▬▬▬ Fut un temps où
Dick Grayson, 𝘭'𝘰𝘪𝘴𝘪𝘭𝘭𝘰𝘯
𝘧𝘶𝘳𝘵𝘪𝘧 et Olive Silverlock,
𝘭𝘢 𝘧𝘪𝘭𝘭𝘦 𝘮𝘢𝘶𝘥𝘪𝘵𝘦, se dispu-
taient les grâces de Bruce
Wayne, jusqu'à ce petit
con de Grayson prit la dé-
cisi...
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OLIVE AVAIT PASSÉ LA NUIT ENFERMÉE DANS CETTE MISÉRABLE CELLULE DU COMMISSARIAT DU COMTÉ. Elle fut réveiller par le cliquetis métalliques des clés du garde qui s'approcha des barreaux pour ouvrir la porte.
Olive encore dans le brouillard ne comprenait pas bien ce qu'il était en train de faire, elle se redressa, oubliant la douleur à sa cuisse. Elle grimaça.
— Vous êtes libre.
Si elle avait été d'humeur elle se serait moqué de lui avec une blague cynique et déplacée mais elle n'avait visiblement pas la force, ni même la tête à se moquer de qui que ce soit puisqu'à l'heure actuelle c'était elle qui était elle qui en subissait les conséquences, pas de quoi faire la maline.
— Comment ça, je suis libre ?
— Votre caution a été payée, expliqua-t-il. Debout, j'ai pas la journée.
Olive ne comprenait pas vraiment ce qui venait de se passer, mais elle ne dit rien et se releva tant bien que mal. Au vue des dégâts — moraux surtout, mais elle n'en n'avait pas conscience encore — elle ne s'attendait pas à ce que la caution soit hors de prix.
Elle se traina en dehors de la cellule pour se rendre dans le hall où se trouvait cet homme habillé en costume très chic, léger sourire moquer sur les lèvres en la voyant dans ce piteux état; il rit.
Olive sans rien dire, ni même le remercier sortit du poste de police devant lui, rapidement malgré sa jambe qui lui faisait mal. Elle avait été soignée à son arrivé et on lui avait donné des anti-douleurs qui commençaient à passer et rappeler la douleur.
— Je vois que ça ne s'est pas passé comme prévu, jubila-t-il.
— C'est ta faute, tu m'as dit d'y aller !
Elle s'était retourné en hurlant sur Bruce qui venait de l'aider, et il n'avait pas eu un seul merci.
Il resta de marbre comme toujours et ça l'énervait encore plus. Olive n'avait qu'une envie c'était de se défouler sur Bruce sans vraie raison, mise à part le fait qu'elle avait besoin d'extérioriser sa colère et que Dick n'était plus là.
— Dick n'était plus là, repensa-t-elle l'espace d'un instant.
Olive eut un rire nerveux avant de s'avoir sur un banc non loin de l'entrée du commissariat. Elle était fatiguée et n'avait qu'une envie, tout envoyer balader. Bruce s'assit à côté d'elle.
— Pardon, je n'aurais pas du- enfin tu vois.
— Il y a toujours eu un aspect destructeur dans votre relation, enfin dans vos "au revoir" !
