•Moon• / Ran x Reader

•Chapitre 34•

Rindo venait d'arrivé dans la chambre.
Ran se redressa m'étant fin à notre baiser.

- Ran : Aide moi, je t'en supplie. Regarde sa robe.

- Rindo : C'est pas possible Ran, c'est un rêve.

Ses yeux à lui aussi, commençaient à être humides.

- Ran : Vite appelez un ambulance. Je ne peux pas vivre sans elle. Je n'y arriverai pas.

Je commençai à perdre connaissance, ma vue se troublait et mon image de Ran devenait flou. Je peinais à suivre leurs conversations.

- Ran : Vite, elle perd connaissance.

Il me tapotait la joue, sûrement pour que je reste avec eux mais même si parfois, mes yeux s'entrouvraient, je n'arrivais plus à me concentrer sur ce qu'il se passait. Mon cœur, lui, battait encore.

- Rindo : Venais vite, elle va mourrir.

- Rindo : Non, je ne me calme pas.

- Rindo : ** rue **** à Roppongi. Appartement numéro 26.

Il venait de raccrocher, Ran essayait d'arrêter le saignement de ma plaie, mais je les vu, je perdais beaucoup de sang, ma robe était rouge. Je n'en pouvais plus. Ran me portait, ma tête reposait sur son torse et je pouvais sentir que son cœur battait très vite, contrairement au mien. Il n'arrivait plus à respirer à cause de la panique et les sanglots.

- Ran : Comment je vais faire Rin'.

- Rindo : Elle ne va pas mourrir.

- Ran : Et si elle mourait, je ne m'en remettait pas.

- Je ne vais pas te laisser Ran. Je te le promet.

J'ai vraiment dû me concentrer pour réussir à prononcé ses mots. J'étais consciente que l'on bougé, il descendait les escaliers. Soudainement, je sentis une vague de froid dans l'entièreté de mon corps. On était dehors.

- Ran : Putain, ils foutent quoi !

- Izana : Elle va comment ?

- Ran : Mal. Elle va mal. Elle perd trop de sang.

- Kakucho : T'inquiète, ça va aller.

- Ran : Non, j'ai peur. Je suis tétanisé à l'idée de devoir vivre sans elle.

Au loin, on entendait la sirène des secours arriver. Plus il se rapprochait, plus on les entendait.

- ? : Il va falloir nous la donner monsieur.

Ran a baissé sa tête vers moi, je sentais son souffle sur mon visage. Je devais être moche à regarder, je devais être pâle.

- Ran : Je t'aime T/p, ne m'abandonne pas, d'accord ?

Une de ses larmes est tombé sur mon visage.

- Je te le promet.

- ? : Monsieur, vous nous la donner ?

Il s'avançait vers eux.

- Tu veux bien m'embrasser, Ran ?