La clé de son âme

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Elle lui sourit et colla ses lèvres aux siennes. Elle ouvrit la bouche et leurs langues s’enlacèrent. Elle eût un frisson qui la parcourut. Elle aimait ses mains fermes sur sa taille. Il décolla sa bouche et commença à baiser son cou, elle pencha la tête pour lui laisser accès libre. Il descendis sur sa poitrine et souleva son top. Elle leva les bras et il lui enleva pour le lancer au sol, il dégrafa son soutien gorge pour avoir accès à sa poitrine qui n’attendait que ses lèvres. Pendant qu’il léchait délicatement ses tétons, elle mit ses mains sur ses cheveux et les tira légèrement. Il décida de se décaler et de la regarder. Elle était pleine de désir pour lui et lui pour elle. Il déboutonna sa chemise qu’il lança sur le sol, son pantalon puis son sous vêtement atterrirent également au sol. Il était si bien bâti. Elle mordilla sa lèvre inférieur, il ne lui en fallut pas plus pour s’approcher d’elle et lui enlever la jupe qu’elle portait ainsi que sa culotte. Ils étaient nus l’un en face de l’autre, il l’embrassa de plus belle et descendit sa main sur son entre jambe. Il put sentir qu’elle avait envie de lui, la chaleur et l’humidité n’attendaient que son membre qui avait durci par son désir pour elle. Il la souleva et elle mit ses jambes autour de sa taille. Il plongea son regard dans le sien.

Atos : Je te désire comme jamais.

Elle lui lécha la lèvre d’un petit coup de langue.

Iris : Entre en moi.

Tout en la soulevant, il la plaqua sur le mur et entra en elle d’un coup sec. Il l’entendit crier son nom et fit des mouvements de va-et-vient lents et de plus en plus rapides, en cadence avec ses gémissements. Elle le regarda dans les yeux.

Iris : Encore… J’aime te sentir… Atos…

Il commença à gémir fortement et cela l’excita encore plus. Un orgasme foudroyant la prit et il la rejoignit. Ils étaient allongés sur le lit, il la regarda et se rendit conte que son regard paraissait triste. Il lui caressa la joue.

Atos : Agàpi tu vas bien ?

Elle lui sourit.

Iris : Tu vas revenir hein ?

Il fut heurté par sa phrase, pire encore, par son regard. Comment pouvait-elle penser qu’il ne reviendrait pas ?

Atos : Hey, tu est ma vie, mon âme. Je ne peux vivre sans toi, tu comprends. Ce ne sont pas des mots en l’air. Je t’aime.

Il prit sa main et la mit son cœur.

Atos : Il ne bat que pour toi, ne doutes jamais de cela. Jamais.

Elle lui sourit.

Iris : Je t’aime aussi.

Atos : À propos, il faut qu’on prenne une douche, j’ai une surprise pour toi après.

Elle le regarda méfiante. Il se leva.

Atos : Allez, debout agàpi.

Après avoir pris une douche ensemble et que Atos se retint de la faire sienne de nouveau, il regarda son téléphone.

Atos : C’est bon, nous pouvons y aller.

Elle ne comprenait rien mais le suivit. Ils descendirent les escalier et une fois en bas, il lui demanda de fermer les yeux et de la suivre. Elle le fit, elle fut étonnée de fermer les yeux que quelque pas. Ils s’arrêtèrent.

Iris : Bon, je peux ouvrir les yeux?

Il était derrière elle et lui embrassa la tempe.

Atos : Tu peux agàpi.

Elle sourit et ouvrit les yeux. Elle regarda devant elle, elle mit sa main sur sa bouche, envahie par l’émotion elle versa une larme. Devant elle, le salon s’était transformé en un espace cocooning, des coussins sur le sol, divers friandises et amuse-bouche. Dans une décoration rose, des ballons sur le sol et sur le plafond une guirlande
« Future mariée ».

Mais le plus touchant était de voir Ares et surtout Axot avec des t-shirt roses. Ares s’approcha d’elle et lui mit une couronne sur la tête, et une banderole où il y était inscrit
« Mariée » elle se retourna et prit dans ses bras Atos.

Iris : Merci.

Il l’embrassa.

Atos : Je vous la confies les gars… Et pas de « bêtises »

Ares : On a pas pris de substances, ne t’inquiètes pas !

Iris : Tu vas où toi ?

Atos : Je dois aller travailler, mais profites de ce moment. Je reviendrais vite.

Elle l’embrassa de nouveau. Il partit et elle entra dans le salon, tout était si joli et rose. Axot était très sérieux et le t-shirt rose détonné sur lui mais c’était si attendrissant.

Axot : Ares a acheté des trucs de filles.

Iris : C’est-à-dire ?

Axot : Bah… Des masques et des soins. Il y a des crèmes.

Elle le prit dans ses bras, il fût étonné et l’enlaça à son tour.

Iris : Merci, vraiment.

Ares : Je vais faire le masque au concombre.

Iris le regarda et pouffa de rire.

Ares : C’est pas du vrai concombre… Si ?

Ils s’assirent sur le sol. Ares mit le masque sur son visage.

Ares : Ça sent bon ce truc.

Axot regarda une crème qu’il avait dans les mains.

Axot : Crème de jour à l’éclats d’or… Attends, à l’éclat d’or ? C’est pas toxique ça ?

Ares : Non mais sa doit pas être de l’or.

Axot : C’est écrit à l’éclat d’or !

Ares : Les sites de cul c’est noté interdit aux moins de dix-huit ans et les gens y vont quand même.

Iris se mit à rire.

Iris : Tu viens vraiment de comparer une crème de jour à un site de cul ?

Ares : Oui !

Elle se mit à rire de plus belle. Ils passèrent un long moment ensemble à rire et Iris était très touchée de ce qu’ils faisaient pour elle. Elle ne connaissait pas Ares mais il était assez drôle. Elle prit un verre d’eau pétillante et bu une gorgé. Elle regarda Ares