𝐔𝐍𝐓𝐈𝐋 𝐓𝐇𝐄 𝐄𝐍𝐃 ▬▬▬ 𝒟𝑖𝑐𝑘 𝒢𝑟𝑎𝑦𝑠𝑜𝑛

▬▬ ✯ 10. elle s'assurerait qu'il ne gâche pas tout

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LA JOURNÉE AVAIT CONTINUÉ BIEN CALMEMENT. Tout le monde était dans son coin, personne ne se parlaient réellement tout le monde se croisaient la tête baissé pour ne pas à avoir à reparler de quoi que cela soit. Les choses étaient plus dur à accepter qu'elles n'y paraissaient, pour tout le monde.

Olive était de retour dans la cuisine à grignoter un fruit pour passer le temps. Elle pianotait sur son téléphone les mains pleines de jus, jusqu'à ce qu'il se mette à sonner. Elle sursauta et le fait de voir le nom qui s'affichait ne la rassurait pas pour autant. Olive poussa un soupire et s'essuya les doigts sur son jean.

Bruce Wayne.

— Tiens ! Dit-elle en décrochant, approchant le téléphone à son oreille. Je pensais justement à toi. Comment ça va ?

— Olive, que s'est-il passé ?

— Comment ça ? S'essuya-t-elle la bouche. De quoi tu parles ? Tout va très bien ici.

— Je suis au courant de ce qu'il s'est passé, soupira-t-il. La puce de Jason s'est activé lorsqu'elle lui a été retiré.

Olive regarda autour d'elle pour été sûr qu'il n'y ait personne pour la voir. Elle descendit du tabouret pour se rendre dans le couloir, tout au fond pour s'isoler et être sur qu'il n'y ait personne de caché.

— J'ai fais la connaissance de Deathstroke, ironisa-t-elle. Dick a fait des siennes, il a voulut jouer au héros encore une fois, Jason a faillit... On a faillit y rester, mais le petit m'a sauvé et Dick s'en veut.

— Olive... Te souviens-tu pourquoi j'ai accepté que tu rentres ?

Elle sentait l'énervement dans sa voix malgré le fait qu'il veuille rester calme.

— Je sais, mais je n'y suis pour rien ! Deathstroke n'était pas prévu au programme et... C'est différent.

— Comment ça ?

— Il réveil des choses au fond de Dick qui m'empêche de veiller sur lui comme je le voudrais, et en plus de ça Monsieur ne fait que me tenir à l'écart de tout. Il ne me fait pas confiance.

— Ce n'est pas une question de confiance, très chère Olive ! Tu sais qu'elles étaient les conditions ?

— Oui, je sais, je sais. S'il te plaît, je- laisse-moi faire, c'est tout ce que je te demandes, de me laisser faire. Je t'assures que je me débrouillerais, tu nous oublieras même tellement tout sera tranquille !

— Ça m'étonnerais, ronchonna-t-il.

— Bruce, tu me connais.

— Oui, c'est ça le problème. Que ce soit Dick ou toi, vous finissez toujours par m'appeler parce que vous vous prenez pour des grandes personnes responsables alors que vous ne savaient même pas faire deux pas sans être assisté.