Chapitre 1

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J'entends l'alarme de mon réveil, mais je décide de ne pas l'arrêter. Pendant une bonne dizaine de minutes, un « radar » raisonnait dans toute ma chambre c'était la seule chose qui me tenait réveiller. Il allait de plus en plus fort, de plus en plus vite. Est-ce que ça me dérangeait ? Oui. Est-ce que j'allais prendre la peine de me retourner afin de l'arrêter ? Malheureusement je n'avais pas le choix. Je décide donc de m'asseoir sur le bord de mon lit, de prendre mon téléphone en main et de mettre fin à cette torture. Je regarde l'heure, il était 7h, il sonnait depuis 30 minutes. Ce matin encore je regrette de ne pas m'être couché plus tôt, surtout qu'aujourd'hui c'est le premier jour de la rentrée, je vais encore arrivé en retard.

Après m'être levée, habillée, coiffée et maquillée, il était l'heure de partir. Je n'avais pas le temps de déjeuner (comme d'habitude). J'avais enfilé l'uniforme de l'école, fait des traits d'eye-liner en triple vitesse et ayant des cheveux assez courts, un coup de brosse suffisait. Je me trouvais plutôt mignonne, pas spécialement jolie, je n'avais rien de vraiment spécial. Mais j'étais mignonne, enfin je crois.

En enfilant mes chaussures, je me suis rappeler que je ne connaissais pas le chemin pour me rendre à mon lycée. Mes parents m'avait planté là, dans cette ville, sans rien me dire.

T/p : Et du coup je suis sensé me débrouiller comment moi ? Soupirai-je

Je décida donc de prendre mon téléphone portable afin d'appeler ma génitrice pour lui demandait des explications.

Maman T/p : Allô T/p ? Tu vas bien ? Tu as des problèmes ?

T/p : Ni toi, ni papa ne m'avait montré où se trouvait le lycée... Je ne connais pas le chemin, comment je fais pour m'y rendre ? C'est le lycée Neko.. Nekamo ? J'avais ce ton habituel blasé dans ma voix, qui avait le don de la rendre dingue.

Maman T/p : C'est le lycée Nekoma ! Fais un effort stp ! Je ne t'ai rien dit parce que j'ai demandé à quelqu'un de venir te chercher afin de t'accompagner pour que tu ne te perde pas. Et essaye d'être un peu plus enjoué, c'est la rentrée tu ne vas pas à un enterrement !

T/p : Ah... d'accord merci d'y avoir pensé maman. Et ne t'en fais pas, je respire la joie et la bonne humeur.

Maman T/p : Bon, je te laisse j'ai beaucoup de travail. Je ne sais pas encore quand je reviendrai, je t'appellerai quand ce sera le cas. Essaye d'appeler ton père avant ce soir, ça lui fera plaisir. Je t'aime, passe une bonne journée.

T/p : Ouais, moi aussi je t'aime.

Et j'étais donc sensée deviner que quelqu'un aller venir me chercher pour m'accompagner au lycée. Elle est marrante elle.

À peine eu-je le temps de raccrocher mon appel, que quelqu'un sonna à ma porte. Je suppose que c'est la personne. Au moment d'ouvrir je me suis rappeler que je ne savais rien de cette personne. « Comment s'appelle-t-elle ? Est-ce une fille ou un garçon ? Comment nos parents se connaissent ? ». Je vais encore avoir l'air bête moi. Je n'avais vraiment pas envie d'ouvrir la porte. Je me tenais derrière celle-ci, la poignée dans mes mains quand la personne sonna une deuxième fois. Je regarda alors l'heure, il était 7h45, j'étais vraiment très en retard. Je me décida donc d'ouvrir la porte et je vis la personne.

C'était un garçon, il était très grand par rapport moi et ma taille de minimoys. Il avait un regard un peu froid et ténébreux, le genre de regard qui ferait craquer n'importe quelle fille. Il avait de beaux cheveux noir, il était coiffé un peu comme un coq avec une mèche retombant sur son œil droit.

J'étais devant lui, la porte de ma maison toute grande ouverte. La personne me dévisageait, et avec un air confus il me dit :

?? : Euh.. est-ce que.. est-ce que tu vas bien ?

T/p : Je.. je pense que oui.

?? : Sans vouloir être méchant, je pense que tu devrait te regarder dans un miroir.

T/p : Quoi ?? Je... je me retourne donc vers le miroir se trouvant dans mon rez-de-chaussée je... je reviens dans quelques minutes, je suis désolé...

À peine je rencontre la personne qui sera sûrement « mon sauveur » dans cet enfer, qui a la gentillesse de m'aider, je me tape la honte. J'avais les cheveux en bataille (comment s'est arrivé d'ailleurs ?), mon teint était pâle à cause du stresse et il me manquait une chaussure. Le pauvre à sûrement du prendre peur en voyant cette horrible scène.


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773 mots.
Hello! C'est ma première fanfiction, je ne suis pas très doué mais je vais faire de mon mieux pour que ça plaise !
Toi, qui me lit, je te remercie ❤️

- Pour l'Éternité - Kuroo x Reader Where stories live. Discover now