▬▬▬ Fut un temps où
Dick Grayson, 𝘭'𝘰𝘪𝘴𝘪𝘭𝘭𝘰𝘯
𝘧𝘶𝘳𝘵𝘪𝘧 et Olive Silverlock,
𝘭𝘢 𝘧𝘪𝘭𝘭𝘦 𝘮𝘢𝘶𝘥𝘪𝘵𝘦, se dispu-
taient les grâces de Bruce
Wayne, jusqu'à ce petit
con de Grayson prit la dé-
cisi...
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OLIVE ÉTAIT ASSISE DANS LA SALLE DES COSTUMES — ANCIENNEMENT. Elle avait les genoux repliés contre sa poitrine et les coudes posés sur leurs sommets, ses doigts jouaient avec ses cheveux blond emmêlés. Elle n'arrivait pas à y voir clair, cette courte discussion avec Jericho — maintenant qu'elle connaissait son nom — lui retournait l'estomac et la prenait de nausée. Elle ne comprenait pas bien l'enjeu de cette discussion et pourquoi elle l'avait vu ? Qu'est-ce-que cela signifiait ? C'était ce qu'elle cherchait à savoir et qu'elle ne comprenait pas. Etait-il réellement coincé dans l'esprit de son père ?
Elle devait y retourner, ça c'était sûr, mais est-ce-que Dick méritait de savoir la vérité pour lui enlever une partie de ce poids qu'il portait depuis toute ces années ?
Non, qu'il souffre.
Les battants japonais s'ouvrirent et laissèrent place à un Dick le visage fatigué et triste. Olive baissa le regard pour ne pas à s'infliger sa souffrance. Il s'installa sur le banc au milieu de la pièce, les coudes sur les genoux bien décidé à avoir cette discussion avec Olive qui pour une fois n'en n'avait pas envie.
— Qu'est-ce-que tu fais ici ? Demanda-t-il.
— Je médite, ça se voit non ?
— Non, là tu remues la couteau dans la plaie, dit-il sur le ton de l'amusement — ce qui surpris Oli. Tu ne fais pas cette tête dans tu es en train de méditer.
— Qu'est-ce-que ça peut te faire ?
Elle n'était pas d'humeur à rigoler. Olive se redressa et se releva, prête à partir mais il se releva à son tour et la retint avec ses mots.
— Je voulais dire, qu'est-ce-que tu fais encore ici ? Dans cette tour ?
Elle se retourna face à lui, les yeux papillonnant de le voir si ignorant.
Il enfonça ses mains dan ses poches de pantalon et baissa la tête pour parler.
— Pars. Je ne t'en voudrais pas.
— J'ai pas envie de partir, Grayson, s'agaça-t-elle.
— Tu me détestes tout comme eux.
— J'ai même de meilleurs raisons.
— Alors, tu attends quoi pour partir ?
— Je rêve ou tu es en train de me mettre à la porte ?
Il ne répondit pas. Elle s'approcha de lui, le regard puissant.
— Va chier, Grayson. Je ne partirais pas d'ici, tu m'entends ?
