Chapitre 4 : Raconter des mensonges et étoffer le plan.

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 Mon cœur battait la chamade dans ma poitrine alors que mes pieds giflés sauvagement le trottoir. J'essayais de crier à l'aide, mais le bâtiment d'un étage était vide ; personne ne pouvait m'entendre, sauf les gens qui étaient derrière moi. Je trébuchais sur un trou dans le béton et tombais à plat.Avant que je ne puisse bouger à nouveau mes pieds mes poignets furent tirer en arrière et j'atterrissais durement sur mes fesses.

« Lâchez moi ! » Je hurlais donnant des coups de pieds mais leur emprise était trop forte sur moi pour que je puisse m'en défaire.

Je fus jetée dans une chambre noir et frappais le sol dur. Je courus jusqu'à la porte juste à temps pour qu'elle se ferme sur mon visage. J'essayais d'abattre mes poings sur la porte et claquais mon épaule sur elle, mais je ne fus récompensée que par des contusions. Abandonnée, je criais aussi fort que je le pouvais et me baissai sur le sol dans un désordre froissé. Ils m'ont eu. Ils ont gagnés.

Juste avant que je ne laisse mes pensées vaincus obtenus le meilleur de moi, j'entendis la porte grincer pour s'ouvrir. Je m'attendais à regarder et voir mes ravisseurs mais mes yeux brun en virent des familiers. Son visage disparut mais je pu voir ses sourcils se froncer soit par colère soit par frustration alors qu'il me soulevait me mettant en bandoulière, mon corps sur son épaule. L’arôme familier de son eau de Cologne remplit mes narines, me faisant savoir qu'il était Liam.Je commençais à me débattre contre lui en signe de protestation. Il n'était pas bon.

« Arrête de bouger. » Gronda t-il.

Sa poigne se resserra contre moi et je me sentais suffoquer. Sa prise se fit de plus en plus forte et insupportablement douloureuse.

« Lâche moi. » Je criai, répétant mes paroles d'avant, mais sa force augmenta.

J'ouvris la bouche de douleur et les yeux de peur. Je déglutis à l'image du cauchemar encore frais dans mon esprit. Le cauchemar semblait si réel. Le cauchemar qui était autrefois ma réalité ; sauf pour cette dernière partie. Jetant un regard sur mon horloge qui se lit 07h21, je gémis et roulais sur le lit, tombant sur le plancher en bois frais. Je restais là pendant un moment, je me demandais comment j'allais travailler aujourd'hui avec seulement 3 heures de sommeil sur mes épaules. Je décidais finalement qu'il était temps de descendre et je me suis traînée dans la salle de bain où je m'éclaboussais le visage d'eau pour m'aider à me réveiller. Je jetais négligemment mes affaires de la veille en un tas froissé sur le sol carrelé cher. Je retournais dans ma chambre en sous-vêtements afin de mettre mes vêtements de travail. Je sortis un polo noir froissé et le mis, le tirant vers le bas pour étirer les rides. Je trouvais une bonne pair de pantalon de yoga et glissais dedans. Mon uniforme tout noir s'affiche avec mon travail fade est horrible au Coffee Hut. Bien que grâce à mon travail, j'aurais bientôt assez d'argent pour acheter mon propre endroit où je pourrais enfin être seule et ne plus avoir à revenir dans cette horrible maison. Je travaillais depuis que j'avais commencé l'école secondaire. À économiser pour la journée, je pouvais enfin vivre en paix. Je n'avais jamais pensé à aller à l'université après avoir obtenue mon diplôme car je savais qu'il y avait toujours de l'argent pour moisi jamais j'en avais vraiment besoin. Jusqu'à présent la seule aide que je reçois avec l'argent de mon père était la chambre où je vivais car je ne voulais pas d'aide pour quelque chose d'autre et bientôt je n'aurais plus besoin d'aide avec un endroit pour rester, qui est la raison pour laquelle j'ai travaillé ces heures ennuyeuses et prit ce travail de merde.

« Bonjour, Mme Gambino. » Je fus accueillis par la femme de ménage tout en marchant dans l'escalier inutilement énorme.

« Je vous ai dit de ne pas m'appeler comme ça Lisa. » Grognais-je.

« Désolée Desirae, tu ne prends pas de petit déjeuné ? » Demanda t-elle alors que je prenais mes clés sur l'étagère.

Drive-Traduction FrançaiseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant