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Je me lève pour ouvrir la porte. A peine elle est entrouverte qu'il se presse pour rentrée. Je le sentais comme énèrvé, il tient mon téléphone avec nerfs, on dirait il va le casser. Je tend la main pour qu'il me le rend, je remarque qu'il avait les phalanges toutes abimés. Comme s'il c'était battu ou avait tapé dans quelque chose voir quelqu'un en l'occurence.

Moi : Ta quoi ?

Ayoub : Rien t'inquiète.

Il pose le téléphone sur le meuble de l'entrée puis me tire dans ses bras brusquement. Je l'ai pas repoussé ça me faisais du bien qu'il soit la contre moi. Quand bien même j'avais la haine de lui et qu'on c'était embrouillé il y a même pas 2 heures.

Ayoub : J'aurais pas du te laisser. Faut que tu m'excuse je re ferais plus. Je te laisserais plus waAllah.

Il a sa tête enfoui dans mon cou je ressens son souffle chaud sur ma peau et sa main passant dans mes cheveux. Il me sert contre lui comme si j'allais m'envoler.

Ayoub : J'ai pas étais la quand t'avais le plus besoin de moi. Personne va te faire du mal ou parler sur ton dos maintenant je te le promet.

Il repetait ça en boucle ca me déchirais le coeur.

Moi : C'est bon t'inquiète pas je sais que t'es la.

Je suis partis lui servir un verre d'eau dans la cuisine ou il me suivit. Il était assit et tremblait, de nerfs surment. Et je pouvais pas le voir comme ça, j'arrivais pas.

Je sais pas ce qui m'a pris mais je suis venue face a lui puis j'ai passé mes mains derrière sa nuque et je lui ai déposé un bisou sur la joue. Il était surpris mais a legèrement sourit. Ses yeux on croisé les miens puis il a placé ses mains vers le bas de mon dos, sur mes reins pour me rapprocher de lui. Il m'a fait bisou sur la joue mais genre super fort. Son odeur m'ennivrais et la proximité de son corps face au mien me détendais. Son parfum je vous jure il est incroyable je l'aime trop c'est une collection privé vous voyez les bakara. J'ai déjà vu la bouteille dans sa voiture. Carrement je m'étais bien aspergé.

Ayoub : Viens on reste comme ça un peu.

Moi : Kiffe pas trop.

Ayoub : A peine grognasse maintenant ferme la mdrrr

Il se lève puis me pousse doucement pour se resservir un verre d'eau.

Il me fait un doigt d'honneur tout en buvant son verre.

Ayoub : De toute façon je parle pas avec les jalouses comme toi.

Moi : A quel moment je suis jalouse moi ?

Ayoub : « BHA VA BAISÉ HANA SALE VIEUX MEC.»

Moi : J'ai pas dis ça déjà.

J'ai vraiment dis ça mot pour mot mais vas y on fait semblant mdrr faut nier.

Ayoub : Mouai c'est ça, ta mère elle est ou sinon ?

Moi : Pourquoi mec ?

Il hais que je l'appelle comme ça

Ayoub : Parce que meuf pfff

Je souris bien fière de moi

Ayoub : Pour savoir si je peux encore rester.

On finit par se diriger dans le salon ou je m'allonge. Lui s'assoit a coté de moi.

Moi : A tout moment elle rentre je vais l'appeller attend.

Je lui passe un coup de fil sur le fix. J'ai appris qu'elle dormait chez tata Amina vu qu'elles font a mangé pour un bapteme. Elles allaient avoir du pain sur la planche, elle me parle en kilo de couscous mdrr. Je lui ai proposé de venir aider elle m'a dis de me reposer.

Shérazade - La haine d'abord, ensuite l'amour.Where stories live. Discover now