VIII

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Je me retournais brusquement.

*Alice* C-Comment ?

*Soane* La fenêtre.

*Alice* Donc en plus d'être une horrible professeur, tu es kidnappeuse professionnelle.

*Soane* Tu veux que je te montre à quel point je peux être horrible Alice ?

*Alice* Non merci.

*Soane* Sage décision.

*Alice* Sois horrible Soane, montre-moi ce que ça donne.

Elle s'approchait de moi

*Soane* Tu penses que tout ça est une erreur ?

*Alice* Je pense que j'ai très envie de toi Soane.

*Soane* À genoux.

*Alice* Pardon ?

*Soane* J'ai dit à genoux.
Ce n'est pas assez clair pour toi Alice ?

Je me mis à genoux comme elle me l'avait demandé.

*Soane* C'est bien, je préfère quand tu obéis.
Ouvre la bouche.

*Alice* Comment ça ?

*Soane* Fais ce que je te dis, crois-moi, tu ne veux pas que je m'énerve Alice.

J'ouvris la bouche.
Elle se rapprochait de moi et elle plongea ses doigts à l'intérieur de ma bouche tout en me regardant.

*Soane* C'est bien Alice.
Lève-toi maintenant.

Je me levais, je n'avais plus envie de me poser de questions, je voulais qu'elle s'occupe de moi et au plus vite.

Elle m'attrapa par les hanches puis elle dévora mon cou avec animosité, elle y laissa plusieurs suçons et morsures.
Je lui attrapais les cheveux violemment ce qui amplifia l'emprise qu'elle avait dans mon cou.
Elle attrapa mes cuisses et je les enroulais autour de ses hanches.

*Alice* Soane ?

Elle leva la tête.

Je me faufilais rapidement vers son cou avant qu'elle ne comprenne ce que je comptais faire.
J'embrassais son cou comme si c'était la seule occasion pour moi de goûter à sa peau.
Et c'était la seule occasion, jamais plus elle ne se laisserait faire.
Je mordais, je suçais sa peau pour y laisser le plus de marque possible.
Je voulais qu'elle sache que je la désirais.

*Soane* Alice...

*Alice* Encore une minute s'il te plaît.
Laisse-moi te montrer à quel point je te veux.

*Soane* Non Alice.

Elle me déposa sur le sol.

*Soane* La prochaine fois que tu veux vraiment quelque chose, sois sage et peut-être que tu auras ce que tu désires.

Elle embrassa ma joue et s'en alla.

J'entendis la porte claquer et sa voiture s'éloigner.

Madame La Professeur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant