne puisse fermer ma bouche et qu'elle puisse introduire sa langue dans ma cavité buccale. Malgré le fait que je me débattais la jeune femme profita de se langoureux baiser bien plus longtemps que je l'aurai souhaité. Je me dégageait enfin d'elle, mes mains enfin libre je sortit de mon sang-froid et lui montras le regard le plus meurtrier possible mais avant même que je ne puisse faire le moindre geste pour attraper mon couteau Benz et la paralysait ( c'est comme cela que sa s'écrit ???? ) mon corps tout entier s'écroula inerte sur le sol. Avant que je ne ferme mes yeux je l'entendis une dernière fois :

- C'était absolument exquis !!!, elle se lécha les lèvres avec envie...

A suivre ... 

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Mot de l'auteur : 

MERCI BEAUCOUP POUR LES 1.9k VUES ET JE REMERCIES AUSSI MES 24 ABONNÉES. MERCI DE VOTER POUR MON HISTOIRE ( ce sont les petites étoiles ). JE VOUS AIMES TOUS MERCI INFINIMENT DE ME SUIVRE MOI ET MON HISTOIRE !!!! 

BONNES VACANCES A TOUS CEUX QUI LE SONT ( oui je suis en vacances !!!! ) et bon courage à tout ceux qui ne le sont pas !!

L'idéale c'est 13Where stories live. Discover now