Blessures

Chapitre 21

*Point de vus du Shérif*

Comment ose t'ils me faire ça ?! Je suis le Shérif de la ville ! Oser porter plainte contre MOI ! J'ai toujours fait correctement mon travail ! Et je vais tous perdre à cause de ce monstre, le monstre auquel toi ma douce Claudia tu as donnée la vie. Ce même monstre qui t'a pris ta vie. Si seulement cette chose n'était pas venue au monde ! Tu serais alors toujours avec moi !... Tu me manque tellement... Je donnerais n'importe quoi pour que tu sois toujours à mes côtés. L'enfant a qui tu a donner le jour, n'est pas mon fils ! Si seulement il n'était pas hyperactif, si seulement il ne t'avait pas épuisé lorsque tu avais besoin de repos.

Si tu savais comme il te ressemble... Si tu savais la douleur que je ressentais en le voyant chaque jour depuis t'a mort... Si tu savais le nombre de fois où j'ai imaginé le voir mort, où j'imaginais que je le tuer de mes propres mains. Le nombres de fois où je me suis tenu au-dessus de lui, rêvant de lui tordre la nuque, l'étrangler, voir la vie quitter son corps comme elle a quitté le tien par sa faute.

Il m'a déjà privé de t'a présence a mes côtés et voilà qu'il veut me priver de mon travail. Avec quoi je vais pouvoir tenir si je n'ai plus de travail ? Il me reste bien Thibault, il est le fils que nous aurions dû avoir. Et maintenant le monstre veut s'en prendre a lui aussi ! Comme s'il n'avait pas déjà assez détruit de vies !

Ce jour là j'espérais vraiment pouvoir le tuer, mais les monstres attirent les monstres. Non seulement je n'ai pas réussi à le tuer, lui faire mal autant qu'il m'en avait fait mais mon fils, Thibault a était blesser par c'est monstres ! J'ai appris que les deux montres qui sont venus au secours de t'on fils son des monstres, des loups-garous... Des lycanthropes qui se cachent dans la population humaine, qui aurait cru que les monstres de nos histoires d'horreurs existent ?

Mais je ne laisserais pas faire ! Je trouverais un moyen de les tuer ! Je leurs ferais face au procès, je leurs montrerais que je n'ai rien à me reprocher, que je gagnerais ce procès ! Qu'ils profitent bien de leurs deux derniers jours de tranquillité. La loi ne peut être appliquer que pour des humains, et ne seras jamais de leurs côtés !

*Point de vus Derek*

Je lui dis ou pas ? Je ne vais pas venir comme une fleure et lui dire « au fait je ne t'ai pas dit mais nous sommes compagnons ! ». Je me vois déjà au moment où il va comprendre ce que ça veut dire... Il va me prendre pour un dégénéré ! Un pervers ! Et je fais quoi moi ?! Je fais quoi ?! Et je ne peux pas non plus lui cacher ça...

_ Alors mon neveu quel est la chose qui te tracasse ?

Génial il ne manquer plus que lui... Bien que je lui sois redevable pour avoir put aller voir Stiles a l'hôpital, il a toujours tendance à m'énerver.

_ Je ne vois pas de quoi tu parles.

_ Allons Derek... Tu tourne en rond dans le salon et ton visage est encore plus sombre que d'habitude.

Et merde... Evidemment il a fallu qu'il devine... Qu'est ce qui a pu me passer par la tête pour l'inviter à vivre au loft un temps ? Je dois être maso, je ne vois que cette possibilité. L'invité à vivre au loft est définitivement une mauvaise idée. Il est toujours aussi impossible à vivre, ses blagues toujours de mauvais goût. Je ne parle même pas de toutes les fois où il nous a parler a moi et Isaac de la mère de Scott. Une vraie torture, Mélissa par ici, Mélissa par là...

_ Qu'est ce qui peut bien te tracasser autant ?

_ Rien qui ne te regarde.

_ Tu sais que je ne vais te lâcher avec ça.

_ Merci de me prévenir...

_ Je t'en prie. Mais revenons à ce qui te tracasse. Alors ?

_ Tu ne vas vraiment pas me lâcher ?

_Non

_ Tu es exaspérant, tu le sais ?

_ Oui mais sa ne répond pas à ma question.

_ Stiles.

_ Bah quoi Stiles ?

_ Je ne lui ai pas dit encore pour tu sais quoi...

_ Ha... Tu veux que je lui dise ? Ça pourrait être marrant !

_ Je te jure que si tu lui dis quoi que soit, je t'arrache la gorge avec mes dents !

_ C'est que tu pourrais me faire peur petit loup.

_ N'oublis pas a qui tu t'adresses, je suis l'Alpha !

_ N'oublie pas que je suis t'on oncle, je me rappelle de toi quand tu avais encore des couches, j'ai même du te les changer plus d'une fois.

_ Peter... Ma patience a des limites...

_ Dans ce cas je vous laisse entre vous. Toi et ton compagnon avaient beaucoup à vous dirent... Stiles tu peux descendre des escaliers maintenant !

Oh non, dites-moi que je suis en plein cauchemar ! Je n'ai même pas entendu Stiles arriver dans la pièce !

_ Heu... Derek, tu peux m'expliquer ce que ton oncle veut dire ? Et c'est quoi cette histoire de compagnons ?

Je jure de refaire le portrais à mon imbécile d'oncle ! Je ne vais même pas pouvoir me défiler maintenant...

Chapitre un peut plus court que prévus j'en suis désolée. J'espère que le point de vus du Shérif auras permis de mieux comprendre ce personnage. J'aime bien imaginer Derek qui panique tous seul, mais qui veut garder un visage impassible (ne me demander pas pourquoi, je l'ignore moi même).
Dans le prochain chapitre vous aurez enfin Derek qui explique a Stiles qu'ils sont compagnon.
J'espère que vous avez aimer ce chapitre !
A très bientôt ! 😉