En pays étranger

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Note de l'auteure: Salut tout le monde! Oui, je sais, je publie plusieurs jours plus tard que normalement et je suis désolé. Je n'avais pas de connexion Wi-Fi ces derniers jours et donc, je ne pouvais publier comme à l'habitude. L'horaire n'a pas été respecté et je suis désolé, c'était hors de mon contrôle. Tout de même, en espérant que vous allez apprécier ce prochain chapitre. 🌸

Joe s'installa aux côtés de mes parents après m'avoir fait un léger « salut » de la main. C'est à ce moment que la porte se ferma et que quelques secondes plus tard, l'avion décolla. Au creux de moi-même, je sentais que ce voyage allait être bien amusant.

Le temps de vol fut de 3 heures et 45 minutes. J'avais occupé ces heures en lisant des livres. Lors de mon dernier passage dans notre avion, j'y ai laissé quelques livres en vu d'un prochain voyage. J'avais laissé un livre de fantaisie parlant d'un univers magique de sorciers. Évidemment, je parle bien du livre au nom d'Harry Potter et la coupe de feu soit le quatrième livre d'une série de sept. Vous devez absolument connaître ces livres sinon vous vivez littéralement sous une roche depuis un bon nombre d'années. Également, du même style d'écriture et d'un univers imaginaire similaire, sur quelques points du moins, j'avais laissé l'un des livres de la série Percy Jackson, plus précisément le troisième livre nommé Le Sort du Titan. Quoi, vous croyiez vraiment que je ne lisais que des journaux intimes des anciennes reines et princesses ainsi que des livres de contes des années 1800? Et bien non, je lis également des livres relativement récents et d'actualité.

Kate- Céleste, tu viens? (Franchissant la porte de l'avion)

Je sortis de mes pensées alors que ma mère s'adressa à moi. Je secouai la tête et me levai, m'assurant que ma robe était bien placée. Je m'avançai à la suite de ma mère et Joe se plaça derrière moi. Avant même de voir à l'extérieur, je savais qu'il y avait beaucoup de personnes car j'entendais des cris et des hurlements de joie. Je franchis la porte et descendis gracieusement les marches menant au sol. Une fois arrivée, mon père se dirigea vers les personnes qui nous accueillaient. Ils étaient tous derrière des grilles de métal et appelaient nos noms. Ma mère fit tout comme mon père mais se dirigea vers le côté opposé. N'ayant rien d'autre à faire, je suivis mes parents mais me dirigeai vers le centre. Une fois près d'eux, je commençai à prendre leurs mains, les saluant un par un. Chacun me laissait de gentils commentaires.

Adolescente 1- Je suis une très grande fan.

Adolescente 2- Pareillement pour moi.

Céleste- Eh bien, merci de me soutenir comme vous le faites, les filles. Merci beaucoup.

Si je peux faire un commentaire qui va changer leur journée et les rendre heureuses, pourquoi ne pas le dire? Si je peux aider les gens avec de simples paroles, je vais user de mon statut pour le faire. D'ailleurs, dans un sens, c'est grâce à eux si je n'abandonne pas. Lorsque les autres trouvent des moyens de me rendre triste, en doutant de mes capacités et en critiquant mes simples faits et gestes, les gens qui me soutiennent, au contraire, sont toujours là pour me remonter le moral, me soutenir, m'aider dans mes améliorations ainsi qu'en félicitant mes moindres « exploits ». Alors que je continuai de prendre les mains des personnes présentes, j'arrivai devant une personne plutôt âgée. Elle avait environ 70 ans et avait les cheveux complètement gris. Elle avait un sourire radieux sur le visage. Elle était habillée d'un polo rouge aux manches longues malgré la chaleur de cette journée d'été. La main qu'elle tendait, tremblait légèrement. Je fus surprise de voir une femme aussi âgée m'accueillir moi et ma famille. Habituellement, ce sont des enfants, des adolescents et des jeunes adultes. Disons que normalement, les plus vieux ne viennent pas car ils préfèrent rester dans le passé et ne veulent pas penser aux futures générations. Ils n'apprécient pas le changement et je ne peux les blâmer, c'est tout à fait normal. Je m'approchai de cette gentille dame et lui prit la main, à l'aide de mes deux mains. Nos regards se croisèrent longuement et nous eûmes une sorte de connexion.

Royauté IndésiréeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant