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30 février
Cinq heures cinquante

On habitait ensemble à cette époque. C'était en juin et nous avions eu la bonne idée de te faire emménager chez moi à cette époque étouffante. Ce jour la était particulièrement chaud, on nous fixaient depuis les autres appartement, les pantins se disaient sans doute « quel bande d'idiot ». On était juste des idiots amoureux. C'était la première fois qu'une autre personne que Chan aller vivre chez moi. Le pauvre avait eu la gentillesse de déménager pour nous laisser avoir une vie de couple. Je lui en serais toujours reconnaissant.

"C'est le dernier carton, promis !"

"Tu as déménagé toute ta maison c'est pas possible !"

"Je n'ai pris que le strict minimum Lee Minho."

"Espèce de prince vas."

Tu avais ris et frapper mon épaule, encore une fois. Je déposa le dit dernier carton avant de m'étaler de tout mon long sur le sol, dégoulinant de sueur. Au lieu de me laisser respirer, tu eu la bonne idée de venir me coller.

"Espèce de gosse, dégage il fait chaud !"

Tu me fixas de ton air provocateur en te rapprochant autant que tu le pouvais.

"Jamais hyung."

Je t'avais lever et mis sur le canapé en te bloquant. Tu étais donc allonger à me fixer droit dans les yeux avant de sourire et de venir m'embrasser tendrement.

"Qu'est ce qu'on est nié."

"C'est toi le nié Han Jisung."

Nous nous étions mis à ranger les quelques cartons traînant. Ta venu donner une nouvelle vie à cet appartement. Il changer du décors de Chan, c'était plus artistique. De belles peintures longer les murs. Les vêtements coloré remplissait un placard principalement noir et blanc et de nouveaux objets remplacé des plus anciens. C'était un nouveau départ, ça me plaisait.

"Tiens"

Je te donna une limonade et je pris de même. J'aurais tuer pour une bière mais je ne voulais pas boire de ça devant toi, une question de respect je pense.

"Merci bien le vieux !"

Je n'avais rien répondu, soufflant simplement devant tes idioties. J'étais clairement épuiser par ce déménagement.

"Tu es heureux de vivre avec moi, Han ?"

"Tu penses que j'aurais accepter si ça ne m'avais pas rendu heureux ? Tu en dis des idioties toi."

J'avais souris, une réponse à la Jisung avais-je pensé. Je m'étais levé et avais pris la direction de l'évier afin d'y déposer mon verre sale.

"Dis Minho, j'aimerais te parler sérieusement tu veux bien ?"

"Me parler sérieusement ? Tu m'inquiète. "

Tu avais sorti cette phrase de nul part, comment aurais-je du réagir ? C'était si soudain. Je m'étais assis à coté de toi, prêt à écouter ce que tu avais à dire.

"Tout d'abord, sache que je n'ai jamais aimé comme je t'ai aimé. Sérieusement, tu me comble jours après jours. J'ai fais la rencontre d'un hyung apeurer à l'époque, un homme fragile. C'était impensable pour toi de me parler. J'ai tellement du forcer pour que tu me fasse confiance, mais ce moment la, j'ai appris à l'apprécier. J'ai découvert un humain intelligent et réfléchit. Tu m'inspire tout les jours Minho. Ta personne m'inspire. Je ne suis pas bon pour parler, alors..."

Tu sortis ton téléphone et ouvra une application de musique. J'étais déjà toucher par ton discours que je ne réalisait pas ce que tu faisait.

"J'aimerais te faire écouter une chanson que j'ai écrite et composer. Je l'ai écris pour toi. Je veux que ce sois ta chanson rien qu'a toi."

"Une chanson... ?"

"Tu aimes tellement danser. Je serais ravis que tu l'interprété. Laisse moi te la faire écouter."

Play.

C'était un sentiment indescriptible. Écouter une chanson que ton âme sœur avait écrit sur toi, c'était absolument incroyable. Je me rappelle avoir tenter de cacher un sanglot mais c'était tout bonnement impossible. Une fois la fin de celle-ci, je t'avais pris dans mes bras sans rien ajouter. Un doux merci avait était lâcher. Je ne réalisait pas la chance que c'était de t'avoir à mes côté. J'aurais du en profiter.

For the love of my life

Lee Minho

Minho fixa sa lettre en la relisant plusieurs fois. Il n'était pas satisfait de son écriture. Il n'avait jamais vraiment su écrire. Il avait tant de mal à s'exprimer dans la vie en général, l'écrit n'était pas mieux. Il toussa légèrement, pris une cigarette et se dirigea vers son téléphone. La, il lança cette chanson
Cette chanson au parole destructrice.

Close.

Can you tell me about yourself ?
You, whom I can see from afar
I don't want to just watch you
Yeah Just tell me about you

I see you walking from far away
Fearlessly, I approach you and ask about you
You are like a sports car in a quiet tunnel, the loud engine echoes
The walls that had been painted black are dyed in your colours, I'm shocked by this feeling

Name, age, where do you live
Too many questions I know it's rude
Let me cross the line a bit because I just now avoided the dangerous path I'm taking
I'll take a break looking at you, I know it's a disgrace to do on our first encounter
I know I'm loud for going on and on, that's because it's my first time feeling like this

I'm not used to this babe, no matter what I say, why am I like this ?
My heart is trembling babe, even if I try my best to stay calm
My shaking voice, my awkward gestures
I'm loud with no meaning to be, even if you talk to me

This is all I can say, even if I act bold
When I look into your eyes, I freeze up
Everything about this is strange to me, even the feeling I have now
It's a first for me but I'm excited and looking forward to it, even if I'm nervous

You form shone throught the crowd and you get grew clearer
Now you're all I can see, I reach out hoping to touch you
Hoping I'm not alone on this path of thoms
Hoping this isn't just me making assumptions, as I take this path, I'm walking on the heaven
Feel like I'm trembling now, like I'm not being confortable and saved by someone

Thought I don't know anything about you yet
I will take my time to get to you, even if it takes some time
I hope we can grow a little closer
I act vold on the outside, but a trembling coward on the inside

For the first time, my empty heart fell the warmth of spring. A flower bloomed at the middle
I'm sorry if I'm burdening you, but this is just because I feel like I won't ever see you again if I let you pass today
I just wanna know you.

Une larme cruelle coula le long de sa joue.

Il l'aimait tant, cette putain de chanson.

YouOù les histoires vivent. Découvrez maintenant