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𝐔𝐍 𝐏𝐄𝐔 𝐃'𝐀𝐌𝐎𝐔𝐑
= 𝐉𝐚𝐝𝐞 𝐌𝐨𝐧𝐭𝐢-𝐂𝐚𝐫𝐥𝐢𝐧𝐨

Je pliais mon dernier vêtement avant de le ranger dans l'armoire et me dirigeais vers mon lit pour me laisser tomber dessus

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Je pliais mon dernier vêtement avant de le ranger dans l'armoire et me dirigeais vers mon lit pour me laisser tomber dessus. J'avais pas beaucoup dormi la nuit dernière et j'espérais pouvoir me reposer un peu ce soir. Durant l'heure où je sortais toutes mes affaires de ma voiture, j'avais été en appel avec Lilya qui avait insisté pour avoir un récap' de mon séjour dès mon retour sur la capitale.

Elle allait profiter de ce week-end de trois jours pour aller rendre visite à de la famille en Bourgogne et j'étais contente pour elle, elle ne les voyait pas beaucoup chaque année à cause de ses études.

Mathieu - Jade ? j'entendais un polonais toquer à ma porte, me faisant relever la tête. Ouvre en deuspi s'teu plaît.

Tout en grognant, je me redressais du lit avant de traîner des pieds jusqu'à ma porte. Moi qui avait essayé d'être tranquille au moins jusqu'au dîner, c'était peine perdue avec Mathieu. La main sur la poignée, je tirais la porte pour laisser entrer le blond et repartais directement vers mon matelas pour tomber dessus telle une masse, en travers du lit.

Mathieu - T'es bien installée ? me demandait-il en rentrant alors que j'acquiesçais, la tête dans ma couette. T'es fatiguée Jadou ?

- Un peu. avouais-je en fermant mes yeux. PUTAIN ! hurlais-je en sentant le blond m'écraser de tout son poids, me faisant sursauter sur le coup. Tu pouvais pas prévenir merde, tu m'as fait peur.

Mathieu - Fallait garder la surprise. Tu dors ?

- Non. maugréais-je en sentant son souffle sur ma joue, signe qu'il avait la tête tournée vers moi alors que j'avais toujours la face contre le matelas. T'es là pour quoi sinon ?

Mathieu - Je voulais te proposer quelque chose. il reculait un peu avant de poser ses mains sur mes hanches pour que je me retourne et me retrouve sur le dos alors qu'il calait sa joue sur mon ventre en entourant ses bras autour de ma taille.

- Je te dérange pas là ?

Mathieu - Non. déclarait-il en mettant son menton sur mon ventre pour me regarder dans les yeux. Vu de là, t'as des gros eins quand même.

- C'est un compliment ?

Mathieu - Attends, je vais te dire. il s'apprêtait à poser ses doigts sur ma poitrine mais je les poussais au dernier moment en éclatant de rire.

- T'es un grand malade, touche pas.

Mathieu - Mais quoi, je les juge.

- Est-ce que moi je juge les tiens ?

𝘶𝘯 𝘱𝘦𝘶 𝘥'𝘢𝘮𝘰𝘶𝘳Où les histoires vivent. Découvrez maintenant