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Jude : Bonjour.

Ares vit une jeune femme avec des vêtements dans les mains. Elle ne les regardait pas. Quand elle posa les vêtements sur le comptoir et posa ses yeux sur eux, son visage se décomposa.

Jude : Iris ?

Iris s’avança vers elle, son visage fermé et dur. Ares restait près d’elle. Quand il vit Iris sourire il eut peur. Ce n’était pas un sourire amical, loin de la.

Jude : Écoutes Iris je…

Iris leva la main pour la faire taire.

Iris : C’est assez simple, je t’ai demandé une choses, seulement une.

Jude ne parlait pas mais était mal à l’aise. Iris pris un vêtement sur un cintre.

Iris : Je t’ai dit d’être correcte avec lui.

Jude : Je l’ai était.

Iris jeta le vêtement au sol et haussa le ton.

Iris : Vraiment ? Je t’ai dit de ne pas faire de mal à ma famille !

Jude : Tu te trompes je…

Iris : Oui, je me suis trompée sur toi ! Je vais te donner un conseil, ne t’approches plus jamais, et j’ai bien dit jamais, de mon frère. Il se passerait des choses que tu n’apprécierais pas.

Jude se tut mais grinçait des dents. Quand à Ares, il était choqué de sa nervosité. Iris se mit à sourire.

Iris : C’est joli les magasins mais le fait qu’il y autant de meuble en bois c’est très risqué tu ne trouves pas ?

Jude ne disait rien mais ses yeux commencèrent à rougir. Iris toucha l’un des meubles avec sa main.

Iris : J’aime le bois mais le bois, ça… Brûle !

Elles se regardèrent dans les yeux. Même si Ares ne comprenait rien, il savait que Iris était très en colère. Iris vit un larme rouler le long de la joue de Jude et préféra partir avant de regretter ses paroles. Ares et Iris étaient dans la voiture, elle avait l’air mal, entre la colère et le regret.

Ares : Tu fais bien partie de notre famille.

Elle dévia son regard sur lui, il mit une vitesse.

Ares : Des menaces de feux, j’adore.

Elle lui sourit.

Iris : Je me suis emportée.

Ares : C’est pas ce que j’appelle s’emporter. La dernière fois que je me suis emporté, j’ai du brûler une voiture, balancer trois valises dans un canal et…

Il dévia son regard sur Iris qui avait l’air écœuré.

Ares : Euh… Oublies ce que je viens de dire d’accord ?

Elle regarda la route.

Iris : À propos, tu as dit que tu avais un frère ?

Elle sourit.

Iris : J'en ai deux.

Ares : Attends, Atos le sait ?

Elle se mit à rire.

Iris : Oui, étant donné que son frère est le mien.

Ares fronça des sourcils et mit quelques minutes à comprendre.

Ares : Oh mais tu parles de moi et Axot.

Elle se mit à rire. Il mit une de ses mains sur son cœur.

Ares : Je suis si touché. J’en lâcherais même une larme si j’en étais capable.

Iris : Capable?

Ares : Oui je ne pleure jamais.

Iris : Laisses-moi deviner, parce que tu es un homme, chef de gang.

Ares : Non, je n’ai jamais pleuré.

Iris : Tu plaisantes ?

Ares : Non, je ne sais pas pourquoi.

Iris : Tu as déjà du être triste?

Ares : Pas à mon souvenir.

Elle le regarda.

Iris : Non mais tu te moques de moi?

Ares : Je t’assure que non. Je ne pleure pas, je n’ai pas de peine, pas de remord.

Elle sourit.

Iris : Donc chef de gang te va bien comme métier.

Ares : Oui, on peut dire ça.

Ils arrivèrent et quand ils sortirent de la voiture Ares mit sa main sur l’épaule de Iris.

Ares : Ne dis pas à Atos que je t’ai parlé du feu, de la valise.

Elle sourit.

Iris : Promis, ça sera notre petit secret.

Ares : C’est bizarre de dire ça mais tu vas me manquer.

Elle ne comprit pas.

Ares : Ne t’inquiètes pas, on reviendra vite.

Iris fronça des sourcils.

Iris : Comment ça on ?

Il la regarda très mal à l’aise.

Ares : Merde, j'avais oublié qu’il ne t’avait rien dit…

Iris commença à mal respirer. Son cœur tambouriner dans sa poitrine, elle se dépêcha d’entrer dans la maison suivie de près par Ares, blanc comme un linge.

Iris : Atos !

Atos et Axot se levèrent et s’approchèrent d’Iris, elle était très nerveuse, les sourcils froncés. Elle tremblait de tout ses membres. Atos se précipita vers elle, il regarda Ares qui était très mal.

Atos : Chérie…

Iris : Tu… Tu veux partir ?

Atos regarda son frère nerveusement.

Iris : Non… Pas… Mai…

Elle ne put finir sa phrase qu’elle fit un malaise. Il la rattrapa et la posa sur le sofa, puis regarda son frère.

Atos : Pourquoi tu lui as dit ?!

Ares : Ça m'a échappé.

Atos : Échapper? Tu te fous de moi ? Quand tu dis la tronçonneuse m'a échappé, c’est crédible mais là !

Axot : Euh il se passe quoi ici ?

Atos : Tu lui as dit quoi !

Ares : Arrêtes de hurler.

Atos : J'hurle si je veux ! Et vous avez fait quoi?

Il paraissait mal à l’aise.

Ares : Je peux pas le dire.

Atos s’approcha de son frère nerveusement.

Atos : Ça va être simple, tu va m’expliquer, tu me connais !

La clé de son âme Où les histoires vivent. Découvrez maintenant