•Moon• / Ran x Reader

•Chapitre 4•

Il était bientôt vingt-deux heure. Je pensais pouvoir tenir sans manger ce soir, mais ce n'est pas le cas, je meurs de faim.

Mais si je suis privé de repas, je suis aussi privé de sortie. Donc, je ne sais pas comment je vais faire pour manger.

Après un certain temps de réflexion, une idée me vint à l'esprit, je vais descendre par la fenêtre enfin, je vais plutôt essayer de descendre par la fenêtre ( sans me casser quelques choses ).

Je l'ouvris avant de mettre un pied dans le vide et de chercher un appuie, quand j'en eu trouvé un, je passa le deuxième pied mais le seul appuie que j'ai trouvé, hé bah, c'était le vide. Déstabilisée, mon pied sur le mur glissa et deux secondes plus tard, j'étais au sol. Je suis tombé du première étage. La première chose que je fis, ce fus d'essayer de me relever. J'y suis arrivé sans grande difficulté. Je croyais m'en être sortis indemne au premier abord, mais c'est une fois remis du choque, que mon épaule m'en a affirmé le contraire. Une douleur vive c'était révélé dans une de mes omoplate. Mais, ma faim n'avait pas disparu, donc il fallait quand même que j'aille chercher de quoi manger.

Je me dirigeais vers le konbini le plus proche, je passais les étalages au peigne fin pour trouver des choses sympas à manger, quand quelqu'un derrière moi prit la parole.

- Ran : On se croise souvent en ce moment.

- Je vais commencer à croire que tu me suis, Ran.

- Ran : Crois ce que tu veux, moi je crois au destin.

- Qu'est ce qui t'amène ici ?

- Ran : Petit ceux et toi ?

- Privé de repas.

- Ran : Ah, ma pauvre T/p, tu n'es pas aidé. Me dit-il en posant sa main sur mon épaule.

- Aïe !

- Ran : Je t'ai fais mal ?

- Oui, je vais pas faire semblant d'avoir mal pour le plaisir.

- Ran : Tu t'es fait quoi ?

- Je suis tombé de ma fenêtre.

Il pouffa de rire avant de reprendre la parole.

- Ran : vient à la maison, je vais te soigner.

J'accepta sa proposition. Nous nous dirigions vers la caisse avec nos articles que nous avons mangé sur la route.

Nous sommes enfin arrivés chez Ran. Il me dit d'entrer sans faire de bruits car Rindo dormait déjà. Je le pensais un peu plus fêtard, quand on le regarde, on ne se dit pas « ce gars se couche à l'heure des poules ».

Une fois entrée, je m'installa sur le canapé et attendais qu'il arrive. Il avait plein de trucs dans les mains. Il ne m'expliqua pas à quoi tout ça servait et commença à installer son matériel.

- Ran : Tu peux enlever ton tee-shirt ?

- Pourquoi tu me demandes ça ?

Ran : Bah, pour te soigner. Tu veux que je fasse quoi d'autre ?

- Ah, rien.

J'enleva alors mon tee-shirt devant Ran. Je sentais qu'il me regardait, qu'il détaillait toutes les parties visibles de mon corps. J'essayais de ne pas montrer ma gêne. Puis, je me rassis. Il regarda mon épaule et me dit que j'avais un énorme bleu et qu'il allait appliquer de la pommade. Il fit glisser la bretelle de mon soutien-gorge le long de mon épaule pour pouvoir appliquer le produit, ce qui me provoqua un frisson dans tout le corps.

Ran : Tu as froid ? Tu veux que je mette le chauffage ?

- Oh, non ne t'inquiète pas.

Il se concentra à nouveau sur mon épaule et y appliqua la crème en faisant des gestes circulaires sur mon omoplate. Je sais que c'est un geste sans importance, mais mon cœur était remplit de frisons.

Quand il eu finit, il remit la bretelle, me dit de lever les bras, et il m'enfila mon tee-shirt.

Il me demanda également si je voulais dormir ici, mais je lui répondis que non, sinon ça allait mal se passer pour moi.

Alors, il me dit qu'il allait me raccompagner car c'était dangereux pour moi. Nous étions sur le chemin quand il passa son bras sur mes épaules. Je le regardais, mais lui, il ne m'adressait aucun regard. Mon cœur battait à nouveau la chamade. Et c'est ainsi que se passa tout le trajet. Quand nous arrivions devant chez moi. Je lui fis un bisous sur la joue. Il rougit puis finit par me le rendre.

Je lui demanda de l'aide pour remonter à la fenêtre, il me prit sur ses épaules. Puis j'attrapas la fenêtre et remonta. Une fois dans ma chambre, je le salua de la main puis escalada la fenêtre pour allé me doucher et dormir.

Je faisait un magnifique rêve ( et vous ne serez jamais de quoi il parlait ), quand je me réveilla en sursaut. J'avais très soif. Je me leva pour aller chercher à boire puis me recoucha avant de retomber une nouvelle fois dans les bras de Morphée.

Pour une fois, personne n'était venu me réveiller, il était dans les alentours de dix heure au moment où mes yeux se sont ouverts. Je regarda les notifications sur mon téléphone, mais comme d'habitude, je n'avais rien.
Je me leva et alla prendre mon petit déjeuner. Il n'y avait personne dans la maison. Je me dirigeais vers la table avec mon verre de jus de fruit en main quand j'aperçus un mots. Je le pris et commença à le lire.

Nous sommes partis en vacances pendant trois semaine. On ne te la pas dit car on ne juge pas nécessaire que tu nous accompagnes.
Ne fais pas de bêtise sinon tu auras affaire à moi en rentrant !
Je t'ai laissé une centaine d'euros pour tes repas, si il en reste, tu me les redonnes. Et ne t'avise pas de les dépenser dans autres choses !

Voilà ce qui était écris dans la lettres, toujours des mots super gentille, c'est de l'ironie bien sûr. Mais, je vais être libre pendant les trois prochaines semaines. Je ne pouvais pas espérer mieux !

C'est de bonne humeur, que je dégusta mon petit déjeuné. Je me prépara et m'installa confortablement dans le jardin. Je lisais un livre, les rayons du soleil illuminaient ses pages, et il n'y avait pas un nuage dans le ciel. J'ai vraiment un bon pressentiment, je suis sûr que cette journée va être incroyablement !

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Hey ! Encore une photo de Raninounet pour le bonheur de nos yeux  👀.

Sinon, Ça va ? Vous avez aimer ce chapitre ? T/p est vraiment pas doué 💀 ! Vous pensez qu'ils se croisent par hasard ou Ran est un peu douteux...

On se retrouve mercredi ! Bisous bisous <3