L'idéale c'est 13

Chapitre 7 : Le poids des morts et des reproches

Dans le précédent chapitre :

Par la menace et le refus de mourir de Wendy, La brigade a appris les facultés de nen de la jeune fille. Les blessures de Pakunoda sont guéries et cela va suscité chez Kuroro une attirance et une curiosité envers la jeune Wendy ( plutôt pour les capacités quelles possèdent que son apparence ou son intelligence ). Il lui proposera alors de rejoindre l'araignée. Ce chapitre commence avec l'étonnement de tout nos précieux « amis ».

Début du chapitre 7

- rejoins nous.

Comment ? Pourquoi il me demande ça ? Pour mes facultés ? Non je ne peux pas. Je ne dois pas dire oui ! Tout ce que je dois faire c'est retournée chez moi, sur la ville de l'Etoile filante. Ils m'attendent tous , ils attendent mon retour.

- Non je suis désolé mais je ne peux pas. Comparé aux autres fois je répondais avec une tonalité de voix plus assurée et résolue. Il n'y avait aucune marque de plaisanterie. Il pouvait ( = Kuroro ) voir au travers de mon regard que je ne mentais pas. Il me demanda alors :

- Pourquoi ?

- Je dois rentrer chez moi.

- Et d'où tu viens ?

- Pas ici en tout cas.

- Le chef t'a posé une question très clair ! Donc tu as intéré de lui répondre et vite, s'énerva Phinks. Ce qui m'étonnait ce n'était pas l'agressivité de Phinks mais plutôt le calme de Feitan. Il était serein entrain de lire un livre comme si la conversation était inintéressante. Les autres qu'en a eu écoutaient attentivement notre échange.

- Je te répètes ma question une seconde et dernière fois ( il n'était plus très patient ) : Tu viens d'où EXACTEMENT ?

- Je n'existe pas pour la société actuel et je n'ai pas de famille, ça devrait vous aider à reconnaître le lieu d'où je viens, j'ai répondu avec un peu moins de fermeté qu'au début, et j'avais baisser la tête comme si j'avais honte de quelque chose.

- C'est vrai toi aussi tu viens de la ville de l'étoile filante, me demanda d'une voix enjoué et amicale Sharnalk. Il affichait un large sourire. Il semblait heureux mais aussi surpris à la fois. Il voulait peut-être me rassuré ( vu que je ne suis pas trop en position de confiance ).

- Tu as raison de ne le dire à personne, tu aurais pu te faire attraper, attaquer ou même bien pire, me gronda gentiment Franklin, un peu comme un père gronderai sa fille.

Lorsque Franklin avait fini sa phrase tout le monde ont été surpris car je m'étais mise à pleurer. Ils me regardaient tous ( ou presque tous ) avec un regard emplie de tristesse et d'inquiétude. J'étais entrain de pleurer toutes les larmes de mon corps. Je pleurais Pako, Elisa, Kurome, et tout ceux qui s'étaient sacrifié pour moi, pour me sauver, pour sauver la ville de l'étoile filante. Oui ils sont tous morts dans cette perspective là, ils veulent que je gagne, que je terrasse l'ennemi. Mais je le sais, je suis faible est c'est pour ça que je pleure. Le fait est qu'ils sont tous morts en vain me fait versaient des larmes, trop de larmes. Mais ce n'était pas la seule raison qui me posait à sangloter, le fait qu'ils soient tous parti et que je me retrouve seul m'attriste aussi énormément. Je sais que je suis faible, aussi bien physiquement que mentalement, seul mes capacités liés au nen sont fortes. Mais je ne sais pas comment je peux faire avec de telle capacités pour aider les autres, les empêcher de mourir et surtout les garder à mes côtés. Je veux sauver tout le monde et pouvoir vivre en paix comme une enfant de mon âge. Je veux pouvoir jouer sans me demander si je vais me faire enlever ou bien même tuer. Pourquoi sa n'arrive qu'à moi ? Alors oui maintenant je veux juste pleurer pour libérer toute la tristesse qui est en moi.

Je ne supporte plus le poids des morts. Qu'est ce que c'est ? Je sens des bras qui m'enlacent. C'est chaud et réconfortant. Pourtant je ne m'étais pas arrêter de pleurer il me faudrait bien plus que ça pour me calmer. Je suis trop faible pour pouvoir supporter tout cela toute seule alors je continues à pleurer. Je continue à penser à tous ces morts. Je continue à porter sur mes frêles épaules tous ces pertes. Je ne veut rendre personne malheureux. Malgré mes sanglotements j'entendis une voix douce :

- Ne tant fais pas ça va aller, tout va s'arranger tu vas voir. C'était à Mademoiselle Pakunoda qu'appartenait ces bras qu'y me plonger dans un monde chaleureux mais aussi cette voix qui avait réussis à m'atteindre. Mais encore cela m'avait détendu mais pas arrêter de versait des larmes. Donc j'étais toujours entrain de sanglotais mais pas seulement je me suis mit à me larmoyer :

- C'est de ma faute si ils sont tous morts ! Ils sont morts pour me protéger ! Mais moi je ne suis qu'un fardeau ! Ils auraient pas du mourir, j'aurai du me laisser attraper comme ça ils sauraient tous encore vivants ! Je veux pas être toute seule ! Malgré l'étreinte chaleureuse de Mademoiselle Paku j'ai recommençais à pleurer, repenser à tous ses morts que j'avais causée m'a donner envie de laisser mes larmes coulaient encore et encore. J'en avait besoin, ils le comprirent ( = les membres de la brigade ); aucun n'étaient irrités par mes sanglots bruyant et ils avaient l'air tous tristes pour les morts que j'évoquaient bien qu'ils ne l'ai connaissaient pas. 

- Pleure ça te fera du bien, me dit chaleureusement Sharnalk. Il me caressait les cheveux t le dos pour me détendre un peu. ( il s'était entre temps rapprocher de moi et s'était accroupi pour être à ma hauteur )

Les membres de la brigade ne parlaient pas à par pour me calmer et me faire arrêter de pleurer. J'étais maintenant épuiser; la bataille que j'ai perdu contre l'association, la mort d'Elisa, l'enlèvement par la brigade, la mort de Futsu, le poids des morts sur mes épaules, tout cela m'avaient voler mon énergie. En plus ma lamenter m'a fait également gagner en fatigue. J'étais entrain de fermer les yeux dans les bras de Pakunoda lorsque j'entendis une voix, c'était celle de Kuroro, elle était tendre et bienveillante : 

- Ce n'est pas de ta faute, tu n'es pas obligé de supporter le poids d'autant de reproches. 

A suivre ;) ( dans longtemps ) 

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J'ai publier ce matin un extrait de ce chapitre qui a eu de bon retour et vu que je ne suis pas sadique j'ai finit de taper à l'ordi le chapitre et le publie. Par contre maintenant il va falloir me laisser terminer ma pause parce que c'est le seul chapitre fini ( j'ai entamer le suivant mais il est loin d'être terminer )