Tu m'appartiens (Zosan)

Jour de repos

Lorsque l'aube commença a pointer le bout de son nez, Zoro, qui était resté dans la grande salle à mangé et c'était assoupi du au niveau d'alcool élever qu'il avait dans le sang, se leva avec un énorme mal de tête.

Zoro : putain !... c'est bien le moment d'avoir la gueule de bois !

Il réajusta sa chemise qui était un peu froissée et regarda son portable. Que ne fut pas sa surprise d'avoir 30 appels manqués ainsi que 50 messages de sa chère et tendre petite sœur. Il mit son téléphone en silencieux car elle allait sûrement rappeler durant la journée. Et il n'avait pas encore envie de lui parler, surtout de ça. Il partit dans sa chambre car ce serait louche qu'on le retrouve si tôt dans la salle à mangé. Il prit soin de prendre les bouteilles de saké vide afin de les jeter. Son crâne lui faisait un mal de chien et il sentait encore ses joues humide du aux larmes. Il se maudissait d'être aussi faible et se promis de se mettre à un entraînement encore plus intense pour remédier à ça. Après quelque minute dans sa chambre à vérifier si ses yeux n'était pas trop rouge et qu'il n'avait pas de trop gros cerne il sortit de sa chambre. Il tomba sur Law qui descendait les escaliers, silencieusement. Il se stoppa et le regarda se diriger vers lui.

Law : bonjour.

Zoro : bonjour.

Law : vous êtes le garde du corps de Sanji non ?

Zoro : si.

Law : vous avez bien du courage. Bonne chance. En faite désolé pour hier soir.

Le Brun passa son chemin et sortit de la maison. Le vert avec un petit temps de réaction se retourna vers la porte maintenant fermée

Zoro : hein ?!

Le sabreur ne voulu pas se poser plus de question ne voulant tout simplement pas penser à hier soir. Il en avait assez de mauvais souvenir comme ça.
Sachant que Law était partit le bretteur se décida à aller rejoindre le blond non sans se perdre dans les couloirs plus d'une fois. Quand il trouva enfin la bonne porte, il toqua, et entra. Tombant sur le mannequin assis au bord de son lit, dos au sabreur, sa chemise tombant légèrement sur son épaule blanche et laiteuse. Il regardait par la fenêtre et était ébloui par le grand soleil qui venait de se lever. Les cheveux ébouriffé et apparement pas très réveillé, le blond finit par se rendre compte de la présence de son garde du corps.

Zoro : Law est partit.

Sanji : oui il part toujours tôt.

Zoro : ...

Sanji : combien de temps avant le déjeuné ?

Zoro : peut-être une heure. Vous avez encore le temps.

Sanji : hum.

Lorsque le blond se leva, sa chemise tomba encore plus sur son épaule. Il était simplement habillé d'une chemise qui était trop grande pour lui et un boxer. Le vert le regarda se diriger vers la fenêtre, les cheveux en bataille et l'air pas du tout réveillé. Il était vraiment beau, même le matin, la tête dans le cul, il avait toujours de charme qu'il dégageait. Le vert était perdu dans son admiration, lorsque le souvenir d'hier soir lui revint en tête le faisant tout de suite retomber sur terre. Le Cook bailla et se gratta la nuque, se retourna vers le bretteur et sembla se stopper quelques instants. Puis son visage s'illumina d'un coup, comme si il se souvenait d'une bonne nouvelle.

Sanji : eh mais si je me trompe pas... aujourd'hui... c'est mon jour de repos !

Le vert réfléchis quelque temps en sortant un carnet de sa poche que l'une des servantes lui avait donner lui indiquant le planning du mannequin. Effectivement, aujourd'hui il n'avait rien de prévu.