La punition

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Le blond alla s'asseoir à côté de son père. Zoro lui se plaça lui aussi à sa place habituelle. Les frères Vinsmoke regardais le troisième fils d'une manière insistante. Niji et Ichiji ricanais ensemble en regardant leur frère avec Yonji qui cherchais à savoir ce qui faisait rire ses aînés. Pourtant, Sanji n'y prêtait pas attention et continuais à manger tranquillement. Zoro par contre avait un regard mauvais sur le trio, il avait bien compris que le blond lui avait menti pour le bleu à la joue, il se doutait bien que ses frères n'était pas innocent dans cette affaire. Mais il se demandais pourquoi le cuisinier n'en parlait pas à son père. Ça semblait pourtant logique ? Mais le blond est têtu comme un âne, impossible de le faire changer d'avis sur quelque chose, il l'avait bien compris. Et Sanji ne semble pas non plus apprécier qu'il essaye d'en savoir plus sur ses problèmes. Enfin actuellement, ce n'était pas ça qui l'inquiétais le plus mais plutôt cette histoire de punition qui lui pesais lourdement. A quoi pensais exactement le blondinet, il n'était pas sérieux de toute évidence. Du moins il l'espérait. Il avait déjà eu un problème durant la journée, il n'en voulait pas un deuxième plus gros encore. Et si le Cook continue à le chauffer toute les cinq secondes, ça va être dur pour lui de se retenir. Pourtant, les ordres ont été clair pour lui, il a interdiction de le toucher sinon il peut dire adieu à ce boulot et peut-être à son intimité.
Il sentait parfois le regard narquois du blond sur lui. Il essayait de ne pas y faire attention. Il n'avait pas envi d'y penser.
La fin du repas arriva bien trop vite au goût du sabreur qui appréhendait la soirée. Le blond salua sa famille et se dirigea vers le vert en frôlant son épaule pour sortir de la salle à mangé.

Sanji : on y va ?~

Zoro déglutit difficilement et suivie le mannequin dans les longs couloirs de la maison des Vinsmokes. Une fois arrivé dans la chambre, le blond enleva ses chaussure, les balançant à l'autre bout de la pièce et desserras sa cravate en enlevant quelques boutons de sa chemise laissant apparaître le début de ses pectoraux légèrement dessiner, d'une blancheur immaculée. Le bretteur lui était resté fidèle à sa place et ne faisait aucun mouvement, le blond l'avait compris après tout il lui avait bien mit la pressions déjà. Ce qui l'amusât encore plus.

Sanji : Qu'est-ce que mon père t'as interdit déjà ?

Zoro : je n'ai pas le droit de vous toucher, de vous lâcher d'une semelle et de faire d'autres bêtises.

Le blond se retourna vers le vert et commença à s'approcher de sa proie comme un félin. Lentement pas à pas. Zoro ne bougeait pas, et commençait sérieusement à paniquer intérieurement, qu'elle attitude utiliser, qu'est-ce qu'il devait faire ??

Sanji : ne pas me toucher hein...

Il était juste en face du sabreur. Et ne le quittait pas du regard l'unique œil émeraude du bretteur.

Sanji : il n'y a donc pas d'inconvénient à ce que je te touche. N'est-ce pas ?...

Zoro : je... non !... atten-

Le vert n'eu pas le temps de finir sa phrase, il stressait et était paniqué comme jamais, qu'est-ce que le blond allait faire ?! Le cuisinier venait de poser un doigt sur ses lèvres pour lui demander le silence. Le vert avait l'œil écarquillé et une goutte de sueur coulait lentement sur sa joue.

Sanji : Ouh la, du calme... ça va aller, je vais être gentil...

Zoro : s'il vous plaît ne...

Sanji : chuuut... si nous desserrions cette cravate pour commencer, hum ? Elle est trop serrée...

Le blond accompagna ses dires en desserrant lentement la cravate. Zoro montrait encore un peu de réticence. Mais ne pouvant toucher le blond, il ne faisait pas de grands gestes restant donc presque immobile. Réagissant à chaque geste du cuisinier. A chaque mouvement, il avait un petit mouvement aussi, un frisson. Le sabreur le savait, il était totalement à la merci du blond.

Tu m'appartiens (Zosan)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant